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 I belong to you and you belong to me + Kitana

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Sunhi Ahn

@ Sunhi Ahn

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Tu dis au gens que tu es étudiant en bourse et livreur. Tu ne ment pas, tu caches seulement une partie de la vérité.

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MessageSujet: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyLun 17 Juin - 21:01

I belong to you
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you belong to me




Tu as la bouche grande ouverte, ne regardant que le plafond depuis les trois dernières heures, ne sachant même pas quoi faire de tes dix doigts. Tu as bien entendu le médecin parler à une infirmière, personne ne sait quoi faire de toi. C'est simple … tu es arrivé à l'hôpital avec une sale gueule, venant tout juste de te battre. Toi qui ne voulait pas y aller, quelqu'un t'y as déposé, contre ton gré. Et pour cause, tu n'as aucune carte d'identité sur toi, tu ne devrais pas te retrouver ici. T'as jamais eu de cartes bien à toi, que ce soit une carte bancaire, une carte d'identification ou même de carte de bibliothèque. Tu as bien pris le bus quelques fois mais encore là, pas de carte. Aucune trace de toi et pour cause, tu n'es même pas supposé te trouver à Londres et encore moins dans cet hôpital. En plus, ce n'était qu'une toute petite bagarre de rien du tout, qui avait pris fin lorsque tu avais commencé à pleurer et maintenant … à cause d'un abrutis qui n'en avait rien à faire de tes attaques verbales, tu te retrouves pris sur une chaise d'attente … à attendre. Tes blessures ne sont pas grave du tout, tu es seulement marqué à l'arcade sourcilière droite et tu as vachement mal à la main droite, mais ce n'est pas de la faute de ton traqueur, mais bien de la tienne. Tu as tout bonnement frappé le mur, au lieu de le frapper lui. Lui ? Il n'a fait que se défendre, puisque tu venais de le voler, sans même faire attention. Peut-être cherches-tu un peu d'attention depuis quelques jours, peut-être cherches-tu une manière de te faire remarquer. Et bien, c'est le cas.

Tu sais bien que ça ne donnera rien, t'as aucune carte sur toi, personne ne peut savoir qui tu es réellement. Qui es-tu ? Toi-même, tu ne saurais dire, avec tout tes mensonges. Tu as tellement menti depuis les dernières années, qu'il n'est pas évident de savoir qui tu es sincèrement. Peut-être n'es-tu qu'un gamin menteur ou celui qui pourra faire tomber Londres prochainement, tu ne veux même pas le savoir, tu ne veux pas te donner de faux espoirs. Tu veux pourtant passer à l'histoire et fuck si c'est sous un autre pseudonyme. Tu ne veux pas être oublié, tourner la page et faire comme si tu n'avais jamais existé. Impossible. Tu veux laisser ta marque, te montrer puissant et te faire connaître comme quelqu'un de puissant. Malheureusement, tu es mal parti. Vraiment …

Elle s'approche, prenant place devant toi, sur une chaise inconfortable. Ton regard s'est tout de suite attaché à elle, sur son corps, portant bracelet de valeur. Tu t'en moques qu'elle soit brune ou blonde, elle serait même jolie en rousse, tu n'as vu que ce qu'elle porte autour de son poignet. Tu t'es empressé de te racler la gorge, pour qu'elle puisse te remarquer ou, du moins, qu'elle puisse lever une seconde la tête dans ta direction. Un mince sourire sur tes lèvres apparu, gêné. Tu sais bien que c'est ainsi que tu plais, que ce soit à la gente féminine ou masculine. Le gamin gêné, celui qui ne sait pas trop dans quoi s'embarquer. Celui qui ne veut pas être vu, celui qui ne veut que bien paraître. Le gamin de bonne famille, qui attend sagement sa petite sœur devant passer voir le médecin, peureuse comme deux. C'est cette carte que tu as décidé de jouer, espérant pouvoir faire effet. Tu ignores si cette aspect de ta personnalité pourra fonctionner, tu ne fais que la regarder de la tête aux pieds, la détaillant du regard sans aucune gêne. Voyant qu'elle n'a toujours pas bougé, qu'elle n'est toujours pas venue te rejoindre, prenant place à tes côtés, tu décides de changer de tactique, essayant une deuxième phase. Tu l'aurais bien sifflé, mais tu ne sais pas faire. - Est-ce que t’as un Pansement ? Je viens de m’écorcher le sourcil en tombant pour toi. - Tu marques tes paroles d'un geste, lui montrant ta blessure au-dessus de l'œil. Peut-être que ça, ça pourra fonctionner ?  

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Kitana Tsukanji

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Violoniste (Soliste) & ancienne danseuse classique (Ballerine) / étudiante privée au prestigieux conservatoire Royal Academy de Londres (Musique classique, danse classique & art dramatique)

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyJeu 20 Juin - 5:14

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Le jour où tu dois faire ta consultation hebdomadaire, c'est toujours un jour où tu as une certaine crainte, et une grande appréhension que ton médecin t'annonce une mauvaise nouvelle. Comme quoi ton état de santé s'est aggravée, et que tu dois être hospitalisé dans les plus brefs délais. Te retrouver coincée dans un lieu comme l'hôpital, tu veux éviter à tout prix, car tu détestes cet endroit au point d'éviter le plus possible de te retrouver dans ce bâtiment que tu fuis comme la peste. Néanmoins, ta maladie te donne cette obligatoire de t'y rendre au moins une fois par semaine pour une consultation, et connaître le diagnostic de l'évolution de ton hépatite B. Ta santé et ta maladie ont toujours étés stables, sans évolution grave diagnostiquée. Ta maladie ne peut plus être guérie, où du moins, elle fera toujours partie de toi, mais depuis que tu es tombée malade, tu prends encore plus soin de ton hygiène de vie, et tu fais attention à ton traitement que tu dois prendre chaque jours. Mais en toute évidence, depuis toute petite, tu as toujours eu une santé fragile et faible, et tu as toujours dû faire attention pour éviter de tomber malade ou de te casser quelque chose. Heureusement que tu viens d'une famille stricte avec des lignes de conduite, ainsi qu'un confort luxueux pour pas que tu t'égares. Au cours de ta vie, tu estimes que tu as suffisamment passé de temps dans un hôpital, un endroit qui te donne dégoût et peur. Tu n'es clairement pas à l'aise dans ce lieu, et tu es automatiquement mal. Avec en prime tout ces gens répugnants dont tu préfères éviter de t'approcher. Que ça soit le personnel hospitalier, ou les civiles qui viennent se soigner ou divers problèmes. Un hôpital est sans doute le pire endroit pour une personne comme toi, aussi prudente envers le bas monde, et qui n'apprécie guère les endroits publics.

Comme d'habitude, tu aimerais vite passer cette entrevue, et quitter cet endroit affreux le plus rapidement possible. Tu dois te rendre à l'hôpital, alors que par des moments, il suffit de te rendre dans un simple cabinet médical, et même si tu considères ce lieu aussi repoussant qu'un hôpital. C'est tout de fois moins désagréable et oppressant que l'hôpital. Mais pour aujourd'hui, c'est avec obligation que tu dois aller dans ce bâtiment hospitalier, tellement d'obligation, que c'est comme-ci que tu avais une chaîne autour du cou et que tu étais esclave de ton propre destin. Malgré tout ça, même si tu maudits cette maladie, tu as tout de fois conscience que tu as besoin de ces consultations pour le bien de ta santé, et à domicile ce n'est pas possible. Tu n'aimes pas cela, mais tu dois être suivie, et bien entourer pour éviter d'aggraver ton cas. Niveau médical, ton dossier médical est bien remplis, et pourrait occuper un bon moment un bon docteur. Un temps, c'était le cas, lorsque ta maladie s'est étendue et développer dans ton sang et ton corps. Mais depuis deux années, tu as le même médecin qui te suit, surveille ta santé et son évolution. Alors depuis, il connaît ton dossier médical par cœur, et connaît évidemment sur le bout des doigts la maladie qui te hante, et les risques que tu peux encourir si tu ne fais pas attention à ton hygiène de vie et si tu sautes un traitement quotidien. Il y a une épée de Damoclès au-dessus de la tête, même si tu fais tout pour ne pas y penser, ta maladie te rattrape assez rapidement par les symptômes que tu peux avoir et ressentir. Alors même si tu n'aimes pas ces moments, les consultations à l'hôpital et ton traitement, tu ne les prends pas à la légère et tu les respectes malgré toi. C'est fort conseiller pour pas que ton espérance de vie diminues considérablement.

Tu aimerais pouvoir être face à ton médecin dès que tu mets tes pieds dans l'hôpital. Malheureusement, ce n'est pas non plus ton médecin personnel, et à l'hôpital, il y a évidemment souvent du monde hospitaliser, ou des personnes qui viennent pour des bobos, souvent inutiles, certes. Tu serais capable de faire un scandale à l'accueil comme quoi tu n'as pas la priorité, même si tu arrives à l'heures, comme toujours tu as l'impression. A ton arrivée, tu constates que c'est encore le cas aujourd'hui, ton docteur est occuper pour le moment, et même si tu as été assurer qu'il allait vite venir te récupérer. Tu n'es pas satisfaite qu'on te fasse attendre. Tu n'as pas forcément pris l'habitude depuis le temps. Tu as ton masque sanitaire qui couvre la moitié de ton visage, comme toujours, lorsque tu quittes ton confort luxueux de ta demeure. Afin de te sentir en sécurité à l'extérieur, et éviter de respirer et sentir le même air poisseux que les autres. Dès que quelque chose ne te convient pas, même un simple petit détail, cela ne te plaît pas et tu peux vite devenir énervée et sur les nerfs. Alors, tu intègres la salle d'attente en étant déjà suffisamment sur les nerfs, où tu pars t'installer rapidement sur un siège. Du moins, tu fais quand même attention en observant légèrement que ce siège soit propre, et surtout que tu sois assez éloignée des autres personnes présentent dans la salle. Heureusement, la salle n'est pas vraiment remplie, alors tu trouves facilement une rangée vide où aucune puanteur humaine viendra te déranger. Même si en sois, cette sale entière, voir tout l'hôpital, voir le monde entier, est une source de déchets toxiques pour toi. Si tu restes si impartiale, c'est qu'aujourd'hui, tu te sens particulièrement faible et fatiguer. Rien qu'en t'essayant sur ce siège, tu sens que cela fait du bien à ton corps, à ta tête et à ton estomac. Tu sens comme ton énergie s'évaporer à vue d'œil. Tu aimerais sincèrement que cela se fasse vite, et que tu retournes chez toi dans ta chambre. Le seul endroit où tu te peux te sentir à merveille, en sécurité, dans un confort, et surtout te reposer lorsque ton corps te donne des signes.

La patience n'est pas du tout ton fort, surtout lorsqu'il s'agit d'une patience dont tu détestes subir. Alors il est évident que tu vas voir les secondes passées comme des minutes. Pour le moment, tu gardes ton sac à main sur tes cuisses, et tu vérifies dans ton sac à main si tu n'as rien oublier, comme ta carte vitale d'assurance maladie, ou quelques papiers te concernant, que ça soit autres ou médicales, comme tes prescriptions et tes antécédents. Même si en sois, ton médecin a ton dossier médical et ses détails à la lettre. À l'intérieur de la pièce, tu fais attention à rien, tu as les yeux rivés à l'intérieur de ton sac, même si parfois tu lèves d'impatience les yeux de temps à autres vers la porte. Afin d'espérer d'entendre ton nom, ou bien qu'on te signale que c'est ton tour. Soudainement, tu as l'impression que quelqu'un t'adresse la parole. D'un simple coup de vent, tu lèves ton regard en direction d'un homme qui te semble un parfait idiot répugnant. Mais en même temps, quelle personne qui ne fait pas partie de ta classe ne considères-tu pas comme tel ? Surtout, lorsque la personne en question te tutoie. Dans ta classe, cela est un manque d'éducation et de politesse. À cet instant, tu estimes qu'il vient de t'insulter. En tout cas, c'est réellement à peine que tu as posé ton regard sur lui, que cela suffit pour qu'il te dérange beaucoup. D'autant plus que tu n'es pas vraiment sociable et amicale. Tu aimerais qu'on te laisse en paix lorsque tu es dans un jour où tu dois te présenter à ta consultation. Tu es loin d'être dans l'esprit qu'un idiot vienne te déranger avec son numéro ridicule. << Ce n'est pas mon problème, je m'en fiche complètement. >> Dis-tu très froidement derrière ton masque sanitaire qui couvre un peu ton visage très fermé. Tu ne veux pas qu'un cafard vienne te causer, et même s'approcher de toi. Ce n'est pas pour rien si tu as choisi une rangée de sièges vides. Tu ne comprends pas pourquoi quelqu'un vient de te parler ainsi, tu t'en fiches royalement des problèmes des autres, et du coup, du sien. Il pourrait avoir une jambe cassée ou faire une crise cardiaque, que tu n'en prêterais pas attention une seule seconde, et encore moins tu prêterais main forte en confiant un objet qui t'appartient. Ton sac à main contient tellement de choses, qu'il est certain que tu possèdes des pansements. D'autant plus venant toi, même si dans ton cas il serait mieux de conseiller une bande plutôt qu'un simple pansement si tu te mets à saigner, même à peine à travers une égratignure. En tout cas, qu'il s'estime heureux que tu ne lui aies pas répondu plus directement et plus violemment. C'est déjà un miracle que tu lui répondes, et d'un calme froid comme la glace. De cette simple réponse, tu ne fais plus attention à lui, et tu continues immédiatement à fouiller tes papiers à l'intérieur de ton sac.  
 

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyVen 21 Juin - 16:25

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Dieu que tu aimerais être ce sac, posé sur ses jambes fines, te faisant fouiller la pense de cette manière. D'une manière complètement désinvolte et avec préhension. Oui, tu te mords la lèvre inférieur tandis que ton regard la scrute sans difficulté, t'imaginant déjà entrain de sentir ses doigts dans tes cheveux, tandis que tu serais entrain de l'aider à chercher l'objet de son désir … dans son sac à main.  Ta langue parcours tes lèvres lorsqu'elle remonte sa tête vers toi, tu es entrain de manigancer des paroles enfantines, jouant entre la drague et la luxure. Mais visiblement, elle n'en as rien à faire de toi, comme de tes paroles et tes yeux de brebis égarées. Bien des femmes seraient déjà à genoux devant toi, te faisant de la lèche, espérant que tu puisses les choisir pour mettre tes phrases de drague à exécution. Honnêtement ? Ça n'a jamais fonctionné. Que ce soit tes yeux doux, tes paroles pouvant même faire dégueuler le chien de la voisine d'en face ou encore, tout tes petits caprices que tu as toujours essayé de continuer de faire vivre malgré ton envie irrésistible de tout envoyer balader. Oui, tu es un grand charmeur, mais non un grand charmant. Tu es plutôt dérangeant et surtout gênant pour les gens qui te connaisses et sont près de toi. Et heureusement pour toi, tu ne connais personne en ce moment. Ou tout du moins, même si l'envie de connaître la demoiselle devant commence à se faire ressentir, ses paroles te font un peu grimacer. Peut-elle être plus gentille envers toi ? Oh que si, et facilement en plus. - T'es vraiment à croquer quand t'es énervée … - Et tu oses lui sourire encore, comme un gamin qui vient de découvrir pour la première fois la grande roue.

Dieu que tu aimerais être dans une grande roue avec elle, espérant lui faire perdre ses moyens. Tandis qu'elle continue de fouiller dans son sac, tu regardes sentimentalement parlant, le bracelet tinté à son poignet. Bracelet aussi, tu veux devenir, ne serait-ce que pour épouser les courbes de son bras, et se faire caresser par le bout de ses doigts. Tu te fais violence pour ne pas te mordre l'intérieur de la joue au sang, pour ne pas dire quelque chose qui pourrait trahir ta nervosité. Ce n'est à tout les jours que tu peux essayer de perdre ta crédibilité devant une telle créature aussi brillante devant toi. Et la demoiselle qui porte ce bijou n'est pas laide non plus, tu dois te l'avouer. Tu te lèves regardant un peu autour de toi, remarquant que vous êtes presque les deux seuls dans la salle d'attente. Une vieille femme est assise beaucoup plus loin, le regard vers le plafond, la bouche grande ouverte. Oui, c'est bien de la bave que tu vois sortant de sa bouche, elle est entrain de dormir solidement. Tu prends place à côté de la créature possédant l'objet de ton envie présente, avant de te tourner vers elle. - Bon, je suis ici. C'était quoi tes deux autres souhaits ? - Un sourire, laissant découvrir tes dents étrangement parfaitement blanches. T'as beau de ne pas avoir eu un toit sur ta tête à tous les soirs, ton hygiène est quelque chose que tu prends soin. Tu ne veux pas paraître comme ceux avec qui tu parles, soit des sans-abris sans dents et avec de la noirceur autour des doigts. T'as peut-être l'air d'un gamin possédant aucune scolarité lorsque tu ouvres la bouches mais tout de même, tu as l'air d'un gamin qui veut prendre soin de son apparence. T'es peut-être pas un gosse de riche, dans la peau du mec un peu trop sûr de lui, mais t'es loin d'être qualifié comme un gosse répugnant. Et ça, tu ne veux jamais l'entendre dire de la bouche de quelqu'un.

