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 Consultation à domicile (Kitana)

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Yuki Wong

@ Yuki Wong

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étudiant en médecine

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En couple

mon orientation :
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La musique donne une âme à nos cœurs et des ailes à la pensée
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On ne sait jamais rien de ce qui se noue entre les êtres, eux mêmes souvent l'ignorent, et le découvrent en se perdant...
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MessageSujet: Consultation à domicile (Kitana)   Consultation à domicile (Kitana) EmptySam 3 Aoû - 22:43

Consultation
à domicile



Étudiant en médecine, tu termines ta 5ème année. Tu as voulu venir à Londres pour faire tes dernières années d'internat dans le service chirurgical de la capitale anglaise. En plus d'être un service réputé, cela te permet de perfectionner ton langage et de pouvoir prendre ensuite être embauché dans n'importe quel hôpital du monde. Pour l'instant il te reste encore quelques mois avant de clôturer ton année, ensuite tu seras officiellement interne, tu travailleras à plein temps. Pendant ensuite trois ans tu seras encore en formation mais tu commenceras à faire des stages dans le service de chirurgie. Pour l'heure tu es encore externe, à moitié à l'hôpital et à moitié en cours. Malgré tout, tu suis des patientes sous couvert de ton référent, le docteur Kim Hyuang. D'ailleurs aujourd'hui tu fais une visite à domicile. C'est assez exceptionnel. Tu ne savais même pas que c'était possible, mais visiblement la famille de la patiente donne assez d'argent à l'hôpital pour recevoir un traitement de faveur. Tu n'es pas du genre à émettre des jugements. Tu es médecin et tu n'as pas à juger. Tu es tenu au secret médical quoi que tu vois ou que tu entends. Tu as rencontré Kitana, ta patiente, avec le docteur Kim. C'était lui son médecin, tu as fait plusieurs consultations avec lui, jusqu'à ce qu'un jour, tu la reçoives seul. Tu ne sais pas d'où vient d'ordre mais tu n'as pas posé de question. Malgré ton statut d'externe, tu fais des consultations régulièrement et souvent seuls, particulièrement quand tu es aux urgences. Tu dois tenir informé ton référent de tous les cas que tu traites mais tu sais bien qu'il ne peut pas tout vérifier. De toute façon il te fait confiance, c'est comme ça dans le milieu, tu dois faire tes preuves dans le grand bain alors que tu n'as pas encore ton diplôme. En même temps tu n'es plus un jeune étudiant, après déjà 3 ans de pratiques, tu sais ce que tu dois faire. D'autant plus que cette consultation est un contrôle de routine. Cependant tu ne prends pas ça à la légère. Pour toi chaque patient est important, qu'il soit riche, pauvre, femme, homme ou enfant. Tu ne fais pas de différent, c'est bien ton rôle de médecin, d'être impartial, sans jugement, uniquement là pour soigner et aider ton prochain.

Donc aujourd'hui tu vas faire ta première consultation hors des locaux de l'hôpital. Tu as mis du temps à préparer ton matériel. Tu n'as encore jamais fait ça et tu doutes même que ça soit quelque chose de régulier. Enfin visiblement un véhicule t'a été réservé, pas une ambulance mais un véhicule médicalisé au cas. Tu as été informé qu'il t'attend au parking des employés. Tu as fait le tour de ce dernier pour savoir exactement tout ce qu'il contient. Il a pu donc prendre ce qui manque en cas d'urgence et le nécessaire pour la consultation, soit des seringues pour des prélèvements sanguins, ton matériel d'auscultation habitude, ton stéthoscope, un oxymètre pour prendre le pou et d'autres constantes. Tu as tout ce qu'il faut et il est temps de partir. Tu as du cherché vingt fois le trajet au cours de la matinée. Tu sais que la voiture est munie d'un gps mais tu n'as encore jamais pris le volant à Londres et tu stresses un peu. D'ailleurs tu es partie avec beaucoup d'avance, quittant ta garde beaucoup plus tôt. Tu sais que c'est beaucoup de précaution pour un simple rendez-vous mais tu as compris que la famille Tsukanji est importante et tu ne veux surtout pas arriver en retard. Kitana n'est jamais arrivée en retard à un seul de ses rendez-vous alors tu ne veux certainement pas la faire attendre, même si pour une fois elle est chez elle et non dans la salle d'attente avec les autres patients. Tu ne sais pas pourquoi cette fois ci c'est toi qui te déplace. Tu n'aurais jamais cru que sa famille est assez de moyen pour détacher un médecin à domicile, mais visiblement c'est le cas. Le responsable du personnel est venu d'ailleurs même te voir pour s'assurer que tu n'as pas oublié et que tu es prêt. Il est ravi de voir que tu prends ton travail au sérieux, que tu as fait le tour du matériel qu'il te faut.

Tu t'es mis donc en route avec de l'avant et heureusement parce que la conduite à gauche est plus angoisses que tu ne l'aurais cru. Malgré tout tu arrives à bon port. Tu n'en reviens pas quand tu arrives à l'adresse indiquée. Les murs qui entourent la demeure sont imposants. Tu n'as jamais pénétré dans une maison aussi luxueuse. Ta famille d'adoption a un peu d'argent, mais pas autant. Tu t'es toujours estimé aisé mais là tu comprends ce que veut dire le mot riche. Tu t'es garé devant le portail et tu t'es présenté à l'interphone muni d'une caméra. Une fois le portail ouvert, tu as avancé la voiture et le majordome t'a indiqué ou te garder, surement ne pas gêner les allers-retours que père de Kitana. Tu es sorti avec ta mallette contenant tout ce qu'il te faut, si tout se passe bien. Si jamais tu as tout le nécessaire en cas d'urgence dans le coffre de la voiture. Tu as enfilé ta blouse blanche, cachant sa chemise et ton jean puis tu as suivi le majordome à l'intérieur après l'avoir salué d'une légère révérence comme il est coutume chez toi. Tu ne te défais pas de tes habitudes bien que tu sois en Angleterre.
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Kitana Tsukanji

