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 Save an aggression ✦ Kim

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Kitana Tsukanji

@ Kitana Tsukanji

member ☂ let it rain sunshine


mon âge :
25

mon occupation :
Violoniste (Soliste) & ancienne danseuse classique (Ballerine) / étudiante privée au prestigieux conservatoire Royal Academy de Londres (Musique classique, danse classique & art dramatique)

mon statut civil :
En love sur son reflet

mon orientation :
Hétérosexuelle

Save an aggression ✦ Kim Gkit
➶ Le vent emportera ton cœur pour de nouveaux horizons magiques ღ

Save an aggression ✦ Kim Tenor
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MessageSujet: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptyJeu 16 Mai - 21:03

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an aggression


➟ feat Save an aggression ✦ Kim Flag-for-japan_1f1ef-1f1f5 Kitana Tsukanji & @Kim Hojin Save an aggression ✦ Kim Flag-for-united-kingdom_1f1ec-1f1e7


En temps normal, tu ne prends pas l'initiative de sortir toute seule comme ça, sans être sous la surveillance de qui que ce soit, c'est d'ailleurs la première fois que tu décides de prendre ce risque. Tu n'as pas prévenu ton père, ni ton frère que tu vas profiter de ce temps agréable, pour une fois que le temps est adéquat ici pour sortir, tu n'en rates pas l'occasion. Il est évident que ton père va remarquer ton absence dans la villa privée, et à ton retour, il risque bien de te gronder dessus, voir même te punir comme la petite fille que tu es à ses yeux. Mais aujourd'hui, tu veux étonnement être une personne "normale", tu ne veux pas rester enfermer entre ces immenses murs chaleureux pleins de confort, et tu veux découvrir un peu le monde extérieur... à ta façon. Étant la dernière de la famille, tu es toujours la petite dernière inoffensif de la famille, que les membres doivent encore prendre soin et te donner une certaine sécurité. Ton frère, mais surtout ton père autoritaire, t'offrent cette aura protectrice, car tu es une jeune femme pleine de ressource, mais surtout, depuis le décès de ta mère, tu es désormais la seule femme du domaine familial. Dans ce genre de famille, la touche féminine est bien importante, même si ton père est un poil macho sur les bords.... Il en faut bien une pour faire le ménage et la cuisine, car oui, tu aides la majordome à ces tâches. D'autant plus que tu aimes vivre dans un environnement propre et soigné, puis tu adores cuisinier ! Alors cela ne te dérange pas.

De ta longue robe fin noire et rouge de grande couturière où le tissu est majestueusement magnifique, qui en cache même tes joyeux talons. Des talons qui peuvent seulement être trouvé dans les plus grandes boutiques de marques au sein de la ville de Londres. Tu te précipites vers la sortie où tu as fait tout ton possible pour alerter personne, ni la majordome, même si cette femme anglaise très gentille sait garder les secrets. Tu as couvert tes épaules d'une charmante veste colorée en coton, car évidemment, tu n'allais pas sortir qu'en robe. Il doit faire frais cette après-midi quand même. Tu sors également sans ton petit sac à main en cuir où encore une fois, ce sac se trouve dans les boutiques les plus chics de toute l'Angleterre. D'innombrable objets se trouvent à l'intérieur, comme tes affaires personnelles, mais aussi des produits de beauté. Ta garde robe immense contient que des vêtements qui ne s'offrent pas au plus démunie, en plus de tes bijoux de princesse, comme tes boucles d'oreilles fait de matières premières qui vaut son pensant d'or : il faut de l'argent pour s'offrir le moindre bout de quelconque matière sur toi. En tout cas, tu pars un peu à l'inconnu, cela fait quelques années que tu es dans cette ville, mais tu n'as jamais pris le temps de la visiter dans ses moindres détails. Tu n'en voyais pas la peine de connaître les moindre recoins de cette ville, surtout les quartiers qui ne méritent pas d'attirer une simple attention de ta part. Tu préférerais mourir que de mettre les pieds dans un quartier qui te rendra malade rien qu'à l'idée de respirer le même air que ces "gens". Tu connais simplement les emplacements des boutiques de fringues les plus chics qui sont à ton goût, ou encore des bijouteries voir même des parfumeries qui se trouvent dans le coin de l'emplacement de ton domaine : c'est-à-dire le coin le plus huppé de Manfield. Jamais tu t'es aventuré au-delà de cette limite et tu le feras jamais. Excepté Londres, mais encore là, c'est pour fréquenter simplement les rues les plus huppées et chics. Même plus jeune, à Tokyo, c'était le cas. Depuis toute petite, tu as grandis et vécue dans le luxe et le confort d'or. Tu as été éduqué pour rien d'autre, et seulement vivre dans la haute gamme.