- En plus d'être sexy, tu fais quoi pour vivre ? - T'essaies d'engager la conversation avec elle, rendu à deux pouces de son visage. Tu ne veux pas paraître envahissant, mais c'est bien le cas. - Une jolie demoiselle comme toi, dois bien posséder un prénom pour aller avec son joli visage d'ange ? À moins que je puisse t'emprunter un baiser ? Je te le jure, je te le rendrai … - Ton esquisse un léger sur tes lèvres tremblantes, masqué par un voile de gêne. AHAHAHAH …. Quelqu'un y a vraiment cru ? Non, en réalité, tu as penché la tête vers la droite, sourire épais aux lèvres, attendant sa réponse avec impatience, les yeux bien ouverts. Tu ne veux manquer aucun de ses mots, tu veux pouvoir lire sur ses lèvres tout ce qu'elle peut te dire. - Tu sais que si tu es perdue, je peux te raccompagner ? Puisque le ciel est bien loin d'ici … Je devrais peut-être appeler Dieu pour lui dire qu'il a perdu un de ses anges ? -   

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyLun 24 Juin - 13:35

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En voyant ce genre de personnes qui se tuent au ridicule, tu aimerais tellement pouvoir ne jamais sortir de chez toi pour être certaine de ne pas croiser des énergumènes dans son genre. Et avoir cette confirmation qu'au fond n'est pas fait pour une divinité comme toi. Tu n'as pas l'ombre d'un doute qu'il se donne un genre, et fait simplement son intéressant pour essayer au moins une minute de sa vie d'être quelqu'un. Néanmoins, il est évident qu'il n'a absolument rien d'intéressant, et qu'à peine, il ouvre la bouche, ta main te démange atrocement pour l'envie que tu as à le gifler bien comme il se doit, pour résoudre sans attendre ce petit désagrément. Malheureusement, tu as des obligations, comme aujourd'hui, et tu es bien obliger de te rendre à l'intérieur de lieux publics comme celui-là, et être au contact du monde. Tu n'as pas la sentiment de donner l'air de t'énerver. Tu es juste au naturelle, étant donné que si tu te serais vraiment énerver, il l'aurait senti passer avant même qu'il puisse poser un regard sur toi. Tu te contentes de lui donner un gentil avertissement, afin qu'il retourne dans son trou et te fiche la paix. Sinon, tu iras trouver la paix par tes propres moyens. En tout cas, sa phrase est répugnante, et tu lèves un sourcil exaspéré. C'est bien ce qu'il te semblait, il a réellement un semblant de ridiculise. Il espère te séduire de cette façon ? Avec des phrases de chiens dégoûtants ? Tu es à deux doigts de lui faire ravaler ses dents, mais tu restes sans expressions concrètes, juste dubitative dans ce que tu dois réellement faire. Tu as dans l'espoir qu'en ne réagissant pas à son attitude grotesque, qu'il puisse s'en aller, ou alors qu'une employée vienne te chercher pour ton rendez-vous. Tu ne prends plus la peine de fouiller dans ton sac, tu as quand même pu remarquer que tu n'as rien oublier, et que tout devrait se passer comme d'habitude. Du moins, il te semble, ta santé t'a tout l'air d'être stable, sans fissure inquiétante. Tu te forges une bulle afin de ne pas faire attention à lui. Tu n'émets aucun signe en sa direction, et tu l'oublies dans la seconde qui suit.

Tu gardes bien en sécurité ton sac sur tes cuisses, avec tes bras autour du cuir. Tu as les yeux baissés, et tu observes ton bracelet au poignet. Tu le tournes un peu et le chatouille du bout de tes doigts pour jouer d'impatience avec ton bijou. Tu remarques du coin de l'œil qu'il vient s'installer à côté de toi. Et cette action te fait grimacer de dégoût derrière ton masque sanitaire. Tu le lui envoies cette onde, à travers d'un coup d’œil sombre, comme un coup de hache qui le juge sur place. Tu penses simplement changer de place, mais dans ton honneur tu ne veux pas bouger, car pour toi cela voudrait dire qu'un pouilleux comme lui à réussi à te faire bouger et à y faire sa loi. Tu ne peux pas accepter ça, et tu dictes que la hiérarchie doit être respecter à la lettre. Tu as atteint cette place, et tu n'en bougeras pas à cause d'un type comme lui, certainement pas. Il est hors de question que tu te soumettes à ce genre d'oppression désagréable, même par ce simple détail. Tu t'es un peu décalé de ton siège, afin de t'éloigner le plus possible de lui malgré tout, sans pour autant changer de siège bien entendu. Tes fesses sont presque au bord de la surface du siège, alors que tu continues à tournoyer délicatement ton bracelet autour de ton poignet. Tu entends bien des oreilles, malgré toi, tu entends sa deuxième réplique, et cela te donne simplement l'envie de rire de moquerie. Tu as la sensation d'assister à un cirque pour mongoles. Tu n'oses poser un seul regard sur son visage, au risque de vomir de dégoût, et que cela te pique les yeux. Alors que tu finis par croiser délicatement tes jambes en observant littéralement à l'opposée de cet idiot. Tu te dis que tu as bien fait de ne pas avoir oublié ton masque sanitaire, car tu es persuadée que son odeur de rat serait arrivée par mutiler tes narines. Tu remercies d'avoir ce simple bout de tissu à ta disposition, même à Londres, pour éviter de respirer l'air toxique et pollué de ce Monde.

Tu arrives sans problème à ne pas le calculer, de faire comme-ci qu'il était invisible, ou même qu'il n'existait pas. Tu n'ouvres plus une seule fois la bouche pour ce mécréant. Tu es bien douée pour ça, tu en as mis des vents à certaines personnes, que ça soit des garçons qui ont essayer de te séduire, ou encore d'autres pour d'autres raisons. Il te dit que tu es sexy, suivi par une question indiscrète. Il espère quoi ? Que tu vas taper la discute avec lui ? Il est bien loin du compte le pauvre. Tu restes parfaitement de marbre, sans broncher à aucun de ses mots. Tu as l'air qu'un simple pique de glaçons ! Tu ne réfléchis pas s'il est sincère dans son attitude et ses compliments, ou s'il joue un jeu tout simplement. Mais son compliment à ton égard te fait bien ni chaud ni froid, car tu sais par toi même que tu es sexy et belle, et surtout parfaite. Que tu ferais tomber n'importe quel homme sous ton charme naturel, et que tout les être humains de cette planète sont à tes pieds dès qu'ils posent leur regard sur ta magnifique et majestueuse personne et silhouette. Il ne t'apprends absolument rien, et ta confiance en toi est incassable, et ça sur tout les points et domaines. Néanmoins, tu as l'impression qu'il s'approche un peu trop de toi. Tu fronces subitement les sourcils d'énervement sans pour autant tourner ton regard vers lui. Tu peux paraître calme à première vue, mais le sang boue très vite avec toi, et ta colère arrive comme la foudre qui frappe le sol. D'une façon imprévisible, sans que personne ne s'y attente. En tout cas, il t'agace sérieusement. Pourquoi es-tu aussi jolie ? Tu n'y peux rien, tu as récupéré la beauté de ta défunt mère. Tu ressembles comme deux gouttes d'eau à ta mère, et cela tu le sais. Néanmoins, ce n'est pas la première fois que tu te retrouves dans cette situation, et à chaque fois tu t'en es sortie à merveille. À vrai dire, tu pourrais prendre ça comme une partie d'échec, mais tu en restes indifférente. À tes yeux, il se rend juste en ridicule. << Je vous conseil d'arrêter ça dans l'immédiat. Et de retourner à votre place le plus rapidement possible. C'est-à-dire loin de moi. >> Dans un premier temps tu lui donnes une réponse direct et froide, représentant ton état d'esprit. Il te sort des phrases sortie d'un bouquin, tu en es certaine. Tu as simplement la sensation qu'il répète une leçon. Pas de chance pour lui, cela n'a aucun effet sur toi. << J'attends simplement mon rendez-vous. Je suis bien loin d'être perdue. Allez donc joué le Roméo ailleurs avant de regretter vos actes. >> Tu es un peu menaçante, et il est clair que lorsqu'il faut passer à l'action, tu n'as pas froid aux yeux. Tu as beau être bourgeoise, et faible physiquement. Tu n'en restes pas des moindres maligne et rusée, voir même manipulatrice et calculatrice. Tu en as construit des grandes œuvres grâce à ta malice intelligence et à ta vision destructrice planifiée. Depuis que tu es arrivée à Londres, tu t'es rendue à l'hôpital à de nombreuses reprises. Alors, tu connais les lieux par cœur, et la distance entre ta villa et ce bâtiment en est devenue banale pour toi. Tu es bien loin d'être perdue, et même, ça te fruste de connaître autant ce lieu répugnant malgré toi. << L'ange perdu comme vous dites, est bien plus qu'un simple ange. >> Évidemment, ton arrogance se fait souvent entendre, et ta considération de Déesse et de supériorité naviguent dans ton sang au quotidien. Sur ceux, tu hausses simplement et légèrement tes épaules d'ignorance, tu ne fais plus attention à lui, et tu regardes les aiguilles sur ta belle montre coûteuse et de marque qui brille sur ton poignet, au milieu de bracelets scintillants. L'heure exacte de ton rendez-vous est passée de quelques minutes, et cela te donne une impatience éclatante. Tu es prête à te lever pour forcer le début de ton rendez-vous. Tu n'as pas toute la journée.  
 

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyJeu 27 Juin - 3:12

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Elle emprisonne son sac à mains avec son bras, déposant le joli bracelet bien en évidence. Est-ce que tu viens de te lécher les lèvres sans aucune gêne ? Oui. Complètement, tout en glissant un mince sourire sur tes lèvres. Tu t'es levé, ne détachant pas tes yeux de son magnifique … sac à main … avant de prendre place à ses côtés. Tu aurais pu prendre la chaise à l'autre bout, ou même, celle qui se trouve à deux petits pas de la sienne, mais c'est sur celle directement à ses côtés que tu as pris place. La demoiselle te regarde et tu te risques à lui sourire, ne voulant pas trop t'avancer sur tes intentions. T'es pas là pour lui faire du rentre dedans mais en même temps, tu ne dirais pas non. Seulement pour gagner sa confiance et réussir à lui prendre le bracelet. Ce dernier doit avoir une certaine valeur, vu de la manière qu'il brille depuis que tu es capable de le voir d'un peu plus près. Elle ? Tu n'as aucune idée si elle brille et ceci t'importe peu. Tu serais même bien content si elle pouvait se mettre à briller de son absence.  

Tu as beau essayé de lui parler, elle te considère comme quelqu'un d'invisible. Tu t'en viens à te demander si elle n'est pas sourde ou tout simplement trop conne. Vu qu'elle t'as répondu quelques mots tout à l'heure, tu optes pour la deuxième option et cette dernière te fais un bien fou de savoir qu'elle est autre chose qu'un porte-bijoux sur deux pattes. Elle est conne aussi, ça lui donne un petit quelque chose de plus. Tu soupires d'amusement à ses paroles. Pour une fois qu'elle décide de te parler, c'est pour te dire de dégager. Et c'est-ce que tu fais, soit te déplacer de quelques centimètres sur ta chaise, t'approchant d'elle par la même occasion. Si elle, elle avait décidé de se déplacer sur le côté pour te fuir, tu venais de recoller les morceaux. Deux corps qui ne peuvent se passer l'un de l'autre. Enfin, si le bracelet pouvait avoir un corps, bien entendu. Tu te fous royalement de son air hautain. Tu en viens même à te dire qu'elle doit être mal baisé pour te répondre de la sorte. Peut-être pourrais-tu lui présenter un ami qui pourrait en profiter pendant que toi, tu plongerais tes deux mains dans son sac à main, à la recherche d'objet de valeurs ? Elle te sors notamment de tes pensées, lorsqu'elle te parle de Roméo. - Tristan. - Tu tousses un peu dans ton poing, voulant dérailler ta voix. - C'est plutôt Tristan et Iseult. Tristan doit aller chercher Iseult et l'emmener à son oncle pour que ce dernier ne l'épouse. Au final, les deux deviennent amants et ne peuvent se quitter. Elle marie l'oncle de son amant mais garda espoir de pouvoir finir sa vie avec le neveu. Lui, il refait sa vie, toujours dans l'ombre de sa belle … et fini par mourir, étant atteint d'une grande maladie. Iseult mourra de chagrin à son tour, au pied du lit de son ancien amant. - Tu grimaces un peu. - J'ai passé tout les trucs un peu inutile, soit qu'elle allait à la chasse aux faucons et que Tristan a dû épouser une autre Iseult mais beaucoup moins jolie que la première. De toute manière, qui s'intéresse vraiment à l'histoire au complet ? Il est juste bon de savoir qu'ils ont couché ensemble au bateau et encore lorsqu'elle était mariée. Au fond, c'est une sale vicieuse. - Tu marques une petite pause, la regardant reluquer sa montre hors de prix. T'as vraiment tapé dans le mile sur cette petite brebis égarée. C'est comme ça que tu la vois car si elle aurait quelqu'un dans sa vie, cette personne lui aurait dit de ne pas sortir attriquée comme un aimant à voleur d'argent. - Tant que l'ange n'a pas dit son prénom, je vais l'appeler Iseult. Avec les regards que tu me lances depuis tout à l'heure, on dirait que tu transpire le vice par tous tes pores de peau. - À ton tour, tu as haussé les épaules bien hautes, l'imitant quelques instants auparavant. - Tu peux m'appeler Tristan si tu veux. Surtout si tu veux reprendre la scène du bateau. -   

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptySam 29 Juin - 5:26

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Il devrait faire attention à ses ailes avant de se les brûler lorsqu'il s'aventure sur un territoire inconnu et hostile comme le tien. Il devrait apprendre certaines manières avant d'aborder une personne sans raison quelque part et surtout, que cela ne se fait pas dans la façon. Ses compliments futiles, il peut se les mettre dans le fion. Cela ne se fait pas pour son espère d'adresser la parole à une personne supérieure comme toi. Il devrait apprendre qu'un sujet comme lui ne peut s'approcher et donner la moindre parole à une forme divine comme toi. Tu éblouis ce monde par ta présence, alors que lui, la rend encore plus crade et affreux. Tu n'as pas l'ombre d'un doute, par ta vision, qu'il est comme un bouffon qui amuse la cours d'un Roi et d'une Reine à ce moment. Il n'a aucun intérêt, à part pour amuser la galerie, même contre son gré tellement il pue le ridiculise et la bêtise. Pauvre de lui, à l'école il devait être la tête de turc par excellence. Il pourrait donner de la pitié tellement que son attitude rejette presque de la peine, mais cela ne fait pas partie de ton vocabulaire, et de tes habitudes. Il est huilé de négativités repoussantes. Pour toi, il est invisible sans aucune aura intéressante, signifiant son statut dans ce Monde à tes yeux. Tel le peuple médiocre qu'il appartient, tu ne donnerais aucun intérêt pour les classes sous la tienne : c'est-à-dire toute. Évidemment, si tu pouvais, tu les détruirais en les piétinants sans retenue tels les infects insectes qu'ils sont. Évidemment que ce rigolo à deux balles, tu le mets dans le même sac que tout le monde. Personne ne doit être digne de s'approcher de toi et de t'adresser la parole sans ta permission, et sans ton autorisation. Surtout un vulgaire inconnu qui a l'air d'un pouilleux qui sort tout juste de la jupe de sa mère. La preuve certainement, il vient à l'hôpital seulement parce qu'il s'est écorché l'arcade ? Le style de pleurnicheur qui sont des cancers dans ce monde. Des bouchons à éliminer et à mettre dans la cave pour laisser la place au cas plus importants, comme toi.