@ Kitana Tsukanji

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mon âge :
25

mon occupation :
Violoniste (Soliste) & ancienne danseuse classique (Ballerine) / étudiante privée au prestigieux conservatoire Royal Academy de Londres (Musique classique, danse classique & art dramatique)

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En love sur son reflet

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Hétérosexuelle

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➶ Le vent emportera ton cœur pour de nouveaux horizons magiques ღ

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MessageSujet: Re: Consultation à domicile (Kitana)   Consultation à domicile (Kitana) EmptyJeu 8 Aoû - 2:31

Consultation
à domicile.




C'est toujours une journée de merde lorsque tu dois te rendre à ta consultation obligatoire pour ta maladie. Tu n'aimes pas du tout participer à ce genre d'entrevue, car ça t'agace et fout des craintes à chaque fois. C'est uniquement pour cette raison qu'en général, tu es désagréable et pas commode avec ton médecin. Tu n'aimes pas qu'il t'examine et encore moins qu'il te dit quoi faire ou encore te pose des questions. Face à lui, t'as l'impression d'être fini ou encore qu'un simple corps malade qui doit se soumettre sans cesse. Tu détestes revenir à la réalité des choses, et de ta destinée. Tu en es fatiguée de devoir te déplacer jusqu'à un hôpital. Un bâtiment dont tu aimerais fuir comme la peste et dont tu n'aimerais plus ressentir la sensation de te retrouver entre ces murs. Une sensation néfaste et lourd qui te crispe tes muscles et d'oppresse à t'en couper le souffle. Tu en as même des hallucinations, et tu perds rapidement les pédales lorsque tu te retrouves coincée dans un centre hospitalier. Ton père n'est pas aveugle, et même s'il est pour la plupart du temps absent pour cause de voyage d'affaires. Il a bien remarqué ton mal-être à cause de ta maladie, et également ton silence signant à l'idée de te rendre à l'hôpital pour tes rendez-vous. À chaque fois, dès que tu te lèves au petit matin le jour de ta consultation. Tu stresses comme pas possible, et tu en es automatiquement de mauvaise humeur. Ton père a eu la brillante idée de mettre les moyens pour que tu puisses désormais avoir des consultations à domicile. Ce changement t'a fait au fond plaisir, rien qu'à l'idée de ne plus avoir l'obligation de te déplacer te soulage comme d'un poids. Plus la peine de te déplacer jusqu'à un lieu que tu méprises, et d'autant plus, ne plus devoir attendre dans une salle d'attente avec ennui entourée de gens crades et dégoûtants. C'est un pur bonheur et ça te fait bien suffisamment plaisir. Tu prends ça d'un bon œil. Néanmoins, ça reste une consultation médicale face à une personne qui est pénible, et dont tu aimerais que tu n'en voies pas venir l'heure passée. Tu as toujours été dans l'optique que ton médecin fasse son boulot sans passer par quatre-chemins et ne te retienne pas pendant une éternité.

Que cela se fasse désormais chez-toi, ne va rien changer. Tu ne seras pas là à l'accueillir avec un bon thé et un sourire aux lèvres heureuse de le recevoir. Loin de là évidemment. Il vient, il t'examine, fait son boulot, et s'en va le plus rapidement possible pour que tu puisses respirer un bon coup et continuer le cours de ta vie normalement. En général, tes consultations sont matinales, afin de vite balayer ce moment au cours de ta journée. Comme d'habitude, tu es autorisée à t'absenter de tes cours aujourd'hui pour raison médicale et à rester chez toi durant cette journée. Tu ne le fais pas avec joie, car tu es une étudiante sérieuse dans ton domaine, et ta discipline est respectueuse de ton devoir. Alors, tu n'aimes pas vraiment rater une journée de cours, et encore moins lorsque c'est à cause de ta maladie. Tu aimerais pouvoir vivre normalement, comme une personne saine et en bonne santé. Mais malheureusement, ce n'est pas le cas et tu as des obligations à respecter ces consultations hebdomadaires pour ton bien, et ta santé. D'autant plus qu'aujourd'hui, tu avais un cours de violon que tu ne voulais pas rater, et cela te rends encore plus de mauvaise humeur. Ça te fait littéralement chier qu'en te levant ce matin, tu as envoyée se faire cuir un œuf méchamment la majordome qui voulait te préparer à manger. Alors qu'elle venait à peine d'arriver pour son travail. Tu as ronchonné une bonne partie de la matinée contre tout et rien pour des raisons inutiles. Tu as passé ton temps sous la douche, et tu as préparé toi-même un déjeuner équilibré que tu as mangé sur la terrasse de la villa sous un temps agréable et une douceur matinale. Tu ne sais pas à quelle heure le médecin doit venir, et tu ne cherches pas à savoir. Ton majordome le sait, et ne s'est pas privé pour te le rappeler, mais tu n'as absolument rien écouter. Ton père est au travail, et ton frère à l'université. Alors tu peux dire que tu es toutes seule dans cette immense villa. Le majordome doit faire, tu ne sais pas quoi, changer les lits des chambres, faire le ménage un peu partout, passer l'aspirateur ou encore faire la vaisselle. Parfois, tu l'aides, car quand tu n'es pas au conservatoire, ou en représentation. Tu es évidemment à la maison, et quand tu t'ennuies, tu l'aides dans son travail. Une fois que tu as fini de manger, tu as confiée ton plateau au majordome, et qui s'en occupe s'en souci. Toi, tu es remontée dans ta chambre rapidement pour t'occuper et un peu voir ton serpent adoré. Il est tranquille dans son aquarium à siffler avec sa langue. C'est un petit serpent d'une couleur jaune magnifique et d'un blanc succombant. Il a des petits yeux rouges terrifiants, mais amusants. Il est petit, et est inoffensif. Il ne mord pas par exemple. Enfin, il est petit, il est plutôt fin, mais suffisamment long pour s'enrouler autour d'une petite moitié de ton bras. Il n'est pas dangereux, c'est certain, sinon jamais tu aurais eu l'autorisation de l'avoir chez toi. Déjà par les animaliers, mais surtout par ton père qui par miracle a accepter ton souhait d'avoir un animal de ce genre à la maison avec pour seule condition, que tu t'en occupes toi-même avec tes propres moyens. C'est ce que tu fais à merveille et avec amour pour ton serpent. Ça aurait pu être un iguane, ou un autre reptile…. Sauf un alligator évidemment. Enfin… tu en aurais été capable si tu avais eu un aquarium suffisamment grand. Mais c'est tomber sur un serpent, car au final, tu aimes bien les serpents pour diverses raisons et la représentation que cet animal a notamment dans la culture chinoise. En tout cas, il est clair que tu n'es pas le genre de fille à vouloir un chiot ou un chaton. Non, toi, tu es différente.

