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 (Madd) La vérité peut faire mal

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Anonymous

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MessageSujet: (Madd) La vérité peut faire mal   (Madd) La vérité peut faire mal EmptyMar 7 Mai - 23:17

Tu donnais plus de nouvelles, pas un texto pour dire où tu étais, non tu avais trop honte, honte de la chose que tu es devenue. Allongée sur le lit de cet hôtel minable, tu regardais le plafond les larmes aux yeux. L'alcool dans ton sang n'aidait pas vraiment, ni le joint que tu venais de fumer avec l'homme qui quittait ton lit. Cet homme beaucoup trop vieux pour toi, tu avais voulu passer du bon temps, ne penser à rien juste à ton plaisir. Mais voilà maintenant tu ne savais plus comment rentrer, tu étais perdue comme môme et le seul qui pouvait clairement t'aider était Mad ou maddox au choix, c'était libre. En colère tu disais Maddox pour lui faire comprendre et quand tu étais douce, c'était Mad. Caressant le dos de l'homme tu le laissas partir, il laissas des billets sur la table de nuit, comme-ci tu étais une pute, tu lui hurlas de reprendre son argent, et de quitter cette pièce rapidement. Les larmes doucement se mirent à couler sur tes joues, pourquoi tu étais devenue ainsi ? pourquoi tu étais devenue la pire des pestes, pourquoi tu faisais autant souffrir les autres ? Attrapant ton téléphone malgré la tête qui tournait tu composas le numéro de Mad, raccrochant avant que cela sonne. Tu décidas de lui envoyer un texto pour lui dire où tu étais besoin d'aide au motel. Reposant ton téléphone sur le lit, tu tombas en arrière fermant les yeux doucement pour éviter que ta tête ne tourne, l'envie de vomir fit son apparition, te redressant sans prendre la peine de te mettre un peignoir sur le corps tu courras aux toilettes pour vomir enfin l'alcool qui te donnais un mal de crâne. Tu te laissas tomber contre le mur quand tout un coup quelqu'un frappa a la porte de la chambre que tu avais loué, tu remis tes cheveux en place "C'est ouvert". Tu te regardas dans le miroir, sans pour autant te lever restant contre le mur, pas peur de tomber "Je suis dans la salle de bain". Tu fermas les yeux prête à subir les insultes de ton frère

@Mad Roosevelt
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MessageSujet: Re: (Madd) La vérité peut faire mal   (Madd) La vérité peut faire mal EmptyMer 8 Mai - 3:40

tu raccrochas. sans un aurevoir à ton grand frère. sans une résolution de conflit. t'en avais un peu marre de devoir fourrer ton nez dans chaque ruelle, à tous les soirs qu'il te dit qu'elle n'est pas rentrée manger. qu'elle n'est pas dans son lit. qu'elle ne donne pas un signe vital. même pas l'emoji de doigt d'honneur en texto. ça te prenait parfois au ventre. parce que c'est ta soeur. et que t'as revêtu les ailes d'ange gardien depuis sa naissance. mais t'as des problèmes dans ta vie. et devoir gérer les siens devenait de plus en plus insoutenable. mais t'arriveras jamais à l'abandonner.
t'étais déjà sorti pour glisser ta massif silhouette sous les lampadaires. épier la ville dans les recoins qui risquaient de lui plaire à elle. tu te demandes toujours à quel moment vous l'avez échappé, cette gamine. l'départ de la mère ? la crise identitaire du père. ou le dérapage psychologique de chacun des trois Roosevelt. t'avais le goût amer de responsabilité qui délogeait pas et t'essaya de le ternir d'une bonne clope. tu ne sais pas ce qui risque de te tuer en premier. ta soeur. ta clope. ta bagnole. ou cette femme qui n'a jamais quitté tes pensés. un cocktail molotov de tous ces éléments, sûrement.
tu jures tout bas lorsque tu entends ta sonnerie retentir. mais c'est ta clope au sol qui donna la réponse au contenu du texto. surtout de la provenance. tu rebroussas chemin pour retoruner chez toi. moitié au pas rapide, moitié à la course. t'allais définitivement choper une crise cardiaque. comme ton imbécile de soeur allait choper une maladie juste à effleurer une poignée de porte dans ce motel.
ta bagnole. l'adresse. les pneux qui crient au dernier virage et tu fais claquer la portière. tu prends le temps de verouiller. on sait jamais trop ce qui se passe autour de cette place. deux temps trois mouvements, t'es devant la porte de la chambre. d'un, tu ne sais même pas pourquoi tu cognes. mais tu ne te fais pas prier pour entrer à la volée. instant de panique lorsque tu ne l'apercois pas dans la chambre du premier coup. à peine t'analyses la situation que tu t'avances et que tu pousses la porte menant a la salle de bain.
tu trouves ça triste. l'état de son visage. l'odeur sur qui émane de la pièce. sa nudité gratuite. t'es pas choqué de voir un peu de peau. à tes yeux, elle avait encore sept ans et tu devais encore lui donner son bain. tu soupires dans un râle en t'avançant. t'attrapes une serviette que tu analyses. des tâches de trop. t'abandonne l'idée. tu retires ton manteau que tu installes sur l'évier. puis ta veste. source de chaleur  et sûrement un des seuls élements propres de la pièce. tu la poses sur ta soeur avec non chalance. "tu vas choper des maladies à t'assoir cul nul au sol ici." t'aurais pu garder le silence. mais tu ne pouvais pas t'en empêcher. en t'accroupissant devant elle, tu sens une tuile se rompre sous ton talon.
il y a ta main encore froide de l'extérieur qui se tend vers son visage blanc et tu attrapes son menton. t'allais juger des dégâts physiques plus tard, s'il y en a. tu relèves sa tête en espérant capter son regard. défitivement les pupilles un peu dilatés. rien de trop grave. alors c'est son poignet que tu prends pour tirer dessus et regarder l'intérieur de son bras. pas de marques indésirables. mais tu t'attardes finalement aux plaques sur ses joues. elle avait pleurer. "qu'est-ce que t'as fait, Dylan, encore ? qu'est-ce qui se passe cette fois-ci ? " t'aurais aimé que ta voix ne sonne pas aussi brusque. mais tu ne parvenais pas à te retenir. tu prends sa main et tu te lèves. en espérant qu'elle suive le mouvement. t'allais pas la laisser faire mumuse avec la moisissure de la salle de bain.

@Dylan Roosevelt    
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(Madd) La vérité peut faire mal
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