Tu es déjà bien sympa de l'avertir de dégager, car tu peux aller bien plus loin. Tu es certaine qu'il finira par regretter, ce n'est pas le premier cafard qui tente quelque chose avec toi. Ils ont tous échouer, et certain sont même ressortis blesser moralement, et psychologiquement. Cela ne changera pas aujourd'hui par un abruti de plus. Il retournera dans son trou, et réalisera qu'il n'est rien, et n'a aucune qualité pour pouvoir attirer l'attention d'une fille. Du moins, pas quelqu'un comme toi. Il a voulu monter une marche bien trop haute pour sa petite personne et il devrait rester à son niveau. Enfin, cela doit déjà bien être faible. Sans jeter le moindre regard par ce qu'il fait, car tu t'en fiches royalement. Tu te décales légèrement de ta chaise, et lui tournant un peu le dos. Tu croises tes jambes, en gardant bien ton sac à main sur tes cuisses, et à l'intérieur de tes bras. Tu fais vraiment comme-ci il n'était pas là, mais cela n'est pas une illusion, c'est la réalité des choses. Tu oublies sa présence dès les secondes qui suivent. Tu regardes constamment l'aiguille tournée sur ta montre à ton poignet. Pour toi, il se donne un genre qui n'est pas du tout le sien, et qu'il veut se prouver qu'il est capable d'attirer l'attention, mais il s'y prend tellement mal. Il est tellement pas crédible que ses moindres paroles en deviennent aussi important qu'un plot. Tu roules des yeux discrètement en soufflant d'impatience silencieusement lorsqu'il commence à raconter quelque chose. Ses balivernes sont tellement ennuyeuses, que tu n'écoutes vraiment pas son histoire. Tu es totalement désintéressée, que tu trouves même plus intéressant la beauté de tes ongles. Évidemment. Tu te mets même à bâiller derrière ton masque sanitaire, en vérifiant d'un rapide geste celui-ci. De toute manière, il peut dire n'importe quoi, que rien ne te fera réagir, tu es insensible et tu n'es pas émotionnellement compatible. Bien sûr que tu sors avec des bracelets et une belle montre si cela te chante, car tu aimes ça tout simplement. Tu aimes montrer ton argent à travers tes vêtements, tes bijoux, et tes accessoires. Mais par seulement montrer que tu es riche, mais également que tu as du pouvoir. Tu es de base, très méfiance et prudente, surtout avec des étrangers lourds et louches comme lui. Mais c'est une certitude que la crainte, ou la peur de tomber sur une mauvaise personne avec des mauvaises intentions, tu ne connais pas ça. Car tu sais que ton pouvoir, et ton argent, peut faire beaucoup dans ce monde. Tu es bien entourer d'autant plus, avec la réputation de ton père, mais tu sais mieux que personne que tu as d'autres cartes si tu le souhaites. Avec la Triade, et la famille de ta mère. Cela ne s'éteint pas que sur le continent asiatique, mais à travers le monde. Si tu te le souhaitais, tu ruinerais cruellement la vie d'un homme et tu l'as déjà fait ce genre de plan que seules des personnes riches, et avec du pouvoir peuvent se permettre. D'autant plus que tu as un excellent jeu d'actrice, et que soudoyer la justice, tu l'as déjà fait une fois. Où encore tomber sur un policier bien trop naïf, et qui se sent attirer par l'odeur des billets. Tu peux te payer les meilleurs avocats, et même, tu peux te payer une prison entière si tu le veux. C'est une certitude pour toi, que tu peux créer des problèmes et envoyer derrière les barreaux n'importe qui de ce Monde de minables. Ce n'est pas des petites crapules de quartier qui vont t'embêter ou te faire douter. << Dans une pièce de théâtre, le rôle qui vous irez bien est celui du pauvre paysan affreux à qui on humilie dans sa porcherie, et qui cherche à se donner une image pour se rendre un peu intéressant, mais sans réussite. Car sa vie de misérable le rattrape toujours. Peu importe ce qu'il fera, il restera toujours pauvre, affreux et sans intérêt pour des personnes haut placées. Il finira comme la vie lui a été destiner, dans l'oublie et le néant. À mourir seul dans sa pourriture, car c'est ce qu'il est du plus profond de son âme moisie. >> Tu lèves un peu les yeux au plafond, l'air de réfléchir un court instant. Évidemment, tu fais semblant en n'étant pas vraiment sérieuse. Tu te fous littéralement de lui. << Ah, mais oui, vous avez déjà ce rôle dans la vie, pas besoin de le jouer. Alors je vais vous appeler paysan. >> Évidemment, tu t'en fiches de lui et de son histoire à deux francs. Au fond, il peut être simplement un jouet de distraction pour le temps d'attente que tu subis à l'heure actuelle. Il est tellement drôle.

Tu te tournes un peu vers lui, du moins un poil la tête, tu as les yeux enjôleur mais tu fais mine bien évidemment. Rien qu'en l'observant du coin de l'œil, ça te répugne. Tu enroules ton index dans une boucle avec une mèche de tes cheveux d'une façon joviale. << Refaire la scène du bateau dites-vous ? Il faudrait déjà avoir un bateau pour refaire la scène à la perfection vous ne croyez pas ? Mmh >> Comme un miroir qui se brise, tu reprends immédiatement ton air sérieux et froid. Qui n'est pas du tout amical et chaleureux. << Mais regardez-vous. Qui voudrait coucher avec un type comme vous ? J'ai la réponse… que votre main dégueulis. Vous essayez de vous donner un genre, mais je vous apprends que cela ne fonctionne pas sur moi. >> Tu lui tournes de nouveau quasiment de dos, tes jambes croisées sur le coin de ta chaise, en gardant bien une distance de sécurité avec lui. << C'est simple, si vous présentez de nouveau votre numéro de mongoliens. Je signale que vous êtes louche, et que vous me harcelez. J'ajouterais à cela que vous m'agressez verbalement, et que vous êtes prêt à lever la main sur moi. Je joue très bien le rôle de la petite fille victime d'un violent et pervers individu comme vous. >> Ajouter des détails croustillant dans une affaire comme un soi-disant viol, tu l'as déjà fait avec ton ex, mais celui-ci t'avais vraiment tabasser presque jusqu'à la mort. Tu avais parfaitement jouer la victime en y ajoutant ainsi des attouchements sexuels. Tu avais toutes les cartes entre les mains avec ton état. Et tout le monde, presque, y a vu que du feu. Évidemment, tu n'ajoutes pas que tu peux jouée la petite fille fragile, sensible, et victime, mais en plus malade. Ce détail, tu le gardes pour toi comme secret. Vu que malheureusement, il s'agit de la vérité. Tu hausses les épaules en étant dynamique et sur de toi-même en l'oubliant de nouveau. Tu étais loin d'imaginer qu'une salle d'attente d'un hôpital était un refuse pour plouc.  
 

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Sunhi Ahn

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyMer 3 Juil - 4:00

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Tu hausses les épaules, avant de te mettre à sourire, à pleines dents. - Appelle moi Paysan si tu veux, tant que tu m'appelles, ça me convient. - Tu rigoles légèrement, avant de te mettre à la contempler, sans aucune gêne, de la tête aux pieds. Cette fille, elle transpire l'argent. Elle est vraiment sublime. Pas physiquement, tu as déjà vu une boîte aux lettres plus séduisante qu'elle mais avec l'argent qui lui sort des pores de peau, tu peux dire sans problème qu'elle te plait. Même si le fait que les femmes ne t'attires pas physiquement, tu pourrais bien faire une exception pour elle. Et pour ses avoirs. Elle passe son temps à regarder sa montre et tu fais de même, soit regarder sa montre. Tu t'étires le cou pour te montrer intéressé, espérant qu'elle puisse te laisser agir à ta guise. En même temps, tu essaies de voir quelle est la marque de ce bijou, espérant que ce dernier en vaut la peine. S'il ne fait que briller et qu'il ne vaut rien, tu sais que tu t'en voudra d'avoir perdu ton temps. - T'as besoin de mon numéro, pour m'appeler ? - T'espères que non, tu ne sais pas trop ce que tu lui donnerais comme numéro, vu que tu n'en as pas à toi. Il t'arrive d'avoir ton propre cellulaire, mais ce n'est que pour quelques heures, lors d'une transaction, au cas où tu aurais un problème, pour que tu puisses rejoindre quelqu'un. Le reste, le monde s'en fou. Tu es certainement, la seule personne qui n'a pas de cellulaire dans tout Londres et tu devras t'y faire pendant le restant de ta vie. Dommage ... Tu aurais adoré avoir le numéro de sa bijouterie, ne serait-ce que pour t'en approcher en silence et vivre l'un de tes plus beaux fantasmes: Entrer dans une bijouterie comme un client et ne pas te faire regarder de haut.  

Elle passe ses doigts dans ses cheveux et toi, tu ne peux que la regarder faire, la bouche à semi-ouverte. Ce n'est pas son geste qui te plais, mais bien le tintement de son bracelet qui se fait aller tranquillement, tandis qu'elle tourne une mèche de ses cheveux, près de son oreille. - Mouais ... - Tu ne l'écoute pas vraiment, tu entends seulement des brides de mots ici et là, ton regard bien placé sur son bras, qu'elle arrête de bouger. Tu finis par écouter ses paroles qui te font légèrement grimacer. - Pourquoi autant de violence, poulette ? T'es pas la Reine d'Angleterre, à ce que je sache, descend de tes grands chevaux et arrête de te prendre pour la victime des pauvres. T'es réellement adorable lorsque tu es frustrée, mais pas quand tu baves devant moi. - Tu as approché ta main de sa bouche et au Diable son masque sanitaire, t'en a rien à faire. Tu fais semblant de l'essuyer, passant tes doigts sur tes lèvres ensuite. - T'as pas honte de t'en prendre à un pauvre petit orphelin, venu ici pour la perte de son grand frère ? - Tu fais la moue, tu grimaces plus qu'autre chose. - Ton petit jeu, ma jolie, ça peut se jouer à deux. Tu m'accuses de tentatives de n'importe quoi, je te fais enfermer parce que t'es une foutue folle, ça te vas ? -  

Tu croises tes jambes à la suite, prenant un petit air hautain, comme elle. - T'es loin d'être jolie et c'est pas en déplaçant de l'air que tu vas réussir à le montrer aux autres. T'es loin d'être la plus jolie fille d'ici. Même le sac poubelle au coin à plus de charme que toi ... Et lui au moins, ne sent pas de la bouche. - Tu lèves les yeux en l'air, te demandant si la provoquer de la sorte, est une bonne idée. - Et puis ... tu peux bien m'appeler comme tu veux, tout le monde sait que la belle, elle finit avec le clochard, à fin du livre. Tourne en rond si tu veux, fait semblant que tu ne me connais pas, fait ce qui t'enchante. T'as pas la meilleure place pour dire n'importe quoi et encore moins pour le faire. T'es peut-être une petite princesse dans ton monde de paillettes, mais t'es loin de ressembler à une victime. Tu sais, mon coloc, il en ramène des filles comme toi. On appelle ça des filles de joies, pas des princesses. - Tu hausses les épaules encore une fois, avant de te pencher vers elle, lui attrapant le bras par la même occasion, posant tes yeux sur sa montre. - Cinq fichue minutes. T'as pris tout ce temps à me parler avant de me dire que je te plaisais ? T'es attardée ou ça se passe comment ? -  

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyVen 5 Juil - 17:49

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Évidemment, tu l'appelles comme tu l'entends et pour lui, comme tout les autres, ça ne sera pas plus haut que le terme "paysan" et sa signification. Enfin, pourquoi tu comptes "l'appeler" tout simplement ? Tu t'en fiches complètement de lui et de son aura moisi. Tu n'as aucun nom à lui donner, car il ne vaut rien et ne vaut pas la peine de porter un prénom. Il est comme un chien à la fourrière sans domicile, sans nom, sans laisse, sans collier, sans maître. Il pue la crasse et les puces. Tu essayes bien de ne plus faire attention à lui, à la moindre de ses paroles et de ses gestes. Tant qu'il ne te touche pas, ça te passe comme un coup de vent sans la moindre intérêt à y porter attention. Ça rentre d'une oreille, et ça ressort par l'autre, où parfois, ça rentre pas du tout. Il n'a pas l'air de saisir qu'il est juste pathétique et ridicule à tes yeux, mais s'il aime tant que ça de se faire prendre pour un bouffon, c'est son problème pas le tien. Il doit avoir sûrement l'habitude de se faire passer pour un idiot de service sans le moindre Q.I. Oui c'est certain vu sa tronche de débile. Ça fera simplement une nouvelle journée merdique pour lui, alors que pour toi, rien ne va changer dans le cours de ta vie. Une fois la porte de cette salle d'attente atteinte, tu l'auras oublier comme la vulgaire mouche passante qu'il représente. Il y en a des tas des comme lui. En fait, il y en a tellement que cela ne se compte plus. Son numéro ? Il doit vraiment se croire dans un rêve, ce n'est pas possible. Il a perdu un pari ou quoi ? Même la fille la plus écartée ne voudrait pas de son numéro tellement son attitude et ses manies sont repoussantes à en vomir de dégoût. D'ailleurs, c'est inimaginable, irréelle et terne, que ce n'est même pas la peine de répondre à son absurdité. Tu le snobes totalement, inutile de gaspiller de la salive pour une personne aussi fade que lui.

Tu dois avouer que tu aimerais lui donner un petit espoir, lui faire croire que tu tombes dans le panneau à ses moindres positionnements, et que son charme, qui n'existe pas, te fait effet. Évidemment, c'est loin d'être le cas. Pour qu'au final, tu dégonfles comme un poignard son assurance hideuse, et que tu lui mettes un mur monumental afin d'éteindre ses ardeurs qui n'ont pas de chances de conclure. Il se croit permis de te toucher ? Rien que par cette action déplacée, tu devrais lui couper la main pour oser d'avoir touché une œuvre d'art comme toi. Enfin, tu remercies presque le ciel qu'il y a eu ton masque sanitaire pour te protéger de son champignon dégoûtant. Et que tu ne sois pas entrée en contact direct avec sa peau grasse. Tu lui aurais mis une droite bien placer dans sa tronche si c'était le cas. Mais cela ne t'a pas empêché d'avoir un geste de la tête en reculons. Grimaçant désagréablement. La reine d'Angleterre a dit t-il ? Tu as bien entendu, as-tu vraiment pris la peine de tendre un minimum ton oreille pour écouter ce qu'il dit ? Faut croire, dans le seul but d'en rire doucement de moquerie, et de constater que des arnaqueurs comme lui existent belle et bien. Qu'est-ce que tu t'en fiches royalement de la Reine d'Angleterre et de ce pays. Tu vis dans ce pays européen, car ton père y est parti vivre, sinon il est évidant que tu serais resté au Japon, ou partie vivre en Chine. Non, tu es bien plus que ça ! Une divinité réelle. Tu es certaine que lui-même doit être impressionné par ta présence, et les yeux éblouis comme un gosse. Si ça s'trouve, c'est pour ça qu'il est à l'air si idiot, il perd tous ses moyens devant toi. Tu peux comprends ça, dans sa vie médiocre, ce n'est pas tout les jours qu'il doit rencontrer une personne d'or comme toi. Tu es un diamant brut rare. Si tu descends de tes chevaux, même là, il y aura des kilomètres de hauteurs entre une perfection comme toi, et une merde comme lui. C'est peine perdue pour lui, il n'a rien à en retirer. T'as l'air d'une victime des pauvres ? Vraiment ? Ce sont plutôt les pauvres qui sont victimes de ta supériorité. C'est une réalité. C'est une certitude, il te fait doucement rire de pitié, quel véritable clown. << Et si vous commencez par arrêter de vous prendre pour quelqu'un d'influent mon petit. Vous ne valez rien, tout comme vos paroles à dormir debout. Moi ? Je suis à des années lumières supérieur à votre espèce. Et je ne vous demande pas d'accepter ça, vous y êtes soumis. >> Tu as l'air évidemment sûr de toi, remplie d'arrogance. Qu'est-ce que tu aimerais avoir les méthodes de l'ancien temps. Au moins, là, il serait vite retourné dans sa porcherie, voir pire. Tu es tout ce qu'il y a de plus calme, et la seule chose que pourrait te faire baver, c'est ton reflet dans le miroir, ou alors l'argent et la richesse. Il vit dans une illusion totale en s'inventant une vie. << Moi frustrée ? Alors quelle serait votre définition vue comment vous vous excitez comme quelqu'un de …. frustré, et à changer de méthode d'approche en une fraction de seconde, car la précédente ne marchait pas ? Pathétique, vous allez d'échec en échec, comme dans votre vie, j'imagine. Et la réelle, pas avec votre personnage que vous inventez de toutes pièces. >> 

Ce qu'il raconte par la suite, tu t'en fiches complètement à un point qu'il ne doit pas douter. L'orphelin peut bien être abandonné ou mourir, cela t'es égal. De toute manière, tu n'es pas dupe, tu sais bien qu'il raconte que des conneries. Il est venu à l'hôpital, car il s'est écorché l'arcade comme un bébé. Il se fait passer pour un martyre ou une victime, alors qu'il vient lui-même les chercher. Il peut tenter ce qu'il veut, tu es suffisamment confiante pour savoir que s'il veut jouer, il a perdu d'avance. Tu es imbattable dans une partie d'échec et ce n'est pas un plouc comme lui qui va changer le donne. << J'ai juste qu'à passer quelques coups de fil et le tour est joué. Analysez avant de vous lancer dans la gueule du loup, et surtout sur un territoire qui va vous bouffez tout cru. Nous n'avons pas les mêmes taux d'influences, et pas les mêmes moyens. Mais c'est bien vous qui venez m'agresser là non ? Au point de vous coller à moi. Alors au fond, je n'aurai pas totalement tord. En tout cas, ça me va. >> Tu hausses un peu une épaule d'une certitude incassable. Pour toi, c'est un petit novice qui veut jouer dans la cours des grands, mais malheureusement pour lui, il n'a pas le niveau, il a perdu d'avance le pauvre. Enfin, le pauvre, façon de parler. Tu as tellement de cartes en main pour rectifier le mire à ton avantage, alors que lui, c'est juste un pauvre mec qui ne sait pas quoi faire de sa vie à part emmerder, ou amuser, des divinités comme toi. Evidemment que tu le juges aux premiers coups. Vu le monde dans lequel tu vis, il est facile pour toi d'avoir l’œil observé, et de reconnaître la même classe social que toi. Lui, il pue l'ignorance totale.