Tu nourris ton animal, avec des petits insectes secs, des spécimens de nourritures que tu peux trouver notamment en Asie, et en Chine. Tu tapotes avec ton doigt sur la vitrine de l'aquarium afin de réveiller le serpent. Mais tu ne comptes pas plus l'embêter lorsqu'il doit se nourrir. Tu le laisses en paix alors tu sors de ta chambre pour mettre le paquet vide dans une poubelle écologique et entretenu après avoir refermer son aquarium avec soin. Tu pars ensuite te laver les mains avec douceur dans l'une des trois salles de bain à dispositions. C'est à ce moment même que l'interphone du portail se met à sonner. Tu l'as même entendu dans la salle de bain, car l'interphone est suffisamment puissant et luxueux. La demeure peut paraître d'ancien temps, mais elle possède tout de même quelques technologies richissime. La villa a d'installer plusieurs interphones à travers la villa. A l'entrée du hall, dans un couloirs à l'étage, près d'une chambre, vers la cuisine, ou encore même à la terrasse. Car la villa est tellement grande, qu'il en faudrait des oreilles à détecteur pour entendre la sonnette de l'interphone s'il en est éloigné. C'est le majordome qui a ouvert au médecin. La femme anglaise a observée par la caméra de surveillance, et a conclu sans l'ombre d'un doute qu'il s'agit du médecin à disposition pour toi. Elle est ensuite sortie pour venir l'accueillir chaleureusement. Toi, tu sors de la salle de bain avec une brosse en main que tu as pris en sortant de ta chambre, Tu te brosses les cheveux avec précision, tout le long de ta longue chevelure tout en te dirigeant vers une fenêtre qui donne vue sur le portail. Tu surélèves un peu le rideau pour apercevoir un véhicule qui se gare. C'est un véhicule de fonction médical, tu te pinces les lèvres d'anxiété à l'idée que ton médecin soit arriver. Néanmoins, tu ne descends pas, et tu te contentes de retourner dans ta chambre plus loin. Tu poses ta brosse sur une commode et tu te poses dans ton lit. Tu ne te préoccupes pas du médecin qui vient d'arriver, et tu agis comme un enfant qui ne veut pas aller chez le dentiste. Tu t'allonges confortablement dans ton lit tout propre et tout fait, et tu ouvres un bouquin qui était poser sur ta petite table de nuit. Tu l'ouvres et tu y plonges ton nez t'enfermant dans ta bulle.

Plus bas, le majordome fait entrée le médecin à l'intérieur de la villa, une fois que celui-ci soit prêt. Ils passent la porte blanche décorée de pot de fleurs exotiquement asiatiques. Pour ainsi entrer dans le hall d'entrée qui est illuminée de mille feux par un sol brillant et claquant. Revêtit par un beau tapis en soie où quelques plantes japonaises dans des vases de valeurs donnent de la couleur et de l'évasion au lieu. Le majordome surveille du coin de l'œil l'escalier, pour voir si tu descends par les escaliers; mais visiblement, aucune silhouette de ta part. Elle imagine que tu n'as rien entendu, ou encore que tu t'es enfermée comme toujours dans ta chambre. << Je vais prévenir votre patiente de votre arrivée monsieur. Dirigez-vous vers le salon, je vous pris. >> La majordome montre d'un geste du bras la direction à prendre pour rejoindre le salon. Et elle le prévient qu'elle va te chercher, ou du moins te prévenir de son rendez-vous. Elle monte immédiatement les escaliers pour atteindre le troisième étage, et aller au fond du couloir. Là, où se trouve ta chambre. Elle tape plusieurs fois à la porte avec délicatesse pour te prévenir. Tu baisses ton roman sur ton ventre et tu lèves les yeux au ciel agacée. << Je sais !!! >> Tu hausses un peu le ton pour bien qu'elle t'entende et à travers la porte, elle a bien dû ressentir ta mauvaise humeur. Tu te lèves de ton grand lit, en déposant simplement ton bouquin sur ton lit. Tu te fais une raison, comme toujours quand tu dois aller à l'hôpital. Tu râles, tu ronchonnes comme une gamine, mais tu y vas quand même et en étant ponctuelle en plus. Tu chausses à tes pieds de simples chaussons avant de quitter ta chambre. Tu retrouves la majordome devant la porte. Te déranger et te mettre de mauvaise humeur est bien la dernière chose qu'elle souhaite. Alors elle semble embarrassée alors qu'elle te signale que ton médecin doit se trouver au salon et est arrivé.