Comme seule envie, tu as fait quelques boutiques de vêtement pour le moment où tu n'as pas hésité à dépenser pour te faire plaisir. Tu as de l'argent, et dès que quelque chose te plaît. Tu ne t'en prives pas du tout ! Comme tu craques facilement, il est bien rare que tu ressortes d'une boutique les mains vides. T'as déjà dû dépenser au moins deux-cents livres dans les fringues, mais tu ne comptes pas t'arrêter là. Évidemment après être sortie avec deux sacs en main, tu penses à la dernière boutique de bijouterie où tu avais remarqué un joli collier en forme de cœur. Ce collier t'avait charmé, mais pour une fois, tu t'étais retenue d'en prendre possession. Aujourd'hui, ce n'est pas le cas, mais après avoir passé plusieurs rues, tu ne te souviens plus de l'emplacement exacte de la boutique. Mince alors, tu as comme un trou de mémoire, mais peu importe, tu estimes que tu finiras par tomber sur la boutique, voir même une autre boutique : Tu trouveras un autre collier tant pis. Plus le temps passe, et plus tu as l'impression de t'être perdue dans les rues de Manfield, et même que tu t'es un peu trop éloigné de ton enclos. Tu n'as rien remarquer, mais tu as dû faire plusieurs kilomètres à pieds, et c'est en pensant à ça que tu sens soudainement que tu as mal aux pieds. Tu n'as pas l'habitude de marcher autant, tu as normalement ton propre chauffeur ou encore, il s'agit de ton père. Toi, tu n'as pas le permis alors lorsque tu décides de sortir en secret seule comme ça. Tu peux que compter sur toi-même. Pas question que tu prends un transport en commun ! Pour te retrouver au milieu de gens qui puent et être mal à l'aise ? Certainement pas, tu préfères avoir mal à pieds !! 

Tu souffles d'énervement, car tu es paumée, et en regardant autour de toi, tu ne reconnais rien. Tu aperçois simplement des personnes passées avec des drôles de look... enfin des looks bien décontracter de base moyenne, mais pour toi, c'est juste horrible. Tu te rends compte que tu es allée bien trop loin, alors tu rebrousses le chemin pour revenir sur tes pas. Mais ton sens de l'orientation défectueux te fait défaut, et tu t'enfonces simplement encore plus dans un état qui te semble être un trou paumé. Du moins pour une personne de ta classe bourgeoise, le décor le plus normal te semble tellement médiocre. En marchant dans une rue, tu aperçois même un mendiant plus loin et cela te choque littéralement ! Tu n'as clairement pas envie de prendre le moindre risque alors tu décides littéralement de changer de trottoir pour éviter de passer devant un sans-abri. Une fois sur le trottoir d'en face, tu as l'impression de respirer de l'oxygène empoissonné. Alors tu déposes tes sacs au sol, et tu fouilles dans ton sac à main afin d'y trouver ton masque sanitaire. Immédiatement, tu l'enfiles pour masquer ton nez et ta bouche. Tu prends cette initiative pas seulement pour la pollution ou parce que tu es malade. Mais bien également pour éviter d'attraper une maladie ou un virus dans cet environnement qui se présente à toi. Au Japon, tu le portais à chaque fois que tu sortais dehors, mais en Angleterre, c'est différent étant donné que ce n'est pas habituel dans ce pays et en Europe. Mais là, tu te sens obliger ! Peut-être, c'est une raison pour laquelle tu sors moins ici qu'à Tokyo.

Tu récupères tes sacs et tu hausses les épaules d'un air hautain en reprenant la route. Certains regards se portent sur toi, pas seulement à cause de ton masque, mais malgré ta veste, ta robe ne passe pas vraiment inaperçue. Faut dire qu'il s'agit d'une robe où il faut mettre le prix pour pouvoir avoir la chance de l'avoir sur sois. Peu importe, tu ne remarques même pas les regards, mais cette situation t'agace. T'as l'impression que le soleil va bientôt commencer à quitter le ciel et hors de question que tu sois dehors la nuit tombée ! En réalité, tu as peur rien qu'à cette pensée alors tant pis si tu es puni, tu appelles ton père pour qu'il vienne te chercher. Inutile de rendre ta punition encore plus grave, tu es sortie sans autorisation en plein jour et désormais, il ne faut pas qu'il fasse nuit ! Surtout dans un quartier qui n'est pas le tien. Ainsi, tu t'arrêtes dans un coin de ruelle pour être au calme et tranquille afin de passer ce coup de fil. Tu déposes tes sacs à tes pieds et tu sors ton iPhone dernier modèle de ton sac à main. Tu commences à aller dans tes contacts pour sélectionner ton père lorsque soudainement, tu sens comme un courant d'air à ton dos. Tu es alors bousculé de l'épaule par un homme qui t'arrache ton téléphone des mains. Tu ne réalises pas immédiatement ce qui se passe, mais même si tu ne chutes pas, tu es secoué par cette bousculade. L'homme qui t'a voler ton téléphone admire ce modèle d'iPhone dernier cri, fier de son coup, pourtant, il ne prend pas la fuite et reste planté là à secouer ton iPhone dans sa main. Tu as un peu peur par ce qui peut se produire, car même si ton sale caractère te met hors de contrôle même dans les situations les plus délicates. Tu restes avant tout une jeune femme bien fragile qui est en réalité pas prête à affronter toute la cruauté du monde. Tu as trop été habitué à la luxueuse sécurité que dorénavant, tu ignores tellement de chose.