En plus, il espère t'attaquer en te provoquant de la sorte ? Il est vraiment lent à la détente celui-là. Il peut dire ce qu'il veut, tu n'en seras pas offensée. Tu t'en tapes complètement. En plus, il se contre-échec tout seul. C'est bien lui qui vient te faire du lèche-vitrine, c'est bien lui qui vient t'adresser la parole sans permission, en te disant que tu es sexy, en te draguant comme un abruti. Il croit peut-être que tu n'as pas remarqué qu'il change de méthode d'approche comme de chemise. Et en plus, il se permet de tousser plus haut que ce qu'il est en réalité. Tu sais que tu es la plus belle des créatures que la planète connaît et ton égo est tellement surdimensionner que rien ne te fera douter, et encore moins un pouilleux comme lui. Tu as eu tellement de garçons à tes pieds d'autant plus, que pour toi, il rage juste parce que tu ne succombes à aucune de ses tentatives ridicules. << Vous n'êtes pas crédibles mon pauvre. Vous venez tenter de me courtiser et de me séduire avec des phrases ridicules sortie tout droit d'un cirque, même si je doute bien que vous vous donnez en spectacle. Et même si vous venez pour mendier, je ne vous donnerai même pas un bout de pain. >> Tu te tapotes délicatement ta joue, d'un air moqueur et faux. << Etes-vous vexé ? Car vous avez la séduction d'un singe et l'intérêt d'une cacahuète dans votre tête. Et que votre technique bas-de-gamme ne fonctionne pas sur une telle personne comme moi. Vous savez qu'il est impossible de miner du diamant brut avec un cure-dent ? … Ooh ne répondez pas, ça m'est égal complètement. >> Tu lèves un poil ton menton d'une manière supérieure, et tu ne te retiens pas pour regarder encore une fois l'heure à ta montre, car tu trouves le temps long. << Encore un conte pour enfants ? … mais oui, cela doit bien refléter votre culture et vos connaissances, c'est vrai.. Oui, je vous connais, enfin… je connais votre place au sein de cette société, et la vôtre est bien basse. Je peux vous voir, vous et vos stupides amis avec un télescope d'en haut. Je m'en fiche de votre vie, et de votre poisson rouge et de ses salades périmées. >> Tu arques un sourcil amusé, le fait qu'il te compare à une fille de joie. Tu sais bien que cela vient de sa frustration et rage, car il ne trouve plus rien à redire. Après tout, tu es tellement bien habillée, tellement carrée et élégante. Il n'y aucune vulgarité et malpropre, ou encore de tissu pauvre dans ta tenue. Encore une fois, il n'est pas crédible qu'il ne vaut même pas la peine que tu répondes à ce commentaire. Hallucinante, tu retires immédiatement ton bras avec férocité lorsque qu'il te l'attrape de cette façon. Il est vraiment insolant et malpoli de se permettre cette emprise. Il n'est pas question qu'il te touche une seconde de plus avec ses doigts crasseux. Tu essuies rapidement d'un geste, presque en retenue, l'étendu de ton bras pour t'assurer avec soin que rien n'a atterri sur ton bras. << Dois-je ajouter agression physique dans le dossier ? >> Pour toi, plus il ouvre sa bouche, plus il s'enfonce. Tu remontes instinctivement tes manches jusqu'aux paumes de tes mains, ce qui couvre ainsi ta montre et ton bracelet. Tu es réellement capable de lui apporter des problèmes, et ce n'est pas l'envie qui manque juste pour ruiner sa vie, et pas seulement que par la justice et loyalement. Ça fera juste un abruti en plus. Puis comme habitude, depuis que tu es entré dans cette salle, tu couvres ton sac à main entre tes bras. Désormais, tu ne prends même plus la peine de jeter un seul regard vers lui !! Depuis tout à l'heure, tu ne fais que répondre parfois. Cette fois-ci, tu ne répondras plus pour éviter d'épuiser ton énergie pour rien et inutile. S'il continue, tu agiras simplement.
 

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Sunhi Ahn

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyDim 7 Juil - 14:55

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Toi, soumis à elle ? Est-ce que c'est là que tu peux te mettre à rire et te moquer de sa vie ouvertement ? T'en as rien à faire si elle a une case en moins et si elle se croit assez intéressante pour croire qu'elle est le centre de l'univers. Tout ce qui t'intéresse, est le fait qu'elle bouge sans arrêt et que ça fait tinter ses bijoux à ses poignets. Le reste, tu t'en moques plus qu'à ton habitude. Elle pourrait te prendre pour un prince, te faire du rentre-dedans intensif, tu la sous-estimerais tout autant. Elle n'est pas ton genre et tu le sais. Avant même de prendre place à ses côtés, tu l'as su. Elle n'est pas intéressante, elle n'a rien qui peut activer ta curiosité. Si tu avais un doute sur ton orientation avant, juste à la regarder aller, tu n'en doutes plus. Cette catin respire les problèmes et la misère à pleins nez. Elle a beau penser être au-dessous de tous avec ses grands airs de princesse de pacotilles, elle n'a rien d'intéressant pour toi. Ni pour personne à tes yeux. Le mec qui tombera pour elle ne sera que misère à ses côtés. Mais à la voir aller, tu sais bien qu'elle restera seule à vie, avec un égaux bien plus que surdimensionné. - Je crois que tu n'as pas encore compris qui doit être soumis entre un homme et une femme lors d'un rapport plus rapproché … À moins que tu ne penses que je … - Tu grimaces, la regardant de la tête aux pieds, avant de porter une main à ta bouche et d'en rire. - Oublies ça, t'es pas assez belle pour que je m'installe à tes côtés et que  je te laisse toucher à la perfection. - Tu essaies de rentrer dans son jeu, un peu. Tu sais que plus qu'elle te parle, plus qu'elle te donne de l'importance et c'est tout ce que tu souhaites à cet instant même, soit un peu d'importance de sa part. Elle peut rigoler ou se mettre à pleurer, tant qu'elle te parler et pose un regard sur toi de temps à autre, ça te comble. T'es pas le genre bien difficile avec les demoiselles et certainement moins lorsque les gens te prennent de haut. Comme elle, se croyant assez importante pour faire tourner la planète et un seul battement de cils.

- Qu'est-ce que tu sais de ma vie, toi ? - Tu n'es pas blessé, mais tu commences à tenir compte de toutes ses paroles. Elle te prend pour quelqu'un de faible, quelqu'un qui ne devrait même pas respirer, par temps chaud ou froid. Et ça commence légèrement à te faire grimacer. Tu as l'habitude de te faire parler comme si tu n'étais rien, mais jamais par une moins que rien. C'est une première pour toi et la jeune femme commence réellement à te sortir par le nez. - T'inquiètes pas, je ne suis pas entrain d'inventer une vie rose bonbon, comme tu es entrain de le faire. Laisse moi deviner … Tu es seule et triste, sans amis, sans même quelqu'un pour te dire que tes scènes de fillette sans attache n'ému personne ? Qui est pathétique entre nous deux ? Celui qui essaie d'engager la conversation ou la fille trop imbue d'elle-même ? - Tu la laisse réfléchir une simple seconde, avant de poursuivre la discussion. - Tu es pathétique et sans intérêt. Lorsque l'on doit se valoriser et se montrer supérieur aux autres, c'est que nous avons un sérieux problème d'affection pour nous-même. T'as envie d'en parler ? Tu te sens seule et non désirée ? Peut-être que si tu enlèverais ton visage de fille sans intérêt, tu pourrais te faire de nouveaux amis. Ou même un ami, ça serait pas trop mal. - Tu lui souris à pleines dents, lui démontrant une dentition plus que parfaite. Tu changes sans arrêt de tactique, tu essaies de la déconcerter mais tu ignores si tu pourras tenir le phare bien longtemps. Ce n'est pas dans tes habitudes de prendre des gants blancs pour parler à de la sous-merde. Tu fonces vers les autres habituellement, tu plaques les problèmes sans retenus et tu te sauves en courant. Ce n'est pas toi qui te défends, qui prend le temps d'arranger ses problèmes. Toi, tout ce que tu fais, c'est emmener la misère autour de toi et tu fermes les yeux, laissant les autres t'aider à la suite. Tu ne te salis jamais les mains, tu laisses les gens dans l'incompréhension de tes paroles et gestes. - J'ai pas compris ce qui allait mais d'accord. À vrai dire, ça fait plus de cinq minutes que je ne t'écoute plus. - Tu fronces les sourcils dans sa direction, avant de soupirer. - C'est pas parce que je ne me promène pas avec une chemise qui coûte le prix d'une voiture, que ça veut dire que je n'ai pas les moyens de te parler. Ce que tu portes, très chère, ça s'appelle des vêtements. Et devine quoi … Pleins de gens en portent. - Tu te risques à sourire avant de continuer. - T'es pas la seule dans ton petit monde, désolé de te décevoir. -

Tu es passé du mec chelou qui essayait de la mettre dans son lit, à celui chelou qui veut rien savoir d'elle et de ses grands airs. À vrai dire, tu essaies de la cerner, ne sachant pas trop comment t'y prendre avec elle. - Te séduire ? … Tu sais, je viens tout juste de dire que le sac poubelle avait plus de chance de trouver preneur que toi … Tu crois que je suis entrain de te séduire ? Bordel, ton égaux est énorme han … Différent de ton intelligence, pas vrai ? J'en veux pas de ton pain qui doit coûter les yeux de la tête et qui est sans goût. Comme tes paroles et tes platitudes. - Tu as relever la tête une seconde, avant de te repencher vers elle à nouveau, essayant d'écouter toutes ses balivernes. Tu ne comprends pas à demi ses comparaisons, ne sachant pas trop ce qu'elle peut raconter. - Explique moi … Qu'est-ce qu'un singe et un diamant peuvent avoir en commun ? - Finalement, tu aurais peut-être dû continuer tes études et terminer, du moins, la petite école. Faire le mur les jours d'école ne t'as clairement pas aider pour les comparaisons étranges et sans saveurs. - Si tu arrives à me faire une phrase avec le mot singe, diamant et morue, t'auras le droit à une récompense. - Tu lui fais les yeux doux une seconde, avant de te recaler dans ton siège. - J'ai jamais eu de poisson rouge. Mais j'ai déjà eu une souris par contre. Je suis certain que tu l'aurais adoré. -  

Tu as mis un terme à la distance entre vous deux, le regard perdu sur ses manches qui ont été baissées pour recouvrir la naissance de ses bras. Tu n'aurais pas dû la prendre par le bras pour regarder l'heure, tu aurais dû continuer de rester à bonne distance d'elle. Pourtant, ses dernières paroles te font grimacer avant de lever les yeux en l'air. - Tu veux m'accuser d'agression physique ? Soit donc un peu crédible, au moins … - D'une main, tu l'as attrapé par le menton, avant de baisser son masque de ton autre main, déposant tes lèvres sur les siennes pendant une fraction de seconde, avant de te retirer aussi vite que tu es venu t'approprier quelque chose d'interdit. - Si je te dérangerais tant que ça, tu aurais changé de place bien avant … Pourquoi refuser ce que tu ressens pour moi ? Pourquoi vouloir te mettre des barrières sur tes sentiments ? -

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Kitana Tsukanji

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyMar 9 Juil - 20:29

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Désormais, tu ne l'écoutes plus du tout, et tu te fais cette raison uniquement pour ne pas continuer une conversation qui est si dérisoire, complètement stupide, ridicule et sans intérêt. Tu entres en état que tes oreilles sont dorénavant bouchées, et qu'aucune de ses paroles remplies de frustration et d'absurdité puissent te faire réagir. Tu lui as simplement répondu, à chaque fois, le strict minimum afin de lui faire comprendre que peu importe ce qu'il fera et ce qu'il dira, que cela reviendrait au même point de départ. Tous ses numéros de cirque ne fonctionnent pas sur toi, et si il n'est pas si idiot qu'il en a l'air, il devrait lâcher l'affaire et abandonner. Tout ce que tu as dit, c'est à ton sens la pure vérité et qu'il devrait accepter la réalité de la société d'aujourd'hui. Tu es riche, et as automatiquement du pouvoir. Tu as une famille renommée, alors tu as encore plus de pouvoir. Lui, tu ne connais pas sa vie, mais vu sa manière d'être, elle doit être merdique pour ne rien trouver de mieux à faire au cours de sa journée que de faire son clown. Comme emmerder une simple jeune femme comme toi qui vient à l'hôpital pour des examens à cause de ta maladie. Lui qui disait victime des pauvres ? C'est un peu ce qui se passe en ce moment, où c'est cette forme là que prend la situation entre vous. En tout cas, tu étais dans la fixation qu'il saisit que rien ne peut te chambouler, et surtout, qu'un monde se sépare entre toi, et lui.

À ton sens, tu as suffisamment était claire dans tes propos, et que pour toi, il restera qu'un microbe idiot sans importance. Désormais, tu ne vas plus te fatiguer à répondre à ses idioties, et à entrer dans son jeu ridicule. Tu gardes ta salive et ton énergie pour des tâches bien pour importantes qu'un pouilleux qui se croit intéressant dans une salle d'attente d'un hôpital. C'est pour cela, que tu ne jettes plus aucun regard en sa direction, même le plus infime des coups d'œil. Tu le laisses pourrir comme il est, dans ta vision du monde, c'est-à-dire invisible. Dans ce qu'il dit, rien ne te touche, rien ne te blesse et ne t'offense, tu es totalement intouchable tellement tu es égocentrique, arrogante, et émotionnellement incompatible. Rien ne peut transpercer ta personnalité haute en couleur, et il devrait faire avec, c'est comme-ci qu'il parlait à un mur. Il est vrai que tu es narcissique, et que tu peux manquer d'affection, que parfois, tu peux te sentir seule dans un monde qui te retient comme dans une cage. Mais qu'il ne s'égare pas non plus, ce manque d'affection que tu refuses d'ouvrir aux autres et un manque maternelle, et rien d'autre. Tu n'as pas vraiment d'amis, mais clairement, l'amitié, tu ne l'as jamais cherché nulle part, et cela t'encombre plus qu'autre chose. D'autant plus qu'avec ton comportement hautain et supérieur de petite princesse gâtée prétentieuse. Tu causes plus de haines chez les autres personnes, que de la sympathie. Ce qui est drôle, c'est que tu trouves amusant de voir des minables respiraient la jalousie envers toi. Et tu en profites donc ainsi pour montrer ta supériorité, car tu adores que les gens ont une haine contre toi. Cela veut dire pour toi que tu es parfaite, car la jalousie n'arrive pas par pur hasard. Sinon, c'est simplement l'absence d'une mère qui manque à ta vie, depuis que tu es toute petite. C'est le seul détail qui a manqué à ta vie, étant la seule fille dans ta famille, avec ton père et ton frère. Tu es souvent mis en retrait par ton père car tu es une fille, et il a des tendances machos, et parfois, tu te sens seule. En tout cas, tu fais bien mine de rien, car c'est bien lui qui vient engager la conversation avec toi, et même vient s'asseoir à côté de toi. Tu ne bouges pas de ta place, car tu t'es assise à cette place un point c'est tout. Et c'est qui, qui s'est déplacé jusqu'à toi ? Lui. Alors bon, encore une fois, tout ce qu'il dit n'a aucun sens, mais en aucun cas, il te fait réagir. De toute manière, tu as les oreilles qui sifflent et tu n'écoutes pas toutes ses balivernes qui sont totalement à côté de la plaque.

Tu te contentes de regarder de temps à autre le plafond en levant les yeux, ou alors un peu plus loin vers la plante de la salle d'attente que tu trouves affreuse, mais déjà plus joli que lui. Tu comptes les secondes dans ta tête, et même parfois, tu secoues légèrement la tête de droite à gauche comme-ci que tu chantonnais un petit air de musique dans ta tête. Tu penses à ta dernière composition au violon, les notes te traversent l'esprit comme un courant d'air. Tu penses aussi à ce que peut bien faire ton frère, si tu n'as pas oublié tes clés, ou encore, tu penses à ton serpent adoré. Tu te demandes s'il a faim, et s'il aime la chair humaine par exemple. Car il y a une viande ambulante juste à côté dont tu aimerais te débarrasser. Tu n'ouvres plus une seule fois la bouche pour lui. Tu ne vas pas te fatiguer pour un type de son espèce. Tu gardes bien tes manches à hauteur des paumes de tes mains. En serrant tes beaux ongles soignés contre le tissu de tes manches. Tu aurais peut-être dû ramener un bouquin afin de passer le temps en lisant quelques pages. Un temps d'attente que tu trouves long ! L'accueil va t'entendre ça c'est certain, et même ton médecin risque de t'entendre rouspéter comme une tornade. Heureusement, qu'il n'y a ABSOLUMENT PERSONNE, au sein de la salle d'attente… excepté une vieille dame qui dort à point fermé.

Tu n'as jamais comparé un singe et un diamant, c'était deux phrases différentes, mais bon, tu le laisses penser ce qu'il veut, ça t'es totalement égal. Tu as bien remarqué que c'était qu'un simple imbécile. Tu as bien précisé qu'il ne devait pas répondre, car tu t'en fiches complètement de son retour. Et encore une fois, tu ne prends pas la peine de répondre à quoi que ce soit étant totalement désintéressée de lui. Tu continues à regarder un peu partout, où encore, tu tapotes tes phalanges contre tes cuisses, alors que tu tiens fermement tes manches. Il en devient toujours et encore plus invisible après que tu ais répondu dans un premier temps pour mettre les choses aux claires et lui faire comprendre certains points. Tu en restes imperturbable, et infranchissable. Tu gardes tout en bonheur ton air hautain, qui en est naturel. Tu gardes bien le silence, qui est souvent la meilleure arme pour rendre à ce genre de personne et lui faire comprendre qu'elle n'est pas intéressante. De toute manière, tu n'as aucun compte à rendre à ce pouilleux, et tu dois encore moins te justifier pour démontrer l'écart qu'il y a entre une divinité comme toi, et un microbe comme lui.