C'est la première fois que tu reçois une consultation à domicile. Tu as toujours dû te rendre à l'hôpital pour ça, et quand tu étais malade de chez malade et que tu n'allais pas bien. Tu étais pire qu'une gosse capricieuse à l'hôpital. Tu ne sais pas si c'est différent à domicile, et t'en as conscience d'avoir ce privilège uniquement grâce à l'argent. Tu descends au rez-de-chaussée et tu imagines tomber sur ton médecin de base. Celui qui te suit depuis le début depuis que tu as été diagnostiquée de cette maladie. Tu rejoins le médecin alors que la majordome part à ses occupations. Le médecin est dans le salon avec sa valise médicale. Tu n'as pas l'air joyeuse à l'idée de cet entretient, mais tu ne seras pas pour autant désagréable. Tu sais qu'il fait juste son boulot, et qu'au fond, c'est pour ton bien. Même si en général, lors de tes consultations, tu es froide et pas du tout bavarde, et surtout impatiente. Tu remarques qu'il s'agit de l'assistant de ton médecin de base, mais tu as déjà eu ces derniers temps des consultations avec lui, et tu sais qu'il fait son travail correctement. Tu espères juste qu'il ne finira pas par être porteur de mauvaises nouvelles pour toi. << Merci d'accepter de vous déplacer. J'en pouvais plus de l'hôpital si vous savez. >> Tu soupires légèrement et discrètement, avant de t'installer sur un fauteuil, près de la cheminée du salon. Qui n'est pas allumée. Au-dessus de la cheminée, se trouvent diverses babioles de valeurs, qui proviennent du Japon. Accompagnée de quelques cadres photo de famille. Il y a même un portrait de ta mère. Encore au-dessus de la cheminée, il y a un des katanas japonais d'anciens samouraï et évidemment sécurisé. Dans leurs étuis, et bien accrochés à leur plateau accroché au mur. Impossible de les détacher. Dans le salon contient également un beau piano blanc de valeur, ainsi qu'une majestueuse harpe. Des meubles de bibliothèques sont également présent, qui regorgent de romans et de livres d'histoires en tout genre. Des tableaux de chef d'œuvres d'artiste connu sont sur les espaces de murs libres. Sans doute acheter par ton père dans tes ventes d'enchères pour riches. Il y a d'autres œuvres d'art dans d'autres pièces. En tout cas, il y a aucune télévision, aucune technologie d'aujourd'hui, et c'est une atmosphère chaleureuse qui rejette en général l'environnement japonais, voir chinois. Puis soft digne d'un château de roi. Le salon mène à la terrasse, et la bille vitrée près de la cheminée donne une belle vue sur celle-ci. Une terrasse qui contient une majestueuse piscine de villa, avec une belle eau. Ainsi qu'un petit jardin avec des fleurs et une cabane de jardinage. Parfois, il t'arrive de jardiner pour passer le temps. Ce n'est pas une passion, et mais ça te fait penser à autre chose lorsque tu jardines, parfois accompagnée de ta majordome. Le jardin contient même un arbre de cerisier japonais. Un célèbre arbre de ton pays natal, avec ses fameux pétales roses. Le soir, lorsqu'il fait bon et que les lueurs du soleil s'éteignent petit à petit dans le ciel, tu vas t'allonger sous cet arbre, car ça te rappelle ton pays avec tristesse. C'est une ambiance limite romantique, mais encore une fois, cet arbre te fait du bien au moral.

Tu croises les jambes sur ton fauteuil, et tu déposes ton coude sur l'accoudoir pour soutenir ta tête avec ta main d'un air déjà épuisée par cette consultation. Tu rejettes aucune passion, ni aucune motivation. << Oh, si vous le souhaitez, vous pouvez vous asseoir sur le divan… ou faites ce que vous avez à faire. C'est mieux. >> Tu fais un simple signe de la main vers le divan qui coûte un bras à côté du fauteuil, avec au centre une petite table basse propre. C'est limite le mieux que tu peux faire pour accueillir. Tu ne sais pas si c'est la première fois qu'il fait une consultation à domicile. Mais tu ne veux pas qu'il se sente gêné non plus, car il n'est pas sur son lieu de travail. Tu souhaites qu'il reste dans son rôle de médecin et c'est tout. Pas besoin de manière, et de changer les habitudes, car il est dans une propriété d'une patiente. Tu imagines qu'il va te questionner, sur ton état de santé, sur comment tu te sens, ainsi que sur les symptômes, et si tu suis bien ton traitement. Ou encore si tu respectes ton hygiène de vie et si tu fais attention à ton alimentation ou encore si tu fais le nécessaire pour éviter la contamination pour ton entourage. Il peut même te rappeler ce qu'est ta maladie et les risques qui y encours si cela s'aggrave. Il va sans doute effectuer des examens sur toi, comme vérifier ton foie, et tes douleurs abdominales et de l'estomac, ou encore prendre ton pouls, voir peut-être te faire une prise de sang. Il est certain qu'il a ton dossier médical, et qu'il va sans doute prendre des notes. Tu veux simplement, qu'il fasse ça rapidement. << Si jamais vous avez besoin de quoi que ce soit. Faites moi signe, j'irai chercher ça. >> Tu prends les devants, car peut-être qu'il te demandera des papiers venant de toi. Il a déjà ton dossier médical, mais il peut vouloir peut-être ton assurance de maladie, ou encore ton carnet de santé ou tu ne sais quoi encore. Lorsque tu allais à l'hôpital, tu prenais toujours tes papiers dans ton sac, car à certains moments ça t'a servi. Surtout en début de maladie, ou encore quand t'y a été lorsque tu t'étais brisée la cheville. Mais bon après, le médecin te connaît, alors plus besoin de faire certaines procédures. Mais lui, ce n'est pas ton médecin, tu l'as juste eu à de rares occasions ces derniers temps mais sans doute que ton médecin a dû lui faire un rapport en ce qui te concerne.           
 