Même si tu as nerveusement la trouille, car tu as bien conscience qu'on te vole, tu te laisses emporter par ta foudre à sang-chaud. Que sans réfléchir, tu te diriges vers lui précipitamment. << Rendez-moi ça petit merdeux !! >> Des paroles étouffées par ton masque sanitaire mais elles restent bien remplie de colère troublée. Tu as les moyens de t'offrir une centaine d'iPhone si cela te chante. Mais hors de question que tu te laisses voler de la sorte et montrer ton côté inoffensif aux yeux de l'extérieur. Ce n'est pas dans tes gênes de te laisser marcher dessus ainsi : normalement, c'est l'inverse. Même si tu serais sous la menace d'une arme blanche ou encore d'une arme à feu. Peu importe, tu as trop d'honneur à ton égard ! Jamais tu te laisserais faire par qui que ce soit. Malgré que tu sois surdouée, tu ne réfléchis pas au danger potentiel de la situation et tu fonces en général tête baissée lorsque tu sens comme un souffle enflammé en toi. Comme à cet instant, néanmoins, tu n'as pas le temps de l'atteindre puisqu'un deuxième homme te surprend par-derrière. Il tente d'arracher ton beau sac à main de ton bras, mais tu as réussi à t'agripper à la cencle pour ne pas lâcher prise. Néanmoins avec l'élan de ton second agresseur et sa force bien supérieure à ta petite force de princesse. Tu tombes les genoux au sol en te faisant particulièrement mal à tes articulations. Par malchance, tu tombes dans une flaque d'eau qui salis ainsi ta robe, et ça t'éclabousse un peu par la même occasion. C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase ! Tu grinces terriblement les dents d'une rage inconnue et ta colère t'inonde sans s'arrêter. Tu as la simple envie de lui arracher le bras sans aucune pitié. << Regardez ce que vous avez fait ?!? Je vais vous... je vais vous... >> Tu deviens hystérique et incontrôlable, tu hurles limite de colère en oubliant même ton angoisse à cet imprévu. Tu tentes de toutes tes forces de récupérer ton sac malgré l'infime espoir de réussir. Tu tentes de tout secouer, mais tu ne peux vraiment rien faire, surtout lorsque l'homme face de toi décide de te donner un coup-de-poing en plein visage sans aucune retenue et hésitation. Il semble rien à faire que tu sois une femme ! Ce coup a pour don de te faire lâcher prise ton sac à main, et même si tu n'es pas tomber inconsciente, tu sens un peu de sang sortir de ta narine ! Tu es simplement à genoux dans cette flaque d'eau totalement choquée qu'un homme, aussi crétin et médiocre que ces deux déchets, puisse lever la main sur une femme. Surtout une femme comme toi où ta beauté est aussi précieuse qu'un diamant et une perle. 

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Kim Hojin

@ Kim Hojin

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptyJeu 16 Mai - 23:26

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Tu t'es couché alors que le soleil était déjà debout. Ce n'est pas rare que tu dormes durant la journée, surtout lorsque tu as un contrat de nuit. Lorsque tu as ouvert les yeux, le soleil était encore dans le ciel. Vu la luminosité qui entre dans le squatte du gang ou tu te trouves, tu comprends que la journée touche à sa fin et cela te fait sourire. Ces derniers temps tu oscilles entre Manfield et Londres. En effet le gang a décidé d'invertir cette petite ville et tu fais partie du groupe de colons qui s'installe. Ce n'est pas de tout repos, bien que cela ne ressemble en rien aux activités que tu pouvais avoir à Londres. Ici il n'y a pas de rivaux très dangereux, simplement de petites frappes qui ont besoin d'être recabré et c'est exactement ce pourquoi tu es là. Ton meilleur ami n'est pas à côté de toi et tu comprends qu'il a dû aller courir les rues pour trouver des clients et faire rentrer l'argent. Ces derniers temps tu n'as pas l'occasion de passer trop de temps avec lui, toi tu vis la nuit et lui le jour. Cependant vous vous croisez souvent à l'aube ou au crépuscule. En général c'est dans le squatte que vous avez aménagé à Londres, ici à Manfield vous êtes dans la planque du gang et cela n'a rien à voir avec le confort de votre squatte. En te redressant du canapé qui te sert de lit, tu soupires en entendant les hommes dans la pièce d'à côté, déjà bien ivre et échauffé autour d'une partie de cartes. Heureusement que tu as le sommeil lourd sinon tu ne pourrais pas faire l'œil de la journée. En te levant tu dois éviter les corps de tes compagnons sur des matelas disposés par ci par là. Le squatte comportement plusieurs étages, la plupart servent de dortoir, comme l'arrière-boutique dans laquelle tu te trouves. Il y a bien des douches dans les étages, mais tu n'as pas envie de rester trop longtemps ici. En réalité la seule chose que tu veux c'est t'enfiler une ligne de blanche et sortir.