Tu verras bien si tu vas devoir ajouter agression physique dans le dossier, en plus d'agression verbale et harcèlement ? S'il cherche les problèmes, il les aura sans soucis. Au contraire, tu seras ravie de te voir rendre sa vie encore plus médiocre et nuisible. Et effectivement, il a mentionné qu'est ce que tu savais de sa vie. La réponse est simple : Tu n'as pas besoin de savoir le moindre de détails de la vie des autres, car connaissant la tienne, c'est la seule chose importante sur cette planète. Ainsi, en étant supérieur à quiconque sur ce caillou, tu mets tout les être qui respirent encore, dans le même sac. Un sac misérable sans intérêt et pauvre en ressources. Tu as la plus haute classe sociale. Bourgeoise et élégante dans le sang, tu as une belle fortune dans ton compte de banque où tu peux te permette de jeter l'argent par la fenêtre. Dans le système, rien ne peut être plus haut que ton statut, avec la richesse, et ton pouvoir dont tu es en possession, que ça soit honnête, ou au contraire, malhonnête, A part d'être un chef d'Etat d'un pays puissant évidemment, mais même le président des Etats-Unis, tu seras capable de le traiter comme une merde et de le prendre de haut.

Tu as le sentiment, mais surtout l'envie de te lever pour savoir quand tu pourras aller à ta consultation. Tu n'as pas non plus toute la journée. En ce qui le concerne, tu as fini par le zapper complètement, ne faisant plus le moindre geste, ou même d'un simple coup d'œil en sa direction. Il s'est évaporé à l'instant où tu as fini de le confiner dans son illusion. Néanmoins, il te surprend d'une façon inattendue. Mais d'une manière dangereuse et bien désagréable. Suite à son geste déplacé... ce bisou forcé... tu t'es levée directement de ta chaise littéralement choquée, en faisant même tomber ton sac à main au sol tellement tu t'es lever brusquement. Tu es sous le choc qu'il ait osé une telle chose et d'un tel forcing. Tu te sens terriblement dégoûtée que tu en ressens des nausées te monter. Rapidement, d'un geste de la main rapide, tu essuies tes lèvres tout en grimaçant désagréablement. Tu lui tournes le dos, alors que tu remets immédiatement ton masque pour couvrir la moitié de ton visage. Tu tiens ton masque de tes mains, posées sur tes joues, car tu n'arrives toujours pas réellement à réaliser ce qu'il vient de se passer. Tu aimerais que ça soit une illusion, un cauchemar, mais là, tu te sens abusée, et même violée par un individu répugnant. Tu sens la colère te noyer avec les secondes qui défilent, et ta rage s'éveille comme un volcan en éruption. Néanmoins, tu sens que tu t'es levée un peu rapidement de ta chaise, alors que tu étais au repos. Dû à ta maladie, un effort physique trop brusque peut te donner des vertiges, et des étourdissements. Ce qui est le cas en ce moment, alors cela freine un peu ta colère noire à son égard. << Vous allez pas bien ? Vous abusez de ma personne à cet instant, et vous venez de dépasser les bornes. Pour qui vous vous prenez ? >> Des sentiments pour lui ? Mais le gars il délire totalement, tu te demandes même s'il n'est pas drogué en ce moment. Tu as dû mal à imaginer, qu'un homme puisse réellement être ainsi, même dans sa classe misérable. Même si tu doutes bien qu'il continue à faire le clown, à croire qu'il sait faire que ça dans sa vie. Ça ne serait pas étonnant. Tu ne hausses pas le ton mais ça se sent que tu es crispée, et furieuse. Mais pour éviter que tout l'hôpital t'entende, tu ne montes pas la voix, même si ce n'est pas l'envie qui manque. Tu retires finalement ton masque, du moins, suffisamment pour laisser ton petit nez sortir, afin de respirer un bon coup, car tu as l'impression de chuter à cet instant.

Tu as le teint qui devient pâle malade et tes nausées sont bien réelles. Tu ne te sens vraiment pas bien à cet instant, et pas seulement à cause que ses lèvres hideuses se soient posées sur les tiennes sans ton approbation. Tu remets bien ton masque le long de ton nez, avant de te tourner en ayant les yeux vides de mal-être…. Malgré tout, tu as besoin de t'asseoir, alors tu retournes t'asseoir, mais cette fois-ci, sur une autre place. Un peu plus loin que lui désormais, à deux chaises d'écart…. Tu tiens à garder une distance de sécurité entre lui et toi. Évidemment, tu as récupéré ton sac à main avant de t'asseoir. << Vous allez payer, soyez en sûr. Je vais porter plainte contre vous… et j'ajouterai en plus attouchement et forcing. Vous avez laissé passer votre chance, cette fois-ci vous êtes cuit… J'ai envie de vomir.. >> Tu déposes ta main sur ton front, alors que tu t'adosses bien contre le dossier de la chaise…. Tu fermes les yeux un court instant. Tu viens de dire que tu avais envie de vomir, pas vraiment pour te payer sa tête, et lui faire comprendre qu'il est dégoûtant. Mais cela est bien réel. Tu gardes une colère sombre en toi, et tu l'observes avec des yeux qui lui donne des coups de haches sans arrêt. T'as envie de le tuer à ce moment précis. Tu pourrais simplement lui dire que tu es malade, que tu n'as pas besoin qu'on te fasse des frayeurs comme cela. Ta santé et ton corps sont fragiles, et tu as suffisamment le sang chaud pour te mettre toi-même dans des situations délicates. Là, il a bien dépassé les bornes, et tu comptes bien ne pas laisser cette histoire derrière. Au départ, tu n'étais pas vraiment sérieuse quand tu lui disais que tu allais lui donner des problèmes, car c'était juste un abruti de plus dans ce monde. Mais là, c'était le geste à ne pas faire avec toi, bien trop déplacé et direct, d'autant plus que c'est un total forcing, et que tu es bien loin d'être une personne tactile, qui laisse passer ça avec le sourire. Qu'il attente des représailles, et une suite… et pas certain que ça soit qu'avec l'aide de la justice. Tiens, tu connais une personne qui semble aimé se battre, et semble être comme un mercenaire. Tant qu'on le paye, il doit pouvoir faire tout ce qu'on lui demande… C'était quoi son nom déjà ? Ah oui, un certain "GD", même si ce n'est qu'un rat d'égout idiot, comme lui.. Au moins, il avait un respect pour toi, et pour la femme que tu es, et il était suffisamment mystérieux pour le rendre un minimum intéressant…. Tu pourrais le payer pour qu'il aille tabasser ce microbe, avec toi bien sûr….Après une petite torture bien sûr, sinon ça ne sera pas drôle. Tu demanderas à ton père une assurance, il a un bon réseau magouilleur, et tu es certaine que si tu racontes ce qu'il vient se passer à ton cher papounet, qu'il fera en sorte que ce problème, reste dans la discrétion et l'obscurité la plus total, et qu'il en subisse les conséquences. Pas besoin de justice pour régler des comptes, tu le sais bien, et ta mère devait encore plus le savoir. Il suffit d'une belle somme d'argent et du pouvoir pour pouvoir se permette de se passer de la justice, et de la loi. Tu évites de le gifler, afin que tout le tord soit pour son compte, car il a beau dire ce qu'il veut, c'est lui qui est en tord sur tout les domaines. Il t'aborde, il s'approche d'une façon menaçante de toi, et effectue des gestes déplacés. Même si en soi, si tu le gifles, ça serait de l'auto-défense avec ce qu'il vient de faire. D'ailleurs tu as ta main qui te démange, et tu sens comme un gout amer, en ayant la bouche sèche. Ça te répugne que ses lèvres ont touché les tiennes ! Tu n'arrives pas à oublier cette désagréable sensation, aussi rapide soit-il. Tu sors alors un mouchoir de ton sac à main, et tu retires ton masque pour le laisser à ton cou. Tu t'essuies délicatement et avec soin tes lèvres avec dégoût. C'est devenu inadmissible ! Ses mots, tu t'en foutais, mais là, c'est différent.
 

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Sunhi Ahn

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyDim 14 Juil - 4:33

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Ariel ...Voilà à qui te fais penser la muette maintenant assise à tes côtés. Tu as beau lui parler, lui dire tout les mots que les dames veulent entendre, elle reste de marbre, comme Ariel, ne trouvant pas parole. Tu es peut-être retourné dans les Disney, dans les classiques et dans tout ce que les gens détestent, mais tu y vas avec tes connaissances. Tu as lu, beaucoup, la lecture à la bibliothèque étant gratuite. Avant de rencontrer GD, tu faisais souvent des tours entre ces quatre murs, ne serait-ce que pour te réchauffer. Encore aujourd'hui, il t'arrive d'y aller une heure ou deux, uniquement pour respirer l'odeur des livres. Tu as peine à croire qu'un jour, l'internet aura volé tout papier sur Terre. Et que ces bonnes vieilles bibliothèque devront fermer leurs portes. Si tu le pourrais, tu aurais ta carte pour emprunter des livres, pour essayer de te perfectionner dans une matière un peu plus complexe que dans celle du vol à l'étalage. Peut-être les sciences ? Tu as toujours aimé les expériences, voulant toujours te mettre aux défis. Tu es plus que certain qu'à l'école, si tu aurais continué à y aller, tu aurais excellé dans cette matière. Et probablement dans celle des sports. Tu n'es pas si habile avec un ballon, mais il est tout autre à la course à pieds. Peut-être est-ce grâce à tes heures de course, recherchant sans cesse une manière de fuir tes poursuivants, lorsque crime commis ? Si c'est le cas, tu pourrais très certainement faire un marathon un de ces jours. Peut-être même devenir connu par la suite ? Tu préfères oublier tout ça, te refermant sur toi-même. Tu es bien à Londres, tu ne veux pas tout mettre de côté et devoir continuer à changer de nom, de profession, de passé. Tu aimes bien ce que tu es devenu, pas la peine de changer encore une fois.

Toi, tu te fais penser à Cendrillon. Misérable petite merde qui n'attends que son prince charmant pour devenir une rose. Enfin, façon de parler, ce n'est que fictif. Tu voudrais bien pouvoir comprendre la gente féminine, ce qui est impossible dans ton cas. Tu n'as pas d'amies, point. Amie, avec un E à la fin. Tu as beau essayer de rencontrer des filles, ces dernières te fuis comme la peste. Comme si tu avais une sorte de maladie contagieuse, comme si tu pouvais leur apporter du malheur. Un chat noir, un miroir cassé et une échelle … Les trois ensemble auraient plus de chance que toi d'avoir preneur. Ce n'est pas l'effort qui manque d'avoir essayé de rencontrer, tu as uniquement manqué ta chance, voilà tout. Peut-être que si tu ne serais pas aussi entreprenant, aussi collant, aussi détestable, tu pourrais avoir des gens autour de toi. Autre que ton ''équipe'' de malheur, tu n'as personne sur qui compter. Ceci ne te manque pas, c'est uniquement une manière de voir les choses. Peut-être parce qu'au fond, tu es un peu différent des autres. Tu n'es pas celui qui cherche la bagarre ou du moins, tu la crée et tu te sauves ensuite. Ton groupe préféré n'est pas celui que tout le monde préfère. Tu es peut-être le seul garçon au monde qui voue une adoration à la chanteuse Ellie Goulding. Et tu adores tout ce qui touche au romantisme. Voici ton point faible, comme ton point fort. Mais peu importe, parce qu'avec la jeune femme, tu as bien l'impression que même si tu lui parlerais d'un fabuleux couché de soleil et d'envolée de papillons, ça ne servirait strictement à rien. Tu aurais uniquement l'impression de perdre ton temps, puisque visiblement, tu ne l'intéresse pas. Au fond, c'est mieux pour vous deux puisqu'elle non plus, elle ne t'intéresse pas. Elle est même loin de l'être. Elle est loin d'être ton genre, d'être ton type idéal. Devrais-tu lui dire ou tout simplement, la laisser paniquer dans son coin ?

Tu rouspètes un peu, cherchant toujours une manière d'attirer son attention. Tu as bien pensé à l'attaquer sur son physique, lui mentionnant tout ce qu'une dame ne veut pas entendre. Le seul problème, est qu'elle n'est pas une dame. Si tu le voulais, tu pourrais l'écraser en un simple signe de tête. Enfin, et quelques paroles. Trouver ton meilleur ami, lui mentionner qu'elle t'as frappé, qu'elle t'as menacé et même agressé … Et aurevoir mademoiselle j'ai tout vu, je suis sublime et je suis la reine parmi les sujets ! Mais est-il conseillé de mentir, uniquement pour se remonter ? Non … Mais tu t'en fous. Ce ne serait pas la première fois que tu mentirais pour te sortir d'un problème gros comme le monde. Encore cette semaine, tu as fais croire que tu n'étais responsable de rien, pour un vol. Tu sais que tu as perdu la confiance de quelqu'un, puisque tu la accusé à tort mais au fond, tu t'en moques. Il n'était pas ton ami, même pas une connaissance. Tu le connaissais de prénom, voilà tout. Pas la peine de faire un drame avec si peu. Encore une fois, tu regardes ta nouvelle … victime ? … du coin de l'œil, te demandant si c'est devenu une nouvelle habitude de sa part de faire semblant que tu n'existes pas. Et si c'est le cas, qu'elle entreprend son petit jeu à merveille. Tu croises les bras quelques secondes devant toi, voulant faire comme elle, prenant le même air désintéressé, avant de te retourner vers elle, avec un mince sourire aux lèvres. Tu voudrais pouvoir lui faire mention qu'elle t'amuse, avec ses grands airs de dame du pays, mais tu sais bien que ça ne servirait à rien, sauf peut-être à la faire reculer.  

Tu as essayé d'être direct avec elle, ça n'a pas fonctionné. Tu as essayé d'être gentil avec elle, aucune chance non plus. Méchant et encore plus direct ? Elle t'as envoyé sur les roses. Tu as alors décidé de l'attaquer pour vrai, venant l'embrasser en vitesse, avant qu'elle ne vienne te gifler. Même si tu sais bien qu'elle n'osera jamais agir ainsi envers toi, car te gifler viendrait à te toucher. Ce qui est impossible et impensable, suite à sa marque de noblesse … Tu as bien vu comment elle fonctionnait. Elle se croit princesse des pays bas, mais n'est même pas capable de s'occuper d'elle-même. Tu as toujours méprisé ceux qui ne savent pas comment se faire cuire un œuf. Enfin, toi non plus, tu n'es pas un des plus doué mais tout de même, tu détestes ceux qui donne des ordres aux autres, ceux qui passe leur temps à se prendre de haut, mais qui ne sont rien. Un peu comme elle. Elle a peut-être un père ou une mère qui vie dans la haute société, dirigeant la plus grande industrie ferroviaire de Londres, ceci ne fait pas d'elle une princesse à dorloter. Rien ne fait d'elle une princesse et tu as bien l'intention de le lui mettre sur le nez. - Pour qui je me prends ? Pour quelqu'un qui te parle, bordel. Depuis un temps fou, je parle seul et tu n'as même pas l'indécence d'esprit de t'occuper de moi ! À ta place, j'aurais honte. Vraiment honte. - Tu la suit des yeux, mais tu as bien remarqué son sac par terre, le contenu étalé au sol. Tu as envie d'aller fouiner, de prendre quelque chose lui appartenant, ne serait-ce que pour la mettre de mauvaise humeur plus qu'elle ne l'est maintenant, grâce à ton initiative. Elle s'est levée, s'est dirigée un peu plus loin de toi, avant de reprendre place sur une nouvelle chaise. Une chaise froide, insignifiante, vide de sens. Tu n'as pas été assez vite, l'inconnue devenue risible à pris le temps de reprendre ses biens.