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MessageSujet: Re: Consultation à domicile (Kitana)   Consultation à domicile (Kitana) EmptySam 10 Aoû - 2:05

Consultation
à domicile



Tu n'es pas le plus à l'aise dans cet environnement bourgeois. D'abord parce que c'est la première fois que tu fais une consultation à domicile, ensuite parce que tu n'as pas l'habitude de ce milieu. Tes parents biologiques étaient de classe moyenne et tu as vécu une partie de ta vie en orphelinat. Ta famille d'adoption est ce qu'on peut appeler aisé, mais cela n'a rien à voir avec celle de ta patiente. Tu es donc assez intimidé et tu te montres poli devant la majordome qui t'accueille. Tu la salues respectueusement et tu te diriges vers le salon lorsqu'elle te le demande. Tes yeux font le tour de la pièce et tu restes sans voix devant l'ameublement, la décoration et tous les objets exposés. En attendant ta patiente tu observes les photos encadrés. De la famille, tu ne connais que Kitana, tu n'as jamais vu son père, ni son frère. Tu remarques la photo d'une femme que tu imagines être sa mère. Il n'y a rien de mentionner dans son dossier à ce sujet, à part des problèmes lors de sa naissance. Tu n'es pas celui qui va aller se mêler de sa vie et poser des questions. Ce que tu sais d'elle est mince. Bon tu connais sa maladie, sa santé fragile, tous les examens qu'elle a fait, en somme ses antécédents médicaux des dernières années. Tu as vu sur le dossier qu'elle étudiait au meilleur conservatoire de Londres, enfin toi tu ne connais pas grand-chose à la musique. Tu aimerais savoir chanter, ce n'est pas faute d'avoir pris des cours par obligation. Tu n'étais pas mauvais mais comme toutes les autres activités imposés par ta famille d'accueil, tu n'as pas tenu très longtemps. Tu as aussi pris des cours de piano ou de sports stupides à tes yeux. C'était censé te permettre de mieux d'intégrer au milieu que tu côtoyais, foutaise. En attendant, tu es resté debout détaillant les instruments de musique puis les sabres. Il est clair que tu es plus doué en musique qu'en sport de combat. Tu as toujours refusé de participer un sport de combat. Cela a même été un sujet de discorde importante. L'activité extra-scolaire que tu as le plus aimé était surement la danse, mais tu as vite arrêté, refusant d'être pris un garçon fragile et sentimentale. Tu observes le salon avec une boule au ventre, te rappelant ta famille adoptive et toutes les contraintes qu'elle t'a fait subir pour rester avec eux. Tu as du devenir un garçon bien éduqué, poli et distingué. Tu t'es plié à toutes leurs attentes, acceptant même la fiancée qu'ils t'ont imposé. C'est à cause de tout cela que tu as fuis ton pays natale et pour poursuivre tes études. Cet environnement trop parfait ne t'évoque pas que de bons souvenirs. Lorsque tu entends des pas dans l'escalier tu fais face à l'entrée pour accueillir ta patiente comme il se doit. Quel que soit sa classe sociale, elle mérite toute ton attention et tu laisses derrières toi tes problèmes. Dès qu'elle se présente, tu t'inclines légèrement pour la saluer.

« Bonjour Mademoiselle Tsukanji. Je vous en prie, c'est tout à faire normal. »

En réalité il n'y a rien de normal dans tout ça, tu veux uniquement être poli comme on te l'a appris. Tu n'as aucune idée de combien son père a pu payer pour faire déplacer un médecin à domicile. Visiblement assez pour que l'hôpital accepte, mais pas assez pour que ce soit son docteur personnel, à moins que ça soit toi maintenant ? Si c'est le cas tu n'as pas reçu la note. C'est vrai qu'il te reste six mois de cours et tu seras à plein temps à l'hôpital. Cela ne veut pas dire que tu sauras docteur, tu vas simplement être interne et donc détacher à part entière à l'hôpital. Après trois ans tu pourrais prétendre être docteur mais en réalité tu fais déjà des prescriptions donc tu es déjà un médecin. Tu esquisses un sourire alors qu'elle s'installe dans un fauteuil. Tu vois bien qu'elle est, comme d'habitude, résignée face à la consultation qui va suivre. Tu as l'habitude de son attitude froide et distante. Cela ne t'offense plus, tu saurais surement dans le même état si tu devais combattre sa maladie. A ses paroles, tu acquisses avec un léger sourire, préférant commencer ton travail. Tu n'es pas là pour t'asseoir et prendre une tasse de thé. Tu poses ta mallette sur la table pour sortir le nécessaire à la consultation, d'abord pour prendre l'appareil de mesure du pouls et ton stéthoscope pour l'auscultation. Tu t'approches d'elle, posant un genou à terre pour être à la hauteur de son bras. D'un regard tu lui demandes de te présenter celui-ci pour lui passer le brassard.