La nuit dernière a été longue, tu as du traqué des merdeux pour essayer de savoir où se trouve leur planque. Ce n'est pas ton activité préférée, toi tu aimes quand tu peux te servir de tes poings et de ta fidèle ami, ta batte de baseball en métal. Seulement ce n'était pas le cas hier soir et cela t'a laissé un gout de frustration. En entrant dans la pièce principale, ou les gars jouent aux cartes et planifient la nuit, tu les salues à peine. Comme souvent personne ne te remarque ou du moins personne n'a réellement envie d'attirer ton regard. Il faut dire que tu as la réputation d'être d'une bombe à retardement. Si parfois tu peux être sympathique et souriant, d'autres fois il vaut mieux pas te parler. C'est un de ces soirs ou tu as le regard si noir que personne t'as interpellé. Tu es monté dans les étages, mais pas pour te détendre sous l'eau chaude. Non tu es plutôt entrée dans une pièce commune, ou tu es certain de trouver ce que tu cherches, un peu de drogue. Deux hommes sont installés sur un canapé miteux, fumant des joins en recoupant la poudre. Ils savaient pourquoi tu es là et même si c'est déconseillé, ni l'un ni l'autre ne t'empêche de profiter de la marchandise. Ce n'est pas comme si tu te tappais quarts lignes, deux petits rails suffiront. C'est une partie de ta paye que tu renifles, tu en es conscient mais c'est ton mode de vie. Si à Londres tu peux trouver la drogue de qualité, celle qui te fait planer, à Manfield tu dois te contenter ce qu'il y a. Après avoir reniflé plusieurs fois et bu dans le verre de bière d'un des types, tu as pris congés. Tu n'es jamais très bavard, tu as bien échangé des politesses avec eux, entre couper de vulgarités, mais tu n'es pas du style à te poser en leur compagnie. Oui tu fais partie du gang, mais non tu ne cherches pas à t'y faire des amis. De toute façon la plupart ont trop peur de toi. Ils sont agréables simplement pour conserver leur dentition intacte et complète.

Ces derniers temps tu es d'humeur morose. Tu n'apprécies pas cette ville. Manfield est un trou paume ou il n'y a rien à faire. Tu as toujours vécu à Londres et te retrouver détacher dans l'équipe de reconnaissant t'épuise. Tu t'étais habitué au confort de ton squatte, aux lieux que tu fréquentes et à ton rythme de vie mouvementé. A Manfield tu as l'impression de tout recommencer et cela t'agace passablement. Pour certains tu es loin d'avoir réussis ta vie, mais cette vie elle te convenait à toi. Alors tu n'es clairement pas satisfait d'être rendu à jouer les chiens de chasse dans une ville de campagne miteuse et sans intérêt. Hier soir tu as fait ton rapport et tu n'as pas mission précise pour cette nuit. Si tu croises des fouilles merdes, tu les suivras. Tu n'es pas obligé mais tu t'invertis dans ton travail et si par la même occasion tu peux distribuer quelques baffes c'est que du bonus. Tu as passé sa veste en cuir sur un t-shirt assez ample pour qu'on voit le haut du tatouage que tu as sur la poitrine, représentant une croix. Tu n'as pas pris la peine de prendre un truc à manger. Pour l'heure la drogue envahit ton système et tu seras bientôt assez haut pour oublier la faim qui t'a prise au réveil.

Alors que tu sens tes sens se décuplent sous l'effet de la poudre blanche que tu pris, tu déambules sans but dans les rues. Le soleil va se coucher dans quelques heures et tu vas enfin pouvoir retrouver l'univers que tu connais, soit l'obscurité de la nuit. Tu n'aimes pas la ville en plein jour, trop de monde, trop de flic, trop de regard tourné vers toi. Il faut dire que tu ne passes pas inaperçu dans les rues avec ton style de bad boy et ton regard qui incite les gens à changer de trottoir. Tu n'as pas pris le temps de visiter la ville, tu n'y vois aucun intérêt spécial. Tu as bien fait le tour de certains quartiers, histoire de te répéter facilement. Manfield est loin de ressembler à Londres et tu as l'impression d'être dans un mouchoir de poche. Tu n'as pas eu besoin d'enfourcher ta moto pour te rendre vers le centre. A la place tu as préféré rouler avec  ton skateboard, cela te rappelle ton adolescence et c'est bien la seule chose qui te fait vibrer dans ce trou paumé.

Tu tournes un peu en rond sans but. Tu observes les passants, détaillant leur style vestimentaire, analysant les commerces en te faisant une idée de l'économie et de l'activité de la ville. Tu es conscient que tu vas devoir passer plusieurs semaines ici, peut-être même plusieurs mois. Tu n'en sers rien et ça t'énerve déjà. Tu as presque envie de retourner à la planque, monter sur ta moto et retourner à Londres pour la nuit. Tu as l'impression que tu vas t'ennuyer sévère lors des prochaines heures. Il faut que tu trouves quelque chose à faire, mais tu n'as aucune idée qui te vient, à part détruire des boites aux lettres. Mais tu es devenu trop vieux pour ce genre de connerie et le but n'est pas de te faire remarquer par la population. Si le gang doit s'installer ici, il faut que tu te fasses discret. Par chance ou pas, tu entends une altercation dans une rue proche de toi. Tu fronces les sourcils en entendant une voix féminine. Tu es plus intrigué qu'inquiet et tu as trouvé l'origine du bruit en suivant ton ouïe.