- Ne te retiens pas pour moi, vas-y vomir. Montre-moi comme une dame le fait, avec élégance et grâce ! - visiblement, tu te moques d'elle et tu fais bien exprès que ceci puisse paraître. T'as essayé d'être gentil avec elle, t'as même essayé de la faire rire. Quoi demander de plus ? La paix ? Impossible. Soudainement, tu finis par relever les yeux vers elle, tandis qu'elle s'éponge la bouche avec un mouchoir, totalement dégoûtée de ton précédent geste. - Attends … Ne me dis pas que je viens de te voler ton premier baiser ? - Tu rigoles, avant de porter une main à ta bouche. - Sérieusement ? … -  

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Kitana Tsukanji

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyDim 21 Juil - 2:19

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Cela fait bien un moment que tu n'as plus l'ombre d'un doute que ce type est tellement collant et lourd qu'il devrait être enfermé quelque part pour éviter que d'autres personnes subissent ce genre de numéro absurde. Enfin, il peut bien aller emmerder les autres personnes, cela ne te dérangerait pas, vu que tu t'en fiches de tes semblables. Mais simplement pour éviter d'embêter toi, et seulement toi, pour éviter d'être au contact social forcé avec un être répugnant de son genre. Si seulement, tu pouvais vivre sur une île paradisiaque où tu serais coupée du monde, tu signerais immédiatement pour t'y rendre sans plus attendre. Tu n'aimes pas ce Monde pour diverses raisons, et l'espèce humaine est la principale raison pour que tu portes comme une méprise à cette planète. Tu as beau avoir beaucoup d'argent, tout le confort et le luxe nécessaire pour vivre aisément, de très belles études réussite, et une belle possession dans la musique classique. Au fond, tu n'aimes pas la vie, car malgré les apparences, elle ne t'a pas vraiment souri et ne t'a pas accueillit avec joie. Alors, pourquoi tu devrais sourire avec amabilité au premier venu ? Pourquoi tu devrais te forcer à tenir une conversation agréable avec cette espèce ? Pourquoi tu devrais devenir soudainement sociale alors que tu ne l'as jamais été ? Tu préfères à milles lieux tenir compagnie à ton serpent qu'à une personne. En soi, tu attends patiemment que ton heure arrive afin de quitter ce Monde que tu méprises, et dont tu n'as rien à en retirer. Même si tu prends soin de toi et de ton hygiène de vie, et tu suis ton traitement. Tu espères au fond que ta maladie finira par avoir raison de toi, et t'emporte vers un environnement meilleur. À vrai dire, si cela se produit à l'avenir, et si tu le pouvais, tu ne serais pas là à pleurer, car tu perds ta vie. Au contraire, au fond, ça sera comme une délivrance, alors que pourtant, qu'est-ce qui te faut de plus qu'un gros compte en banque ? Ta psychologie de la vie te dirait absolument rien, la seule importance est l'argent, et la fortune. Mais ton cœur a des manques pour que tu puisses vivre et aimer la vie aussi précieuse soit-elle. Néanmoins, tu ne le sais pas, ou plutôt, tu ne l'admets pas vraiment, en n'ouvrant pas les yeux sur la véritablement définition de vivre une vie. Tout de fois, certains manques sont incomblables, et le restera quoi qu'il arrive.

Tu as de nombreuses carapaces qui sont infrangibles. Surtout par de simples paroles nuisibles, et qui n'ont aucun sens. Ou même, des paroles tout court. Si tu n'entends pas par des moments ce que ton cœur te dit, et souhaite, c'est tout simplement parce qu'il est inexistant. Tu n'hésites pas à écraser les vulgaires personnes qui se présentent sur ton chemin, et tu n'hésiteras pas une seule seconde à passer à l'action avec lui si nécessaire. Tu as suffisamment d'assurance, et de confiance pour confirmer que tu en sortiras avec les mains propres, et aucune égratignure. Tu peux le balayer d'un coup de vent si tu mets les ingrédients à dispositions, et tu les as sous ta manche. Si tu es restée assise à côté de lui, sans quitter la pièce, ou changer de place. C'est que tu sais que tu peux lui faire regretter si cela va trop loin. Fuir ? C'est ce que ferait une personne faible, et qui n'a aucune ressource pour se défendre. Ce n'est pas ton cas. Justement, il a dépassé les bornes avec ce baiser, et tu as la ferme attention, tu lui envoyer de nombreux problèmes pour le détruite de l'intérieur. Pour toi, il n'est évidemment rien, et rien d'intéressant. Il n'est qu'un déchet parmi tant sur cette planète polluante.

Tu as suffisamment été sympathique pour lui faire comprendre que tu n'es pas intéressée même par avoir la plus simple des conversations, et que tu n'es pas d'humeur. Certes à ta manière, mais tu aurais pu être plus direct pour l'envoyer boulet. Même si en soi, tu n'es jamais vraiment d'humeur pour communiquer avec la moindre personne. Mais lorsque tu es sur le point de te rendre à ta consultation hebdomadaire, tu es encore moins ouverte à cela, et tu aimerais être en paix. Visiblement, c'est trop demander, mais malgré les apparences, tu te forces à rester la plus calme et la plus détendue possible. Tu hallucines tellement suite à son geste totalement déplacé. Que tu ne te sens vraiment pas bien et tu essayes de respirer calmement pour chasser tes vertiges, et tes nausées. Ton envie de vomir, vient bien de ce dégoût que tu as eu au contact de ses lèvres. Aussi rapide soit-il, cela te suffit pour te rendre blanche comme neige. Tu grimaces lorsqu'il te dit qu'il se prends pour quelqu'un qui te parle. Il commence à t'énerver, et ta patience à des limites. << Le souci, c'est que moi je n'ai pas envie de vous parler. Êtes-vous suffisamment intelligent pour comprendre ça ? J'ai des doutes. >> Tu lui lances un regard sombre plein de préjuger. Tu en restes pâle du visage, et tu as l'air terriblement fatiguée. Il s'est magnifiquement mal pris avec toi, et en rien tu changeras d'attitude avec lui après ce qui vient de se passer. << Si je viens dans cet hôpital, c'est pour une bonne raison. Vous pouvez dire ce que vous voulez, mais vous avez tout les tords. Moi, à cet instant, je demande simplement qu'on me fiche la paix. Visiblement, même ça, c'est difficile à avoir dans ce Monde. >> Au fond, tu veux simplement être tranquille, ce n'est pas sorcier. Tu n'es pas là pour montrer ton argent à des pauvres gens, tu n'es pas là pour te mettre supérieure au reste du monde, et tu es encore moins là pour rabaisser le bas-monde. Lorsque tu es à l'hôpital, c'est le seul moment où tu es dans le sens "normal". Une personne comme toutes les autres qui se rend à l'hôpital pour des problèmes de santé. En tout cas, tu veux lui faire comprendre qu'à l'hôpital, tu n'as pas besoin de tout ça, et encore moins pour trouver des problèmes et des emmerdes. Tu restes évidemment vague, tu ne vas pas aller lui dire que tu es malade, et que tu viens juste chercher des soins dans le plus grand des silences. Ta maladie est un secret que tu essayes de camoufler par ta personnalité, et ton statut de haute société. Néanmoins, aussi rare soit-il, si on te trouve, cela est sans-retour.

Au point, que malgré ce que tu lui as dit, la motivation de lui faire payer son geste n'est pas vraiment présente. Entre ces murs hospitaliers, c'est le seul endroit où tu sembles vulnérable. Mais une fois que tu retrouveras ton environnement, tu retrouveras du poil de la bête, et les stratagèmes pour lui faire payer ça défileront. Tu es revenue à une place, plus éloignée que lui. Tu croises les jambes, et comme il y a quelques minutes, tu fais semblant qu'il n'existe pas. Néanmoins, cette fois-ci, tu prends la peine de répondre à chaque phrase qu'il prononce. Tu as la sensation que ton mal être était simplement passagère, et que revenir s'asseoir t'a effectivement fait du bien. << Dommage pour vous, mon envie de vomir est passée. Cela m'empêche de vomir sur vous, mais en soi, vous avez déjà mauvaise odeur, alors bon.. >> Tu remets ton masque, alors que tu remets ton mouchoir à l'intérieur de ton sac avec délicatesse après t'être essuyer le front, et pris le temps de tapoter avec soin tes lèvres pour supprimer une quelconque crasse provenant de ses lèvres. Tu renfermes correctement ton sac à main, après avoir vérifié avec attention si tu n'as rien perdu. Il y a beaucoup de choses à l'intérieur de ton sac, que ça soit des affaires personnelles, comme tes papiers, d'identité ou médical, ton porte-clés, ton porte-monnaie, ou encore des brins de maquillage comme du rouge à lèvres ou encore un miroir à sac. Tu as également des accessoires, comme des chouchous, des élastiques, et un serre-tête rouge sublime. Tu as même quelques médicaments bien cachés au fond d'une poche intérieure du sac... car tu peux faire des crises soudaines, ou si jamais tu n'es pas chez toi pour prendre ton traitement. Même si à vingt d'heure, tu es tout le temps enfermée dans ta chambre douillée. Ce qui est certain, c'est que c'est très bien ranger, étant ordonnée, tu aimes que tout ça soit en ordre. Tu fronces les sourcils confuse à son intuition sur le fait qu'il t'a volé ton premier baiser. Tu sembles un poil gênée par ce simple détail. << En quoi cela vous regarde ? >> Réponds-tu d'une manière froide. D'autant plus que tu trouves en rien de marrant là dedans. Ce type rigole comme un idiot à ton sens, et pour pas-grand-chose. Ça t'ennuie vraiment beaucoup qu'il soit si immature. Son comportement est crade et déplacé, et il est clair que ce n’est pas une personne que tu puisses côtoyer, et ainsi avoir une simple conversation. Tu restes totalement fermée, où tu ne daignes plus à le regarder cette fois-ci. << Vous rigolez souvent comme un imbécile ? Et pour rien en plus. >> Dans le fond, il n'a pas tord, tu n'as jamais rien fait de telle avec quelqu'un. Tu as déjà eu un petit-ami, mais en ce qui te concerne, tu n'es pas vraiment commode dans les relations au point de faire douter de ta sincérité. Tu es tellement pas tactile, que cela revient à toute forme de contact. Être affectueuse, ça ne fait pas partie de toi. Cela a été un ingrédient sur le fait que ça s'est mal terminer avec ton ex, et pour cause que tu ne montrais rien. Car tu ne l'as jamais aimée, et cela ne t'a fait ni chaud ni froid de le jeter comme une merde. Mais le fait qu'il te rappelle ça, ça te donne encore plus de haine contre lui. C'est ça embrasser ? Non c'était qu'un simple bisou rapide, alors heureusement. Tu te rassures en te disant qu'il n'a pas été ton premier baiser, en plus comme il a bien décrit, un baiser volé.
 

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Sunhi Ahn

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyMar 30 Juil - 5:38

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Cela fait bien un moment que tu n'as plus l'ombre d'un doute. Cette fille, elle te fait … chier. Elle a l'air borné, imbue d'elle-même et a très certainement inventé l'expression: Me, Myself and I. Tu ne peux le voir autrement. Tu passes ton temps à la dévisager, comme si chaque petits mouvements qu'elle pourrait faire pourraient avoir de l'importance. Mais au fond, tu sais que ça ne sert à rien. Tu n'es pas amoureux d'elle, tu ne veux rien savoir de sa personne. En vrai, tu la trouves culottée et insignifiante. Il lui manque un petit quelque chose pour que tu puisses être intéressé par elle. De l'intelligence, tout simplement. Tu vois bien qu'elle est entrain de te sortir le grand jeu, qu'elle croise les jambes beaucoup trop souvent et qu'elle doit boire son thé avec l'auriculaire bien en l'air, prenant des airs de snob et de princesse pourrie gâtée. Tu l'imagine bien dans sa maison luxueuse, ou plutôt dans son manoir, possédant un grand nombre incalculable de majeur d'hommes. Aucune femme, pas même une femme pour le ménage, que des hommes auprès d'elle. Pas de femmes, personne pour lui voler la vedette. Un chat ? Non, un tigre. Du Bengale, rien de moins. Une espèce disparue depuis plus de mille ans. Une espèce revenue que pour elle. C'est comme ça que tu l'imagines, dans une tenue de soie de couleur violette. Pourquoi le violet ? Peut-être parce que c'est ta couleur préférée, tout simplement.

Tu essaies de lui sourire, malgré le mal que tu commences à ressentir. Un mal pour elle. Comment peut-elle rester là, à te dévisager de la sorte, tandis que tu es assis à ses côtés, ton regard ancré le plus possible dans le sien, le sourire au bord des lèvres. Tu n'es pas celui qui connaît le mieux le monde au complet, tu as arrêté tes études assez rapidement et tu n'es pas celui qui est le plus distingué. Pourtant, tu as bon espoir qu'elle puisse finir par s'intéresser à toi, ne serait-ce que pour te donner son prénom. Tu en ferais quoi ? Aucune idée. Peut-être réussir à retracer ses parents, leur dire que leur fille chérie a été enlevé et que tu désires une très grosse somme d'argent pour leur rendre. C'est tout. Sinon, à quoi bon connaître le prénom d'une personne qui ne nous intéresse pas ? Tu en connais des prénoms et si jamais cette dernière refuse de te donner le sien, tu seras partant pour lui en trouver un. Décidément, plus que tu la regardes, plus elle te fais penser à une Henriette. Une gentille Henriette, comme celle qui vous sert de grand-mère et qui vous offre des gâteaux lorsque vous venez lui rendre visite. Sauf que toi, jamais tu ne toucherais à ça. Trop peur de finir les quatre pattes en l'air, tué sur le coup. Cette Henriette dégage un parfum que tu n'apprécies pas. Celui des problèmes, celui de la perfection. Mais également celui de la pimbêche qui s'entête d'être trop bonne pour les autres, qui s'enfle la tête et qui aurait dû s'appeler Thérèse. Oui voilà, Thérèse. Tu as, tout prêt de toi, une Thérèse qui aurait préféré s'appeler Henriette. Ou Huguette. Bref, autrement que Thérèse.

Tu as fini par lui sauter dessus, déposant tes lèvres sur les siennes. Un mouvement rapide, une simple petite seconde, mais assez pour comprendre que mademoiselle ici présente, ne ressent rien pour toi. C'est probablement idiot, mais tu as cette impression. Si elle aurait eu, ne serait-ce qu'une simple petite attirance de rien du tout pour toi, elle aurait reposé ses lèvres sur les tiennes et n'aurait pas fui, comme si un ours voulait l'attaquer. Tu es resté là, une demi-seconde, la bouche à demi ouverte, te demandant si tu devais te coller à elle à nouveau, lui dire les pires compliments dégoûtants que tu puisses connaître ou bien, la laisser aller à ses occupations précédentes, soit pas grand-chose. Tu n'as pas l'impression qu'elle doit avoir une vie trépidante et intéressante. Peut-être peux-tu te tromper mais ce n'est pas exactement l'image qu'elle dégage. Et ceci te fais beaucoup de peine, tu ne peux le nier. Pauvre chouquette qui n'a aucune vie passionnante devant elle. Elle te fais de la peine, peut-être devrais-tu lui faire un câlin pour l'encourager ? - J'espère que tu as une bonne raison pour venir ici sinon, ça serait trop triste. Si tu me dis que tu passes toutes tes soirées à venir ici, cherchant l'amour de ta vie … Je te dirai d'arrêter de chercher, que tu la trouvé ! - Tu fais de grands gestes dans ta direction, voulant lui faire comprendre que tu es l'homme de la situation. Tu espères qu'elle puisse ne pas comprendre l'allusion, tu aimerais bien pouvoir lui expliquer encore. Et encore. Et encore. Et encore ... et ce, encore et encore. - Certaine personne trouve l'amour au centre commercial ou encore, dans un bar malfamé. On pourra dire à nos enfants que maman était trop saoule pour tenir debout, qu'elle a dû se rendre à l'hôpital, dans le corridor de la désintoxe et que papa, ça c'est moi, trouvait que maman faisait trop pitié. Qu'il l'a pris sous son aile,  qu'ils sont tombés amoureux l'un de l'autre sans attente. Quand sortant de l'hôpital, ils se sont mariés sans attendre et eurent des enfants. Ça, je te laisse décider. Tu en veux deux ou trois ? - Tu croises les jambes, espérant qu'elle puisse te répondre sans attendre. - J'ai jamais vraiment voulu avoir d'enfants avant de te rencontrer, à vrai dire. Et puis, je me dis … pourquoi pas ! Soyons fous ! T'as envie d'avoir des enfants ? Si t'en as pas envie, c'est pas plus grave, on adoptera un lama. C'est bien un lama, ça donne de la laine. Tu aimes la laine ? - Elle veut pourtant la paix et pourtant, tu as beau regarder un peu partout autour de vous deux, il n'y a personne pour la déranger. Elle est peut-être plus atteinte que tu ne l'aurais pensé. D'où sa raison de se trouver à l'hôpital. Pauvre petite âme en peine.  