Tu sais bien que tout cela l'ennui. Tu te doutes qu'elle doit être lasse de ses visites, des questions de routine sur son traitement, sur son rythme de vie et sa santé en général. Tu vas aussi devoir l'ausculter. Si d'habitude cela ne te dérange pas lorsque tu es l'hôpital, tu es un peu plus gêné ici. D'abord il n'y a pas de table sur laquelle elle pourrait s'allonger. Tu t'imagines mal lui demander de s'allonger sur le canapé pour lui palper le ventre. Tu n'as pas besoin qu'elle soit en sous-vêtement et encore heureux, car sinon la situation serait encore plus gênante. Pour l'instant tu gonfles le brassard et tu calcules son pouls alors qu'elle se met à ta disposition si tu as besoin de quelque chose ou d'un papier.

« Merci beaucoup, ça ira. On va procéder comme d'habitude, d'abord les constantes, ensuite l'auscultation et enfin une prise de sang. C'est juste un contrôle de routine ne vous en faites pas. »

Tu termines la prise du pouls et lui annonce ses constantes, qui n'ont rien d’alarmant. Elle est peut-être un peu fatiguée vu sa tension. Tu ranges le matériel et tu te munis de ton stéthoscope mais avant de commencer, tu reprends la parole.

« Vous avez une tension un peu basse, vous n'avez pas d'effet secondaire de votre traitement, de gênes inhabituelles ou une fatigue passagère ? Je suis désolé je dois vous poser les questions courantes. »

Tu sais qu'elle comprend exactement de quoi tu parles. Est-ce qu'elle suit bien son traitement, est-ce qu'elle fait attention à son hygiène de vie et à l'environnement qui l'entoure. Tu sais bien que c'est rébarbatif et pourtant c'est ton rôle.
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Kitana Tsukanji

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MessageSujet: Re: Consultation à domicile (Kitana)   Consultation à domicile (Kitana) EmptyJeu 15 Aoû - 8:57

Consultation
à domicile.




Malgré que tu fais ta petite tête de nœud pour te rendre à cette consultation, tu te sens quand même bien plus à l'aise à domicile, qu'entre les murs d'un hôpital. Au moins tu connais l'environnement, et t'y sens à ta place, loin de déchets humains que peuvent représenter les autres patients. Dans un hôpital, tu te sens terriblement mal, tu as bien la peur des hôpitaux et de la menace qu'elle représente. Chez-toi, tu te sens dans ton élément, et la crispation est moins présente dans ton estomac. Tu sens tout de même la crainte que ton médecin t'annonce que tu dois être hospitaliser dans les plus brefs délais pour cause de dégradation de ta maladie et de ton état de santé. Et que tu te retrouves de nouveau coincée comme une prisonnière dans un endroit qui te donne des cauchemars, et remonte tes démons anciens. Une prisonnière, ce que tu es déjà, sans l'admettre dans ta dimension d'être heureuse. En principe, tu aimes montrer que tu as de l'argent, à travers tes tenues, tes accessoires ou tes manières par exemple. Mais avec ton médecin, c'est en partie l'unique personne où tu ne souhaites pas montrer ta puissance, et ton argent. Tu parais moins hautaine. Tu ne veux pas non plus savoir ce qu'il pense des bourgeois, et ça t'es égal au fond. Tu veux simplement qu'il fasse son travail rapidement, et même s'il est que l'assistant de ton médecin de base. Il connaît, et sait comment tu fonctionnes lors des consultations. Après tout, il est le seul hors de ta famille à connaître ta maladie. Tu n'aimes pas du tout parler de ta maladie, de toi, et encore moins de ce que tu ressens. Il doit savoir qu'il n'a pas besoin de faire de monologues, et qu'il doit surtout aller droit au but et immédiatement procéder à ce qu'il doit faire sans passer par quatre chemins.

Après un petit caprice, tu rejoins finalement le médecin dans le salon comme ta majordome t'a indiquer. À travers ton visage, tu rejettes la démotivation, et déjà l'épuisement à l'idée de faire cette consultation. Mais ton médecin doit avoir l'habitude de te voir ainsi, et sait qu'il ne doit pas te bousculer au sujet de ta maladie. Poliment, il te salue, et tu apprécies qu'il reste distingue dans ses bottes, et bien élevé. Évidemment, tu sais bien que la médecine n'est pas n'importe quelle spécialité dans le monde du travail, et qu'il faut en général de bonnes études pour y arriver là-dedans, et surtout des bonnes manières. Il t'appelle comme il doit t'appeler avec respect, et te vouvoie comme tu as l'habitude dans ton milieu : signe de respect. Néanmoins toi, tu es dans un mauvais état d'esprit, ronchonneuse jusqu'aux bouts des ongles. Tu ne le salues pas en retour, et tu pars t'asseoir immédiatement sur un fauteuil. Tu la simplement remercier de se déplacer, et d'accepter cette exigence. C'est agréable d'avoir ce privilège.