La scène que tu vois ne te choque pas, ce qui te fait écarquiller les yeux c'est la fille à genoux dans une flaque. Elle ne ressemble en rien à une fille ordinaire. Tu as l'impression que sa robe sort tout droit d'un film historique. C'est clairement une bourgeoise, c'est presque inscrit au marqueur sur son front. Tu vois les deux hommes, l'un avec le téléphone de la pauvre fille entre les mains et l'autre accrocher au sac de celle-ci. Tu observes la scène un sourire aux lèvres. Visiblement elle n'a pas l'intention de lâcher, c'est qu'elle a l'air tenace. Elle insulte copieusement ses agresseurs, espérant peut être les faire fuir par ce simple fait. Tu as la nette impression qu'elle perd un peu les pédales et elle tente désespérément de garder son sac près d'elle. Tu pouffes de rire en silence face à sa réaction enfantine. Cela doit bien être la première fois qu'elle se fait agresser, sinon elle saurait qu'elle ferait mieux d'attaquer plutôt que de s'agiter de la sorte.

Tu n'es pas convaincu de ne pas prêter maint fort à ses deux merdeux. Après tout elle a l'air d'avoir de l'argent et tu es curieux de savoir combien tu peux te faire en récupérer l'objet de la dispute. Seulement lorsqu'un des agresseurs en vient à lui donner un coup de poing, ton sang ne fait qu'un tour. C'est vrai que tu apprécies la violence, tu es le premier à jouer des poings en général. Mais là, c'est juste une pauvre fille perdue hors de son château, pas mal peine de la mal mener autant. Il aurait surement pu lui faire lâcher prise autrement. C'est à cet instant que tu décides d'intervenir. L'homme ne t'a surement pas entendu arriver et au lieu de le prendre en traite tu l'as interpelé. Tu n'aimes pas frapper des gens dans le dos, non tu préfères qu'ils te voient arriver pour qu'ils puissent te répondre.

« Espèce de sous merde ! Ouais c'est à toi que je parle, pauvre déchets ! »

L'homme s'est tourné vers toi ainsi que son compère. Tu es certain qu'ils avaient l'intention de s'enfuir mais à voir le regard qu'il te lance, ils doivent penser qu'ils ont une chance à deux contre un. Il t'insulte copieusement te conseillant de te mêler de tes affaires. Tu as esquissé un sourire diabolique en t'approchant de lui sans hésitation. Rendu à quelques mètres tu as bondi vers lui pour lui asséner un coup de poing dans la mâchoire. Il a été tellement surpris qu'il a vacillé sous le choc, trébuchant et tombant au sol. L'autre homme est entré dans la bagarre, mais tu es plus rapide et plus habile que ces deux petites frappes. Tu as pris son coup, juste pour éprouver sa force. Cela t'a conforter dans l'issu de la bataille, tu n'aurais aucun mal à les tuer à main nue. Tu en serais bien capable vu comme tu as mis K.O le premier. Le second ne tarde pas à comprendre ta supériorité, il a vite lâché le téléphone et a pris les jambes à son coup. L'autre homme a voulu se remettre debout et tu ne l'as pas laissé faire, le gardant au sol avec un coup de pied bien placé. Pour l'instant tu n'as porté aucune attention à la victime que tu viens de secourir. Tu es trop occupé à ruiner la dentition de celui qui l'a frappé. A cheval sur ta victime, tu as un sourire narquois sur le visage.

« Alors on fait moins le malin avec un type de ton gabarit. »

Ce n'est pas réellement vrai, car tu es plus petit et plus fin que lui. Tu lui hurles dessus mais cela n'a aucun intérêt, il n'est pas en capacité de répondre. Même si c'était le cas, tu ne pourrais pas comprendre ce qu'il te dit vu la quantité de sang dans sa bouche. Tu t'es un peu emporté et tu t'en rends compte en voyant l'homme perdre connaissance. Tu soupires bruyamment en levant les yeux au ciel.

« Merde, quelle lopette…»

C'est seulement à cet instant que tu as tourné la tête vers la jeune femme. Tu n'es pas certain qu'elle ne va pas prendre les jambes à son coup vu le spectacle que tu viens de lui donner. C'est avec désinvolture que tu te lèves, attrape le sac et le téléphone de celle-ci pour lui tendre. Tu as les phalanges tâchées de sang et tu laisses quelques traces sur le cuir de son sac.