- Moi, j'ai mauvaise odeur ? - Tu te grattes la tête quelques secondes, replaçant tes cheveux par la même occasion. Tu es réputé pour être propre de ta personne, pour ne pas laisser passer une journée sans prendre ta douche. Tu es même celui qui met une certaine somme d'argent de côté, uniquement pour se perdre sous l'eau chaude d'un motel, de temps à autre. Tu ne portes aucun parfum, trouvant inutile de cacher l'odeur du savon que tu portes continuellement. C'est une des seules choses que tu t'offres sans rien cacher, un pain de savon de l'odeur que tu préfères. T'as jamais entendu dire que tu sentais comme quelque chose de mauvais. - C'est probablement ton nez qui dégèle et qui te rentre dans la bouche très chère. Je peux pas dire que c'était très agréable de t'embrasser, tout en sachant que tu ne t'étais pas brossé les dents. - Tu lèves les yeux en l'air, espérant avoir été clair. T'es celui qui prend soin de soi et ce, bien plus que quiconque assis dans cette pièce. De toute manière, à regarder la vieille qui dort la bouche grande ouverte, à nouveau, ce n'est pas bien compliqué de la battre à pleine couture. - Minute poulette, Si je suis réellement ton premier baiser, tu me dois respect. Je suis peut-être ton âme sœur, tu ne penses pas ? - Tu n'en as rien à faire de ses manières froides et de ses airs de dégoût. Tu essaies de te montrer intéressé et intéressant, espérant qu'elle puisse t'ajouter sur son testament. - Tu préfères que je ris ou que je montre les dents ? Tu veux que je ris en montrant les dents ? - Tu lui souris alors, d'une manière forcée, lui montrant ta dentition parfaite. - Tu veux voir autre chose ? Je suis bien ouvert d'esprit, si ça t'intéresses. -  

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyDim 4 Aoû - 8:26

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Son état d'esprit à ton égard t'importe pas du tout. Tu t'en fiches royalement ce que peuvent penser les personnes sur toi. Ça t'apporte absolument rien, et en rien ça change ta vie. Tu restes toi-même quoi qu'il arrive et peu importe les situations. Les personnes doivent t'apprécier pour ce que tu es, sinon, tant pis pour eux. Tu es très bien toute seule après tout, car cela t'évite de te polluer la face avec ce genre de personnes repoussantes. En soi, lorsque par un miracle, une personne réussie par conquérir ta sympathie et ton amitié, tu sais te montrer digne d'une bonne amie. Pas vraiment de bonne compagnie par ton caractère capricieux et lourd. Mais tu sais te montrer fidèle et protectrice aux personnes à qui tu tiens, mais évidemment cela est bien rare et ce n'est jamais arriver. L'amitié est quelque chose d'inconnu pour toi, dont tu n'as jamais vécu l'expérience. À tes écoles, ou dans la rue, tu as toujours donné de la haine, de la jalousie et de la méprise venant des personnes à ton égard. Mais au fond, ce n'est pas de ta faute si tu es arrogante, et prétentieuse remplie au as. Tu as été éduquée comme ça, et tu vis dans un milieu où la bourgeoise haute domine. Même si ton cœur aimerait plus de liberté, et vivre plus sans que tu sois comme une lionne dans un cirque. Tu aimes ton environnement soyeux, carré et propre car c'est ton monde depuis que tu es née. Tu connais que ça, et tu estimes que tu ne peux rien connaître de mieux que la sécurité d'un confort luxueux.

Tu relèves délicatement tes manches pour observer de nouveau l'heure à ta montre. Tu trouves le temps long et tu as l'impression que les secondes sont des minutes. Cela se développe surtout lorsque tu as une compagnie désagréable, que tu aimerais chasser. Mais tu as bien compris qu'il est idiot et qu'il est mal élevé. Tu demandes bien ce que ses parents ont foutu dans son éducation. Tu as peut-être ta petite idée à ta question. Il a été abandonné, ou alors ses parents sont morts dans un accident lorsqu'il était bébé. Ce n'est pas possible autrement. Tu ne peux pas imaginer qu'une personne soit aussi irrespectueuse et malpoli à son âge. Il doit être majeur, c'est certain, il devrait avoir des responsabilités pour le faire grandir dans sa tête non ? Il est rien, c'est bien ce que tu penses. Il est seul, et il a aucun but dans sa vie… à croire qu'il ne sait pas quoi faire de sa vie. En soi, c'est un déchet de la basse société. Visiblement, plus le temps passe, plus tu as la sensation que tu ne t'es pas trompée sur ton jugement sur lui. C'est coller sur son front, et tu peux lire ça à travers son attitude déplacée et insolent.

Il est tellement facile comme gars, tellement simple à en faire une marionnette. Tu es persuadée qu'il suffit de lui dire ce qu'il veut entendre pour te le mettre dans ta poche. Tu peux le soudoyer comme tu l'entends pour qu'il en devienne ton lèche botte et fasse tout ce que tu dictes à la lettre comme un servant. Évidemment, il n'y a aucun intérêt à cela vu qu'il donne l'impression finalement d'être qu'un gamin sans importance qui cherche à se faire remarquer. Comme un idiot dans le cours de récréation qui veut montrer qu'il est le plus fort ou encore le plus grand dragueur auprès des filles. Il y a rien à en tirer de ce garçon. Il faut lui donner un coup de boots pour que sa vie soit bien plus intéressante et qu'il grandisse ? Il a besoin d'une chaleur humaine ? D'une responsabilité ? D'un bon boulot ? D'une petite-amie ? D'une amie ? Une simple personne à qui parler de tout et de rien ? Ce n'est certainement pas toi qui peux lui offrir ça car tout simplement : tu t'en fiches royalement de lui et de ses états d'âme. Qu'il continue à s'effondrer dans la sombreur de l'ignorance, il est égal que d'un microbe parmi tant d'autres.

Tu penses encore à ce baiser, enfin ce ridicule bisou de cours de récréation que tu as reçu de sa part. Encore dégoûtant, les sensations de haut-cœur ont disparus, mais tu as l'impression d'avoir un gout amer comme-ci que tu venais de manger un ingrédient que tu n'aimes pas. Il peut penser ce qu'il veut, il est évidemment hors de question tu prenne ça comme un véritable baiser surtout dans les circonstances que cela est venu. S'il recommence à s'approcher de toi d'une façon menaçante. Tu comptes crier au viol. Tant pis pour la suite des événements, c'est lui qui cherche sans cesse à en croire qu'il veut finir en joute. Est-il suicidaire pour venir emmerder une personne de ton standing ? Visiblement, oui, car tu lui feras aucun cadeau. S'il veut jouer comme un gamin, tu vas jouer avec lui dans ce cas. Tu étais partie pour ne plus le calculer une bonne fois pour toute et lui donner le rôle de l'être invisible, mais finalement, tu te rétractes. Tu vas donc voir qui va rire en dernier. Tu vas juste l'envoyer aller voir un psy pour son bien finalement. Il est perdu le pauvre. Lui, il change bien de tactique en ta compagnie, il passe au dragueur lourd, et au mec lourd et insolent, alors à ton tour. Tu prends même la peine de te tourner vers lui, alors que sur ton siège, tu lui tournais limite le dos. Tu as les jambes croisées, et ton pied, habillé d'un beau talon, approche quasiment de son genou le plus proche de toi. << Oh ne vous en faites pas, si je suis là, c'est pour une bonne raison. Vous voulez lire mon dossier médical peut-être ? Vous verrez que depuis toute petite, je suis qu'un corps, et qu'une santé fragile et cassée malheureusement. Alors oui, c'est triste. >> Tu abordes un air faussement triste avec une petite moue épuisée avant de reprendre rapidement. << Et vous ? Vous êtes là car vous êtes tombé pour moi ? Alors vous avez bobo ? C'est ce que vous m'avez dit. >> Tu abordes désormais un air faussement innocent. Lui rappelant la première phrase qu'il t'a sorti, et dans quel intérêt. Pour tester ses phrases de dragues à deux balles qu'il a lu sur Internet. C'est dommage pour lui, il n'est pas tombé sur une fille naïve et à fleur de peau. << C'est donc vous mon amour ? Vous êtes donc la solution à mes problèmes ! Ça alors : Si je m'attendais à trouver ça dans un endroit qui pues la mort et la maladie. Nous sommes donc là pour donner de l'amour en ce monde, c'est ça ? Malheureusement, je risque de briser vos rêves. Je ne cherche pas l'amour, et je ne viens pas là tout les soirs ! Sur ce point, fort heureusement si je peux dire !... En tout cas, mon amour, je l'ai déjà. >> Tu te frottes tes cinq doigts pour lui démontrer que tu aimes l'argent et son odeur, et que ton amour, ce sont tes billets de banque ! Tu en prends même des bains de billets tout les soirs ! Tu espères qu'il comprend ton geste, à moins qu'il soit trop stupide pour comprendre, ce qui ne t'étonnerais pas. Ou alors, qu'il soit trop pauvre pour comprendre le sens de l'argent et de la fortune ! Et le bonheur que cela procure d'en avoir pleins les poches. 

Tu l'écoutes par la suite même si en réalité, ça t'emmerde de l'écouter, et de jouer celle qui s'intéresse subitement alors qu'au final. Qu'est-ce que tu t'ennuies là. Tu remarques qu'il croise les jambes comme toi, lui aussi. Amusant et ridicule à la foi. Tu plisses les yeux d'une façon hilare. Quelle histoire ennuyante et ridicule qu'il te raconte. Tu secoues la tête négativement pas d'accord. << Pas possible pour maman saoule. Je ne bois pas une goutte d'alcool mon cher. Et dans le sens pitié, c'est plutôt l'inverse. C'est papa qui est venu emmerder maman comme un homosapiens qui se croit dans un numéro de clown. >> Tu plaisantes pas vraiment là-dessus. Il ne réalise pas que c'est lui qui a le bonnet d'âne sur la tête ? Il a conscience d'aucun de ses actes en réalité. À se demander s'il sait réfléchir dans sa petite cervelle. << J'en veux deux ! Des jumelles si c'est possible. Est-il possible que vous me battiez dans l'histoire ? Comme ça papa finit devant la justice et perds la garde des enfants. Maman les a pour elle toute seule, et vit heureuse avec ses enfants, sans qu'une couille molle rouille l'atmosphère. Ah, et si à la fin de l'histoire vous pourrez vous suicider. Ça ferait du bien au monde à mon avis. >> Tu lèves les yeux au plafond un court instant l'air réfléchis. << Mmh, pour le lama non sans façon. Vous faites déjà d'office de lama, alors pas besoin. >> Dis-tu en revenant rapidement à ton naturel. Froide et distante, sans aucune sympathie. T'en as ras-le-bol de ce petit numéro. Ce n'est pas ton délire de jouer les imbéciles, surtout que tu ne veux même pas lui adresser la parole. Tu regardes de nouveau l'heure à ta montre d'impatience. Tu n'as pas l'air joyeuse, et tu ne prends pas ce jeu avec joie et plaisir, bien au contraire. Tu n'es pas bavarde dans l'âme, et tu cherches continuellement la paix lorsque tu te déplaces hors de chez-toi. Lorsque qu'une personne t'adresse la parole, même simplement pour demander l'heure, ou la route. Ça te dégoûte, et tu passes ton chemin comme-ci de rien n'était. La sympathie ne fait pas partie de ton bois, et le contact humain encore moins.

Pour toi, il a mauvaise odeur, même si au sens propre, ce n'est pas le cas. Tu l'as plus dit d'une manière au sens figuré, comme une image. Que les gens comme lui puent pour toi, et que tu ne veux pas t'en approcher. Tu t'en fiches de ce qu'il pense et de ce qu'il raconte par la suite. Ses attaques ne sont même pas aussi blessante qu'une pichenette. Ça te passe par-dessus la tête encore et encore. Ça te fait ni chaud, ni froid. Il peut pensé que tu es son premier baiser, si il appelle ça un baiser, c'est son problème. Il peut penser ce qu'il veut, tu t'en fiches. Il peut montré ses dents comme un idiot tu t'en fiches encore plus. Il est pas intéressant un point c'est tout et ses actes et ses actions sont tous autant immatures et fades. << Écoutez attentivement. Je vais être claire avec vous, si vous avez des problèmes dans votre vie, et que vous chercher à vous divertir, ce n'est pas mon problème. Je m'en fiche royalement des êtres comme vous qui peuplent et pourrissent ce monde. Allez donc jouer au frisbee avec votre chienne, ou retournez à l'école, car visiblement vous êtes resté au stade de la sous-école. Et laissez ce monde tourné comme il a toujours fait. Chacun à sa place. >> Tu te remets bien sur ton siège. Bien droite, et élégante. Tu te frottes le front en soufflant fatiguée. Tu es toujours rancunière contre lui, pour son bisou surtout, et ta cruauté est sans égal. Alors tu comptes bien lui porter des problèmes. Ça il n'y a aucun doute. Mais c'est qu'un gosse, du moins son esprit. Si ça se trouve, il est plus âgé que toi. Ce qu'il a de forte chance, car tu es bien jeune toi-même. << Ou bien allez donc à votre rendez-vous. Vous n'avez pas l'air d'un clochard non plus. Dois-je demander à l'accueil qu'ils appellent vos parents pour qu'il vous récupère ? >> Il n'a pas la peau crasseuse, il n'a pas les cheveux en compote, et n'a pas les vêtements crades et troués. Alors tu imagines qu'il n'est pas qu'un simple sans-abri qui a trouver refuge dans un hôpital. Il n'en reste pas des moindres qu'un guignol crasseux pour toi. Tu te lèves de ton siège, et tu l'observes un court instant en arquant un sourcil d'un air de dégoût. Il te répugne, peu importe ce qu'il fait, et ce qu'il dit. << Je suis navrée, mais moi je n'ai pas que ça à faire de mes journées. Contrairement à vous. L'heure de mon rendez-vous à sonner. Je ne vais pas attendre qu'on vienne me chercher. Vous étiez là avant moi non ? Je sais pas, je n'ai pas fait attention quand je suis arrivée. Vous attendez toujours ? >> Au fond, tu t'en fiches complètement, mais peu importe. Toi tu n'es pas patience, alors tu vas forcer ton rendez-vous. Tu prends soudainement un malin sourire au coin de tes lèvres. << J'en suis certaine que nos chemins se croiseront de nouveau. Vous ne pensez pas petit chou ? Et avec des problèmes… jusqu'au cou. Dans votre cas. >> Tu fouilles rapidement dans ton sac pour y sortir un paquet de pansements. Pas utiliser, de beaux pansements colorés et uniques. Tu les jettes sur ses jambes pour lui donner d'une manière détendue, mais remplie de mauvaises ondes. << Tenez sale gosse. Vous vouliez des pansements ? J'en ai tout une boite, et ce n'est pas des pansements de mauvaises qualités. Évitez de tomber à cause d'une dame bien trop haute pour vous la prochaine fois. >> Tu abordes de nouveau un air supérieur à lui et arrogante. Tu en avais bien dans ton sacs, tu en portes toujours dans ton sac à main. Pour toi principalement, car c'est déconseiller que tu te mettes soudainement à saigner, même par une petite griffure.
 

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Sunhi Ahn

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyJeu 8 Aoû - 23:35

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Elle, n'être qu'un corps ? Il est vrai que si tu la lâcherais parmi un groupe de lions affamés, tu ne donnerais pas cher de ce qu'elle peut cacher sous sa fausse timidité. Même chose si tu l'entraînerais avec toi, dans ton milieu, dans ce que tu fais. Il y a quelques filles avec toi, quelques filles qui vendent de la drogue. Enfin, elles le font lorsqu'elles ne sont pas trop gelées pour se souvenir de leur nom et de ce qu'elles font de leur vie. Bien bâties, un sourire à faire peur, une couleur de peau frôlant la mort, elles se comportent comme des femmes de petites vertues, ne voulant même pas avancer vers un autre univers, ne voulant que se rapprocher d'une mort certain dans peu de temps. Tu en as vu dépérir, tu as perdu des gens de ton équipe assez fréquemment. Tu ne pourrais dire que sa vie doit être mieux que la tienne, tu ne la connais pas assez pour le dire. Mais à voir ses grands airs de dame prétentieuse, tu vois bien qu'elle est née avec une cuillère en or dans la bouche. On laisse faire l'argent, on lui donne directement l'or avec ses airs de Miss jem'enfoutismejesuislameilleureetj'emmerdelesgenscommevous.  Tiens, ça serait peut-être bien pour elle que tu puisses l'appeler ainsi, ne serait-ce que pour qu'elle puisse se tenir tranquille quelques minutes. - Arrête de prendre tes rêves pour la réalité, ma pauvre. Je t'ai dis ça pour engager la conversation, clairement pas pour que tu commences à penser que j'ai vraiment tomber pour quelqu'un comme toi. Je vois bien que t'as rien à faire de ce que je peux dire ou de ce que je peux penser. Tu ne m'apprends rien, on ne vient pas du même milieu et ça serait dommage que tu te casses un ongle. - Tu soupires, portes ton regard vers le plafond, avant de soupirer à nouveau.  

Pourtant, tu reprends en lui parlant d'amour, espérant que cette fois-ci, elle puisse comprendre que tu es entrain de tout essayer, de prendre toute les techniques de drague possible, ne serait-ce pour qu'elle puisse continuer de te parler. Tu as besoin de parler à quelqu'un, de faire causette pour te changer les idées. Ce n'est pas à cause du coup que tu as eu sur la tête, mais bien pour te faire penser à autre chose, que l'endroit où tu te trouves. Tu détestes les hôpitaux, tu ne peux le nier. Pour toi, c'est pire qu'une morgue, c'est bien pire que la mort elle-même. Rien ne peux rivaliser avec un hôpital, tu en frissonnes même juste à entendre ce mot. Et lorsqu'elle te parle de l'odeur, elle doit peut-être penser la même chose que toi. C'est vrai que la mort sent entre tout ces murs. Même la nourriture de l'hôpital goûte … la mort. Dans un sens, peut-être est-ce la cas ? Le dernier repas avant de passer de l'autre côté. Lorsqu'elle se frotte les doigts pour te montrer qu'elle détient déjà son tendre et chéri amour, tu ne peux t'empêcher de déglutir, avant de porter une main devant ta bouche. À vrai dire, tu ne penses pas à ses bagues, ni même à l'argent et le pouvoir qu'elle peut avoir sur elle. Tu ne vois qu'un simple geste sur ses doigts, quelque chose d'obscène. Tu grimaces, limite, tu avales ton envie de vomir. Comment peut-elle oser faire ce genre de geste, directement devant toi ? Comment peut-elle penser, ne serait-ce qu'une seule seconde, que ça pourrait t'exciter ? - Non merci, garde tout ton amour pour toi. Je préfère mon restant d'innocence et ne pas savoir ce que tu fais véritablement avec tes doigts. -  

Maman saoule ? Pas une bonne idée, c'est noté. Au fond, à force de la faire parler, tu finis par la connaître un peu. Il ne te manque que son prénom, pour dire que tu la connais sous toutes les coutures. Enfin, peut-être pas sous toutes, mais sur une bonne dizaine. - Intéressant, t'as jamais dit non pour avoir des enfants avec moi donc, pour coucher avec moi. Très intéressant. - Peut-être ne devrais-tu pas te sentir au-dessus de tout ça mais peu importe. Ton sourire revient et ta presque bonne humeur aussi. - Je préfère ressembler à un lamas qu'à un garçon que je connais. C'est même un joli compliment, ton histoire. - Tu viens de penser à ton meilleur ami, GD. Lui aussi, pourrait facilement passer pour lamas, vu la quantité de bave qu'il peut produire lorsqu'il est question d'une femme à demi-vêtue. Ou même vêtue. Ou même .. enfin bref. - Joli compliment, vraiment. - Tu essaies de la rendre dingue et tu penses bien avoir trouvé la manière d'y parvenir. Tu ne sais juste pas si une pimbêche dingue est plus dangereuse qu'une avec une tête sur les épaules.  