Tu n'es pas au courant qu'il est devenu ton médecin personnel. Mais ça t'importe peu de l'identité de ton médecin, tant qu'il fait son boulot dans tes conditions souhaitées, et qu'il ne t'agace pas. C'est le principal, tu t'en fiches du reste. Tu appuies ton menton à l'intérieur de la paume de ta main, vraiment d'impatience et de fatigue. Tu aimerais que ça se passe vite, et tu lui signales pour qu'il fasse ce qu'il a à faire. Rien que de voir sa blouse blanche, ça te rends malade, rien que de voir sa mallette médicale ça te rends malade. Encore plus que tu l'es déjà. Vraiment, tout ce qui se rapproche à l'hôpital et la médecine te mette mal à l'aise, et pas bien dans ta peau. Alors qu'il dépose sa mallette sur la petite table, tu te frottes délicatement le front en détournant le regard hors de lui. << Faites attention. Ne salissez pas la table. >> Tu lui signales qu'il doit être prudent pour ne pas salir la belle table en verre. Tu as beau vouloir qu'il ne se sente pas gêné, c'est juste plus fort que toi. Il y a même un petit bonsaï au milieu de la table dont tu apprécies, alors qu'il fasse gaffe. Tu observes vers le plafond, sans observer ce qu'il peut bien sortir de sa mallette, ça ne t'intéresse pas, et tu ne veux pas avoir des crampes à l'estomac en voyant tout ces engins de médecines. Tu remarques simplement du coup de l'œil qu'il s'approche de toi sans dire un mot, et pose un genou au sol. Il souhaite que tu lui présentes ton bras, et tu soupires d'ennui, mais tu ne fais pas la difficile. Du moins, plus vraiment maintenant. Avant, tu étais véritablement pas coopératif, et pas vraiment commode comme patiente, surtout lorsque tu venais de tomber malade, et que tu as dû être hospitalisée. Tu n'étais pas de tout repos pour ton médecin. Néanmoins, là, tu relèves simplement ta manche, petite manche, car tu portes simplement un chemisier à boutons à courtes manches sur le dos. Tu lui présentes ton bras en tenant fermement ta manche à la hauteur de ton épaule.

Tu n'aimes pas spécialement dévoiler trop de ton corps, même un simple bras. Faut dire que tu es assez pudique, du moins avec des étrangers, et ton médecin est un étranger. Tu restes également suffisamment réticence à l'idée qu'il pose ses doigts sur toi pour t'ausculter. Notamment quand il doit vérifier ton foie…. Qu'une personne te touche avec ses salles pattes répugnantes te dégoûte, et c'est également le cas avec ton médecin. Tu te forces terriblement pour lui permette ça, et c'est pour cette raison qu'il doit toujours avoir des gants pour poser ses mains sur toi, et normalement, même simplement pour prendre ton pouls. << N'oubliez pas vos gants de médecine. >> Dis-tu assez strictement après qu'il t'a confié que ça ira, et que vous allez procéder comme d'habitude : les constantes, l'auscultation et enfin une prise de sang. Pour l'auscultation et la prise de sang il a intérêt à mettre des gants. Il doit bien en avoir dans sa petite mallette de médecin. Tu grimaces désagréable et d'anxiété. Tu détestes les auscultation, et les prises de sang. Tu hais les aiguilles, et surtout tu n'aimes pas la vision du sang aussi infime soit-elle. Ton sang est malade, alors ça te dégoûte encore plus, mais en général, le sang te donne des étourdissements et des nausées. Cette peur des aiguilles tu l'avais déjà toute petite, mais celle du sang, est survenue depuis que tu es tombée malade. << Arg…. Je n'ai pas le choix. >> Tu déposes ta tête contre le dossier l'air agacée et dérangée. Mais même si tu es mécontentes de tout ça, tu sais que tu n'as pas le choix, et que c'est juste pour ta santé. De toute manière, si tu es malheureuse, au point que même l'argent ne suffit pas à te rendre un bonheur, c'est en principal à cause de ta maladie.

Une fois qu'il a terminé sa prise du pouls, tu rabaisses immédiatement ta manche. Tu es légèrement soulagée qu'il ne te semble pas faire une mauvaise tête craignant une santé dégradante. Enfin, tu n'es peut-être pas au bout de tes surprises, il a encore rien fait et la consultation ne se résume pas à ça. Mais en soi, tu ne sens pas ton corps terriblement faible, et en critique au point d'être hospitalisée. Tu as quelques coups de fatigue, d'épuisement, ainsi que quelques étourdissements et nausée, notamment quand tu fais un effort trop brusque. Mais il te semble que c'est habituel. << Je suis souvent fatiguée et épuisée. Puis parfois, j'ai la tête qui tourne. >> Tu réponds simplement de cette manière, n'étant pas trop bavarde, comme à ton habitude lors des consultations. A des occasions, tu peux sentir ton corps tellement faible, que tu as l'impression qu'il te lâche. Tu fais attention à ton hygiène de vie, et tu prends ton traitement avec soin. Le seul hic, c'est sans doute sur l'alimentaire. Tu n'es pas une grande gourmande, et tu ressens la faim qu'à de rares occasions, alors tu ne te nourris certainement pas assez. Tu as besoin de sucre et de glucide, mais il t'arrive parfois de sauter un repas car tu n'as pas d'appétit, et souvent, il suffit de quelque miettes pour combler ton estomac lorsque tu as faim. Sans doute juste pour cette raison que parfois tu as des tremblements.           
 

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Yuki Wong

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MessageSujet: Re: Consultation à domicile (Kitana)   Consultation à domicile (Kitana) EmptySam 24 Aoû - 0:27