« Tiens, tu ne devrais pas trainer ici tu sais....ça va rien de casser ? »
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Kitana Tsukanji

@ Kitana Tsukanji

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptyVen 17 Mai - 19:08

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C'est avec certitude que tu aurais dû rester au domaine, enfermer dans ta chambre à te pouponner comme une princesse devant ton miroir. Pour éviter de te perdre bêtement dans les rues de Manfield et ainsi te retrouver dans une telle situation dont tu n'as pas l'habitude de gérer. Comme à cet instant, où tu peux comme d'habitude, simplement perdre le contrôle de la situation, et même ne plus avoir de contrôle sur ta propre personne. Tu n'as jamais conscience du danger qui se présente, ou qui peut se manifester dans un moment à un autre, car tu vis dans ton propre monde, où le danger n'existe pas. Mais surtout, te croyant supérieure au monde entier, tu te sens tout bonnement invincible ! Tu estimes que rien ne peut t'arriver, car tu as beaucoup d'argent et pour toi, l'argent fait absolument tout dans la vie. Tu peux être naïf et il est facile pour toi de te coincer entre les mailles du filet et te retrouver dans des failles, mais aujourd'hui, c'est bien la première fois que tu subis une agression de la sorte. Il faut dire qu'en général, tu traînes seulement dans ton coin bourgeois où il est bien rare qu'il s'y produise quelque chose : Quand tu quittes ton domaine, et cet acte est bien rare. Là, tu t'es trop éloigné et tu t'es perdue dans un quartier que tu ne connais pas où tu as littéralement perdu tes repères comme une brebis égarée. Telle l'image de la brebis égarée, il est clair que tu es une proie facile pour les personnes malsaines remplie de mauvaises intentions. Tu as beau avoir de l'argent et un foutu sale caractère, tu n'en restes pas des moindres sans défense lorsque deux voyous t'agressent et te volent comme ça dans la rue. Ces deux voyous t'ont certainement repérés depuis un petit moment et ont attendu le bon moment pour passer à l'action. D'autant plus que ton look représente bien ta classe économique et sociale et qu'ils ont dû deviner que tu devais avoir en possession des objets de valeur ou encore de l'argent : Ce qui confirme que tu peux être une cible.

Tu essayes grâce à tes ressources de te défendre car il est hors de question que tu perdes toutes tes affaires. En plus de ton téléphone, il y a beaucoup de choses dans ton sac à main qui se revend bien. D'autant plus qu'ils ont dû remarquer tes sacs de fringues, que tu as acheté plus tôt dans la journée. Ils ne vont pas laisser ça de coter en voyant la grande marque inscrite sur les deux sacs. Même s'il s'agit que de vêtements de femme, il s'agit bien des vêtements chers qui se revendront assez bien. Néanmoins, ce coup-de-poing que tu as reçue, a pour don de te stopper brusquement dans ton élan. Tu cherches de la ressource, mais honnêtement, tu commences à croire que tu ne peux rien y faire. Tu repousses seulement l'inévitable, mais qu'est-ce que tu te sens faible à cet instant. Tu détestes tellement ça, c'est tellement horrible que tu sens bien que durant les prochains jours, tu ne vas plus prendre le risque de sortir seule, même dans les rues que tu connais. D'autant plus que tu prends ce coup-de-poing comme un signal, un avertissement de si tu continues. Tu vas juste te faire tabasser, voir pire ! Tu refuses de rentrer au domaine avec des marques physique, que tu devrais cacher aux yeux de ta famille même si cela serait compliqué. Quelle explication vas-tu donner si cela se passe comme ça ? Tu te mets lamentablement dans le pétrin, car tu sens que du sang coule de ta narine derrière ton masque. Tu espères sincèrement qu'il suffit de te refaire une beauté pour arranger ça. En tout cas, tu préfères te faire voler qu'autre chose, tu estimes que ça, ça peut se cacher. Tu pourras vite avoir un nouveau téléphone, et autres. Jetée de l'argent par la fenêtre, tu le fais tous les jours, alors qu'on te vole plusieurs centaines de billets, qui vaut tes affaires, cela ne va rien changer à ta vie. Mais non, ce n'est pas possible, tu refuses de te soumettre et d'abandonner ainsi face à des merdeux comme ça ! Tu refuses de te laisser faire par cette espèce de misérables. Tu pourrais leur cracher dessus toute la journée dans leur crasse et misère ! Tu les ferais passer au fer sans problème et si la loi le permettait, tu les décapiterais de tes propres mains ! Tu peux être sadique et sans cœur, mais cela fait la femme que tu es aujourd'hui.