- Humm hummm – Visiblement, tu ne l'écoutes pas du tout. Tu regardes les gens passer devant toi, un médecin venant de faire son apparition. Tu as été tenté de te lever, lorsque tu as remarqué que ce dernier t'as remarqué. Tu as été tenté de te lever et de lui demander de prendre soin de toi, de t'emmener loin de cette folle dingue. Une fois le médecin passé, tu as repris tes esprits, te tournant à nouveau vers la demoiselle qui elle, continue son monologue. - Excuse-moi beauté, mais je ne t'écoutais pas. Tu disais ? - Et tu ne rigoles pas, il est vrai que tu as passé un temps à regarder le mur ensuite, trouvant ce dernier intéressant. Enfin, plus intéressant que la jeune femme à tes côtés. - Jouer au frisbee non. Jouer aux fesses, pourquoi pas ? - Tu hausses les épaules, avant de reprendre. - Et peut-être même avec une chienne … Tu peux me donner ton pedigree ? Je pourrais voir ensuite si on est compatible ou pas. - Tu lui fait un petit sourire en coin, un bisous volage également avant de reprendre la discussion. - J'allais y aller aussi, je voulais uniquement te tenir compagnie, question que tu trouves le temps un peu moins long. C'était bien agréable de te parler, même si tu ne sais visiblement pas prendre les compliments lorsqu'ils passent ou même te servir de ta tête, lorsqu'un garçon te fais la cours. Tu pourrais au moins me remercier. Tu viens quand même de passer le plus beau moment de ta vie ! - Tu continues d'hausser les épaules, même lorsque la dame décide de se lever, prête à partir. - Pas besoin de problèmes pour se recroiser. Je sais maintenant où te trouver. Y'a un joli coin de rue, tout au fond là-bas. Je suis persuadé que tu t'y tiens les weekends, aux petites heures du matin. Si personne ne t'as mis la main dessus avant, bien entendu. - Lorsqu'elle te laisse une boîte de pansements, tu relèves la tête vers elle, après avoir ouverte la dites boîte et avoir jeté son contenu sur le sol. - Pas même ton numéro de téléphone ? Non mais tu me prends pour qui, petite ? La moindre des choses, c'est de donner un rendez-vous ou au moins, donner son numéro. - La boîte, désormais vide, tu la lances vers la jeune femme, l'atteignant en pleins visage. - Je suis pas une pute à qui on peut se la jouer … Je suis pas un de tes semblables, aie au moins un peu de respect. -

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Kitana Tsukanji

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MessageSujet: Re: I belong to you and you belong to me + Kitana   I belong to you and you belong to me + Kitana EmptyMer 14 Aoû - 8:37

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Voilà qu'il a un peu de jugeote, tu commençais par perdre espoir qu'il était né avec aucun neurones dans la cervelle. Enfin, tu le penses toujours, et cela ne risque pas de changer de si tôt. Tu te fais aucune idée, ni d'illusion. Tu es tellement parfaite touchant de tes doigts la perfection, que tu n'as pas l'ombre d'un doute que sa manière de t'aborder dans un premier temps était très sérieuse de sa part. Il ne pensait certainement pas se prendre un mur en pleine face. C'est pour cette raison que depuis il passe son temps à t'insulter inutilement et a essayer de se rattraper de son ridiculise. Il lance sa vexation et sa rage comme un gosse, car il réalise qu'il a le charisme d'une huître. Au fond, c'est très marrant de voir la médiocrité des petits déchets comme lui. Il a enfin compris que tu en avais rien à faire de ce qu'il peut dire et surtout de ce qu'il pense dans sa petite tête. Surtout, que vous ne venez pas du même monde et qu'il devrait sans aucun doute rester dans son illusion de personne qui se cherche à rendre leur vie intéressante par n'importe quel moyen. Mais ça ne marche pas, hélas pour lui. << Oui ouais essayez donc de vous rattraper. >> Tu fais un léger signe de la main avec un regard inintéressant à son sujet démontrant qu'il parle encore une fois dans le vide. Plus il ouvre la bouche, plus il s'enfonce alors qu'il était déjà de base bien bas. << Au moins, vous avez compris que vos paroles et tout ce qui va avec sont pas intéressants pour moi et que je m'en fiche totalement. Conservez votre salive, c'est mieux. Ooh mais, vous voulez aller vous reposer peut-être ? Vous avez des maux de tête ? Vous venez de comprendre quelque chose, soyez fier de vous. >> Il est vrai que tu cherches pas du tout à comprendre pourquoi il adapte une attitude comme ça, aussi changeante, et qu'il continue à forcer ainsi malgré que tu ne sois pas ouverte à la conversation. Pour toi, il est simplement mal élevé et insolent, ce qu'il en fait un idiot. Tu ne cherches pas plus loin. Il suffit d'une poignée de secondes avec toi pour coller une étiquette sur le front sur une personne, et en général, cela va bien vite vu que tu hais l'espèce humaine et leur pourriture. À vrai dire tu n'as pas besoin d'un boulet comme lui dans les pattes. Tu ne fais pas de coloriage pour enfant, alors tu n'as pas de risque pour te casser un ongle. Le monde extérieur à ta personne n'est qu'une obscurité invisible dont tu n'y portes aucune intention et n'est qu'une misère sous tes pieds. Il y a que ta personne qui t'intéresse et t'importe. Tu penses qu'à toi, et ton bonheur infime suffit pour vivre. Il n'y a que toi-même qui te peut te chagriner et te rendre triste toute seule. Il n'y a que toi-même qui peut te juger sans détour et te faire douter sur tes manières et sur tes actes. Personne, et encore moins un moins-que-rien comme lui. Il va juste le regretter.

Ces histoires à dormir debout t'agacent, et tu en as que faire de ces théories. Déjà que tu détestes te rendre à l'hôpital pour diverses raisons, mais alors si des guignols comme lui s'y rendent aussi. Cet endroit en devient encore plus néfaste et affreux. Ça n'arrange en rien ta vision dans les autres et ça te rends simplement encore plus insociable. Lui, c'est plus à la crèche qu'il devrait aller. Tu penses que par argent et pouvoir, que cela t'en détruise tous les principes de la civilisation et de la socialisation. Si tu penses qu'à ta personne, et que tant que tu as l'argent pleins les poches tout roule, où tu es endormi par ton illusion de la définition d'être heureuse. Tu te dupes presque toi-même. C'est sans doute parce que ton père en est du même bois, même ton frère. C'est en soi de famille, mais tout naturel. Tu arques un sourcil d'incompréhension, visiblement, il n'a pas saisi le sens de ton geste, mais au final ça ne t'étonnes pas du tout. Comment pouvais-tu penser qu'un cafard comme lui aurait pu comprendre le sens de ton geste ? Tu ne comprends pas toi-même ce qu'il veut dire dans son commentaire. Mais c'est juste une preuve que son milieu inférieur ne peut pas comprendre et communiquer avec une divinité comme toi. Qu'il s'en reste aux prières. << Vous ? Un restant d'innocence ? Faites moi rire. >> Tu regardes un court instant tes ongles imperturbable et désintéresser. Tu ne le montres pas du tout, mais au fond de ton âme, tu rigoles à pleines dents de son dernier commentaire.

Tu regrettes un peu de t'avoir pris au jeu le temps d'une minute avec lui. Ça t'a vite gonflée et ça la juste encore plus rendu insupportable. Ce n'est vraiment pas ton délire d'être aussi idiote et immature. Mais lui visiblement, il est né comme ça. Il a dû être mal conçu par ses parents. << J'ai pas dit non, c'est vrai. Mais vous venez de me dire que je pouvais garder mon amour pour moi. Alors dommage pour vous. >> Tu hausses les épaules légèrement, en jouant sur ses paroles précédentes. Tu arques un sourcil avec un fin sourire au coin de tes lèvres amusée pour une fois. Il préfère ressembler à un lama plutôt qu'à un garçon qu'il connaît ? << Si vous le dites. >> Tu appuies ton masque sanitaire du bout de tes doigts, ne l'écoutant plus vraiment un instant en ayant les yeux baladeurs un peu partout à travers la pièce. Il t'épuise rien que par sa présence et tu espères étonnement qu'une autre fille entre dans la salle pour qu'il puisse te lâcher et qu'il aille se ridiculiser avec une autre femme. Tu tentes alors de le faire fuir une nouvelle fois, ou bien qu'il comprenne de nouveau qu'il est en train de perdre son temps même si visiblement, il n'a rien à faire de ses journées. Tellement entreprenante, que tu n'as pas remarquer le médecin ayant fait une apparition. Ton discours n'a pas eu l'effet escompté dont tu souhaitais, mais en soi, cela ne te surprends guère venant de lui. Tu le connais maintenant, même si tu lui collais déjà l'étiquette du rat d'égout écervelé avant même qu'il ouvre la bouche. Tu ne te répètes jamais, ça c'est certain. Tu ne veux pas perdre de temps avec quelqu'un comme lui. Pas la peine de continuer ainsi, tu aimerais être loin de lui et ne plus te sentir comme dans une clinique pour arriérés mentaux tellement ce gars n'a aucun sens et aucune intelligence. << Rien, continuer à être silencieux comme ça. C'est bien. >> Dis-tu en joignant tes mains. Visiblement, il a quand même écouter du coin de l'oreille vu qu'il réplique quand même sur certains points. Encore une fois, il se contre dit une nouvelle fois. Depuis le début, il fait que ça, il dit des choses absurdes et se contre dit lui-même par la suite. Tu aurais pu le laisser faire des monologues qu'il se répondrait tout seul. Il n'a aucune crédibilité, et cela est écrit sur son front. Tes mains joignées, tu tournes des pouces sans intérêt vers lui, pour démontrer qu'il parle dans le vent, sans donner de réponse.

Absolument rien d'intéressant. Tu jettes un coup d'œil à ta montre, et c'est normalement l'heure de ton rendez-vous. Lui, tu ne sais pas ce qu'il fait là, mais tu t'en fiches complètement. Tu comptes partir de cette salle d'attente. Ce genre de salle en est irrespirable pour toi, et tu n'as pas besoin d'un numéro comme lui pour que ça pue la mort. Comme cet endroit en général. Tu veux déjà le quitter pour un nouvel air, car celle-ci est toxique et tu as l'impression que les murs se renferment contre toi à chaque fois. Tu le préviens quand même de tes intentions, afin de le prévenir que la charmante demoiselle dont il semble admirer pour t'emmerder comme ça, part pour de meilleurs horizons. Tu le conseilles de faire de même, pour ne pas rester là comme un idiot. Il allait y aller ? Ça t'étonnerait, si tu serais restée assisse, il aurait pu rester là toute la journée pour te tenir compagnie comme il dit. Limite, tu peux lui mettre une laisse qu'il te suivrait partout comme un bouffon. Tu n'as pas besoin d'un petit choit et encore moins d'un esclave. Tu grimaces dérangée, lançant un léger regard sombre. << Au contraire, plus je viens ici, plus le temps est de plus en plus long. Et votre présence inintéressante au possible n'a rien changer à la donne. Revoyez votre jugement jeune homme, et êtes-vous sérieux que vous pensez valoir de la peine ? Ce n'est pas le cas. Ce n'est pas en agissant comme vous le faites que vous allez avoir de la compagnie. Votre personne est immature et fade. >> Malgré ce qui s'est passé, tu lui offres une boite de pansements sans mauvaises intentions. C'est un gosse sans éducation, il va juste finir par se perdre et les problèmes il peut se les trouver sans toi tu penses. Néanmoins, tu aimerais le voir en train de se pisser dessus. Si tu lui amènes des sérieux problèmes, il fera moins le malin et n'aura que ses yeux pour pleurer. Tu arques un sourcil sans comprendre sa comparaison avec une rue inconnue et toi-même. Il se berce encore dans une illusion sans doute. Il pense tout connaître et tout savoir celui-là. << Vraiment ? Arrêtez de croire que vous êtes un génie ou un prophète qui connait tout sur tout. >> Réponds-tu simplement et rapidement sans prétention. Tu sors d'autant plus jamais, excepté pour tes études, ou encore tes représentations de violoniste dans des lieux dont il a aucun moyen de se payer. Ou à des occasions, pour faire les boutiques dans des rues longées par des grandes marques et de la grande qualités.

Tu comptes tourner des talons sans demander ton reste, mais tu aperçois qu'il vide le contenu de la boite au sol. Tu avais un semblant d'aide malgré tout, et c'est comme ça qu'il te remercie. Tu restes suffisamment patiente avec lui. C'est bien ce qu'il voulait à la base non ? Pour son bobo, et même ses futurs bobos, quand il se cognera contre le bout d'un meuble. Mais tu t'en fiches complètement, maintenant que tu lui as lancé la boite et qu'il la toucher, c'est son pur problème. Sa réaction ridicule ne te fait ni chaud, ni froid. Tu croises les bras d'une façon terne et inexpressif. Ton numéro ? Il rigole là, t'espères. Il rêve complètement celui-là. Il pense que tout lui revient de droit comme par magie ? Il devrait grandir. Tu ne t'attendais tout de fois pas qu'il te lance la boite sur le visage. Il ne t'a pas fait mal, c'est juste une boite en carton. Mais tu es quasiment choquée sur place d'une telle attitude mal élevé et insolente. Tu en restes statique un court instant avant de porter ta main vers ton visage pour te caresser le front. C'est comme-ci qu'il venait de lever la main sur toi. Mais est-il vraiment idiot à ce point ? Il espère quoi après tout ce qu'il fait depuis qu'il a posé son cul sur ce siège. Il s'enfonce simplement et ça te donne juste un point en plus pour lui donner des problèmes. Tu glisses doucement le pied pour taper la boite tombée à tes pieds pour le faire glisser plus loin. Ça vient jusqu'à sous son siège alors que tu te pinces les lèvres de frustration. Tu lui donnes alors une terrible gifle sans retenue après son geste. Il ne faut pas non plus dépasser les bornes et ce clown ne mérite aucun respect de ta part. il se croit tout permis et ça t'énerve plus que ses paroles sans saveur. << Tu es qu'un voyou, et tu ne mérites aucune once de respect de ma part connard. Je n'ai pas de semblables, je suis l'unique reine divine de ce monde. Tu devrais te prosterner à mes pieds. >> Tu es en colère ce qui en développe plus ton arrogance et ton narcissisme. Cela se ressent dans ta manière de parler puisque tu viens de le tutoyer sans gêne. Dans ton milieu, c'est une pure marque d'irrespect et c'est même insultant. C'est qu'un chien sans laisse, et une pourriture. Rapidement après, tu retires ton masque, et tu lui craches dessus à la hauteur de son visage avec pleins de dégoût. << Arrêtes de penser que tu es parfait alors que c'est loin d'être le cas. Tu n'es pas... moi ! Surtout, Tu penses vraiment que tu peux tout avoir, et que les gens doivent se soumettre à tes exigences ? Que tout se passe comme tu le souhaites ? Tu n'es rien, juste qu'une petite merde. Je me joue de toi si je veux, et je te traite comme je le veux. >> Tu recules légèrement de lui, en remettant ton masque à ton visage avant de reprendre rapidement. << Mon numéro, et même mon simple prénom, tu peux te le mettre dans le cul abruti. >> Tu remontes ton sac à main et replaces rapidement tes cheveux avec grâce. Alors qu'au même moment, une nouvelle cliente entre dans la salle d'attente. Une femme mure, elle vous regarde bizarrement en entrant, mais va s'asseoir de l'autre côté de la pièce calmement. Toi, tu ne calcules pas la femme, et tu lui tournes le dos pour quitter la salle d'attente sans perdre une seconde de plus. Tu te diriges immédiatement vers l'accueil, et tu tapes du poing. Tu observes l'employée face à toi et tu prends un ton désagréable. << C'est l'heure de mon rendez-vous. Où est mon médecin ? J'ai pas que ça à faire de traîner dans votre morgue. >> La jeune femme est cryptée à cause de ton comportement agressif et désagréable. Elle ne perd pas de temps pour de te renseigner, alors que toi, tu es terriblement impatience. Tu en trembles même d'épuisement par ton sang bouillant, et que ton rythme cardiaque soit en accéléré.     
 

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