Consultation
à domicile



Tu as bien vu à sa tête qu'elle n'était pas d'humeur. En même temps ce n'est pas nouveau. Tu ne l'as jamais vu arriver le sourire aux lèvres et c'est normal. Tu as l'habitude de voir les gens car ils ont des problèmes et elle ne fait pas de différence. Bien que cela soit une consultation de routine, tu n'es pas à l'abri de lui annoncer une mauvaise nouvelle. Pour l'instant elle n'a pas l'air plus pâle que la normale. Elle n'est pas plus maigre que la dernière fois et c'est déjà un bon signe. Il faut que tu es l'œil pour être médecin. Bien entendu il y a tout un tas d'examens à faire pour déterminer si tout va bien. Cependant l'examen visuel fait partie des étapes essentielles. A vue d'œil elle n'a pas l'air abattu hormis sa mauvaise tête. Elle ne t'a pas salué en retour et tu ne t'en offusques pas. Tu sais très bien qu'elle n'apprécie pas ces visites. Aujourd'hui elle ne peut pas mettre ça sur le compte de son attente à l'hôpital malgré tout tu comprends qu'elle ne soit pas ravie de te voir. Tu imagines assez bien les désagréments que cause sa maladie sur son quotidien. Sa maladie est assez lourde à porter, tu as vu pire c'est vrai, néanmoins tu te doutes qu'elle doit en souffrir et faire bonne figure. Tu ne t'attends donc pas sur sa moue fermée, toi tu essayes d'être poli, chaleureux tout en restant à ta place. Tu n'es pas là pour faire la gueule mais tu n'es pas là non plus pour lui faire de grands sourires.

Lorsque tu t'installes sur la table, elle te demande de faire attention. Tu acquiesces sans un regard. Tu n'es pas du genre maladroit. En même temps pour être chirurgien il faut avoir un sang-froid et une certaine adresse. Tu as vu la plante au centre de la table et tu as posé ta mallette en bout. Tu l'as aussi mis sur le chemin de la table basse pour justement éviter de laisser des traces de verre. Tu as sorti le matériel nécessaire pour prendre son pouls. Pour l'instant tu n'as pas sorti plus, tu enfileras ta paire de gants plus tard. Tu te mets à lui prendre ses constances, la remerciant d'un regard. Elle a juste relevé sa manche assez pour te laisser faire ton travail. Tu as bien vu qu'elle n'était jamais à l'aise lors des examens. Tu sais qu'elle a pris l'habitude mais c'est évident que cela ne l'enchante pas, à juste titre. Tu esquisses un léger sourire quand elle te rappelle les sécurités que tu dois prendre en mettant des gants.

« Bien entendu Mademoiselle Tsukanji, je prendrais toutes les précautions d'usages. »

Malgré son ton froid, le tien est doux. Tu te veux rassurant. Tu vois bien sa grimace d'anxiété. Tu espères la rassuré sur ton expérience. Elle te connait peu, surtout dans cette environnement-là. Tu veux lui prouver que tu sais ce que tu fais, sans paraitre désagréable. Ton but n'est pas de la mettre mal à l'aise. C'est plutôt toi qui est gêné d'être à genoux à côté de son fauteuil. Tu as l'impression d'être un médecin du moyen âge auscultant une noble dame. Il ne manque plus qu'elle soit habillée d'une longue robe et d'un corsé. Enfin tu sais bien que face à la maladie tous les humains sont égaux. Enfin l'argent permet à certains d'avoir des meilleurs traitements. Pourtant les maladies se moquent des fortunes, des réputations, du sang noble et même tes hygiènes de vies. Tu sais qu'un cancer peut atteindre un non-fumeur qui n'a jamais bu une seule goutte d'alcool. Malheureusement la vie peut être injuste et rien ne peut garder un homme en bonne santé. Finalement tout le monde s'avance vers la mort, certains plus vite que d'autres. C'est pour aider tous les défavorisés de la vie que tu as fait médecine. Ta patiente aujourd'hui est aussi importante que les sans-abri que tu auscultés aux urgences. Tu n'es pas là pour juger la vie des gens, simplement pour les soigner et les aider au mieux. Tu calcules son pouls tout en lui posant les questions courantes. Il est clair qu'elle est agacée et passablement triste. Tu ne mentionnes rien, préférant retiré le matériel. Cela serait assez mal venu de ta part de lui dire que tu comprends et essayer d'apaiser sa peine. Bien entendu tu vas te poser en oreille à l'écoute un peu plus tard. Si ce n'est pas ton rôle d'être psy, tu te dois d'être attentif à l'état mental de tes patients et les aider au mieux. Tu n'es clairement pas le mieux placer pour apporter un soutien psychologique, malgré tout cela fait partie de ton travail d'être à l'écoute.

Tu lui annonces ses constantes avant de te lever pour aller enfiler une paire de gants et mettre ton stéthoscope autour de ton cou pendant qu'elle te répond. Tu l'observes attentivement avec une moue désolée. Il est vrai que sa maladie peut cause des fatigues si elle fait trop d'exercice. Elle doit avoir un rythme de vie tranquille, éviter le sport et les activités physiques importantes. Tu te dois de lui rappeler et chercher à savoir si elle a fait des choses nouvelles ces derniers temps.

« Vous savez qu'il vous faut beaucoup de repos et pas d'activité intense. Est-ce que vous avez eu un rythme de vie plus soutenu ? Il vous faut faire attention lorsque vous avez des vertiges, une chute est fortement déconseillé je ne vous apprends rien. »

Tu es obligé de lui tenir ce discours. Tu sais bien qu'elle connait toutes les facettes de sa maladie qu'elle vit au quotidien. Malheureusement tu te dois de l'avertir et d'essayer de comprendre ses fatigues passagères. Si jamais cela continue, elle risque de se retrouver hospitalisé et sous surveillance. Tu vas surement lui proposer de la revoir plutôt que prévu. Il est plus judicieux d'anticiper une évolution de la maladie. Tu t'es à nouveau rapproché pour commencer ton auscultation. Tu es plutôt mal à l'aise de devoir effectuer les palpations chez elle. Tu l'invites d'un signe de la main à l'allonger sur le canapé.

« Si vous voulez bien ? Je vais vérifier votre foie, écouter votre cœur et votre respiration comme d'habitude. »
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