Quitte à t'agripper à leur jambe, au point qu'ils te traînent au sol comme une vieille chaussette. Tu ne vas pas les laisser s'en tirer comme ça, tu veux les faire regretter, quitte à crier au secours en espérant qu'une âme charitable entente ton appel à l'aide et vienne à ton secours. Tu n'as pas le temps de lancer ton assaut désespéré, car un homme s'invite à la "fête", comme-ci que ton souhait venait d'être exaucé, et cela te surprend. Du moins, il interpelle l'un des deux hommes en l'insultant. Tu n'as pas jeté un seul coup d'œil vers cet inconnu, tu fermes simplement les yeux un court instant en remerciant presque silencieusement Dieu de l'avoir envoyé. Du moins, au vu de ses paroles, il n'a pas l'air d'être complice avec ces crapules et l'échange envoyé par l'une de ces crapules ne peut que confirmer cette pensée. Tu t'en fous de qui il est, mais il va simplement te servir pour récupérer tes affaires peu importe la manière. C'est tout ce que tu souhaites, récupérer tes affaires, et partir vite de cet endroit puant et aller vite te cacher dans ton grand lit douillé ! Tu veux oublier cette mauvaise journée et passer à autre chose. L'intervention de cet homme ne t'a pas pour autant calmer dans tes ardeurs. Tu as toujours envie de les étriper et de les massacrer pour ce qu'ils osent te faire. Tu passes rapidement ta main sur ton visage, où tu prends ton mal en patience. Subitement, l'inconnu bondit sur l'un de tes agresseurs et cela te prends de court. Ça t'étonne grandement que tes yeux en tombent à la vue de cette scène. Tu te relèves immédiatement et instinctivement, tu recules jusqu'à être le dos collé au mur. Tu te prends à la fois une certaine zone de sécurité, pour éviter de te prendre un malencontreusement coup ou encore une bousculade. Tu te contentes d'observer la scène sans broncher et sans aucune réaction, tu es comme collée à ce mur sans pouvoir faire quoi que ce soit. Tu ne sais pas si cet étranger est intervenu dans le seul but de t'aider, et qu'il a de bonnes intentions. Il a l'air d'un plouc, mais un plouc qui a beaucoup de courage. De toute manière, tu ne t'inquiètes pas pour lui, tu t'inquiètes seulement pour tes affaires ! Que rien ne soit casser par sa faute.

D'habitude, tu es contre la violence et tu ne supportes pas la violence dans le monde, mais alors là. Tu prends simplement plaisir au fond de toi d'assister à cette scène, et qu'il corrige tes agresseurs. Ils le méritent royalement et tu as même envie d'aller donner un petit coup de pied en fourbe à l'un d'entre eux. Néanmoins, tu restes prés du mur en te faisant toute petite. Tu pourrais profiter de l'embrouille pour prendre la fuite le plus rapidement possible, mais hors de question que tu repartes sans tes affaires. Tu grinces des dents nerveusement en voyant l'un terminé littéralement k.o. sous ses coups. Tu ne caches pas que cet homme est intimidant, mais surtout, peut être, il est dangereux. Tu ne sais pas si c'est une bonne idée de rester seule avec lui. Il a l'air d'avoir l'habitude de se battre. Tu vois du sang sur ses mains et à la vue du sang, ça te rends juste malade. Il t'a néanmoins sortie d'une terrible situation, mais tu n'es pas reconnaissante, car à tes yeux, il est louche et c'est un plouc violent. Après son affaire, tu aperçois qu'il se tourne vers toi et immédiatement, tu détournes ton regard en baissant limite des yeux : tu ne souhaites pas croiser son regard. Tu ne sais vraiment pas quoi faire, tu n'oses pas bouger d'un cil et tu pries pour qu'il s'en aille tout simplement. Néanmoins, il t'adresse la parole, et te rapporte tes affaires. Tu es un peu soulagé, car il n'a pas l'air remplie de mauvaises intentions. Néanmoins, tu grimaces de dégoût qu'un homme comme lui te porte des mots. Tu ne le vois pas comme un héros qui t'a sauver, mais juste comme un pouilleux. Argh, il a mis ses sales pattes sur tes affaires. En tout cas, tu ne portes aucun regard vers lui et tu vérifies dans un premier temps que ton masque sanitaire est correctement installé sur ton visage. Tu renifles un petit coup, tu sens que ton nez te gêne, mais tu récupères simplement ton téléphone et ton sac sans dire un mot, sans même répondre à sa question, car le plus important à tes yeux, ce sont tes affaires. Tu vérifies rapidement ton téléphone et tu te rassures en voyant qu'il n'est pas cassé. Tu remarques rapidement qu'il y a des taches de sang sur ton si beau sac ! Tu fronces les sourcils frustrée, tu espères pour lui, que du sang ça part rapidement au lavage. Sinon, il va t'en racheter un. << C'est quoi ces tâches sur mon sac ? Vous ne pouviez pas faire attention ? >> Tu secoues ton sac dans l'espoir que les tâches s'en aille. Mais ça ne se fera pas par magie. Tu ranges ton téléphone dans la poche de ta belle veste et tu baisses les yeux vers ta robe. Tu attrapes le tissu au niveau de tes genoux du bout de tes doigts pour secouer légèrement, afin d'essayer de faire sécher cela le plus rapidement possible. << Oh non... je ne dois pas rentrer comme ça ! >> Ta robe est salie, et il faudra que tu le laves de tes propres mains pour éviter que quelqu'un de ta famille s'en aperçoive ! Le temps est compté, car il va faire bientôt nuit, et tu es étonnée que ton père ne t'ait pas encore passé un coup de fil pour savoir où tu es ! Cela risque de ne pas tarder. En tout cas, tu te préoccupes seulement de ta robe et de ton sac. Tu as presque les larmes aux yeux, car même si tu vis dans le luxe et le confort, tu es sous la dictature de ton père, même pour un simple vêtement de valeur sali et surtout pour rentrer aussi tard.
 

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Kim Hojin

@ Kim Hojin

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptyVen 17 Mai - 22:14

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Alors tu t'approches d'elle tu peux entendre les gazouilles de l'homme à terre qui a l'air de s'étouffer dans son propre sang, celui que tu as sur les mains. Tu ne lui portes aucune attention, te concentrant plutôt sur la jeune bourgeoise que tu viens de sauver. Tu l'as déjà bien détaillé lorsqu'elle se débattait becs et ongles pour seules armes. Tu as un sourire en la regardant, elle est plutôt charmante et tu es certain qu'il pourrait bien lui arriver plus de bricoles qu'un simple vol de sac à main. Tu as même envie de rire en imaginant d'où elle sort et surtout la tête de ses proches lorsqu'elle va rentrer chez elle. Si au départ sa robe pouvait paraitre belle, après avoir trainé par terre et dans la flaque, elle ressemble plus à chiffon usé. Elle a l'air d'une pauvre actrice qui sort de la scène d'une comédie romantique à souhait. Seulement tu sais que ce genre de personnes existent réellement, le style princesse sortie de son château, ou plutôt de sa cage dorée. C'est bien l'impression que tu as en la voyant, qu'elle débarque d'un autre univers avec d'autres préoccupations, comme les tâches sur son sac. Tu soupires longuement en levant les yeux au ciel. Tu as envie de rire, mais tu te retiens, tu préfères attraper le sac, sans lui prendre des mains. Tu le tiens d'une main pendant que tu dessines un smiley avec un doigt ensanglanté. Au résultat, tu pouffes de rire en répliquant pour toute réponse.

« C'est vachement mieux là non ? Au moins aucune de tes copines n'aura le même. »

Tu lui fais un clin d'œil en riant doucement. Elle a l'air tellement pathétique à s'inquiéter pour son sac alors qu'elle aurait pu se faire tabasser ou pire. Tu te demandes si tu as bien fait de lui porter secours. Tu hésites encore à la détrousser toi-même. Après tout tu n'aurais aucun mal à lui prendre ses affaires et partir avec ton skateboard. D'ailleurs tu te détournes d'elle pour récupérer ton moyen de locomotion du jour. Tu es peut être un peu vieux pour ce genre de choses mais c'est plus pratique que d'être à pied et beaucoup plus amusant. Tu es encore un grand adolescent et tu n'as pas envie de grandir, enfin pas de la même façon que les autres. Une fois ta planche en main, tu l'observes de loin. Tu n'es pas certain de devoir la laisser seule et d'un côté tu sais qu'elle va t'attirer que des problèmes, mais tu n'as envie pas qu'elle se refasse agresser. Bizarrement tu as envie de la voir rentrer chez elle en un seul morceau et avec toutes ses affaires en main. Bon tu ne dirais pas non à un billet pour l'avoir sauvé. Tu lui demanderas peut être, ou tu te serviras peut être. Tu es un peu rêveur, mais tu as l'espoir qu'elle puisse te récompenser et il n'y a que des ferveurs à l'odeur d'argent que tu accepteras de sa part. C'est vrai qu'elle est jolie, même dans cette tenue gâchée et son masque sur le visage. C'est son regard que tu trouves attirant et son caractère bien trempé que tu as pu voir. Bon nombre de filles dans son genre se serait mise à pleurer, hurlant de toutes leurs forces ou abandonnant leurs affaires. Non elle n'a pas fait ça, elle s'est débattue même sans défense, il n'a pas voulu abandonner. Ce côté combatif te plait bien et c'est peut-être pour ça que tu as envie de l'aider encore un peu, qu'elle le veuille ou non.

Tu la vois se battre avec sa robe et tu souris à nouveau. Elle peut penser que tu te moques d'elle et c'est un peu le cas. Après tout elle ne doit pas avoir l'habitude d'être dans ce genre de situation. Tu l'imagines mal avoir des problèmes dans sa vie, enfin pas les même que les tiens. Elle n'a jamais dû voler pour se nourrir ou dormir dehors en se gelant. Non elle ne doit clairement pas avoir les mêmes soucis que toi. Tu n'as aucune idée de ce que peut être sa vie et tu juges facilement qu'elle doit être plus simple que la tienne. Quand elle lâche qu'elle ne peut pas rentrer comme ça, tu hausses un sourcil. Tu es convaincu qu'il vaut mieux qu'elle rentre et vite. Tant pis pour l'état de sa robe, peu importe si elle se fait engueuler, ou même battre, c'est toujours mieux que de rester dehors à la merci des voyous dans ton genre. Tu as pris le temps d'essuyer le sang sur ton jean noir. Il te reste encore quelques tâches mais c'est moins visible. Tu n'as pas envie de te faire interpeller, surtout pas à proximité de ta victime.

« Je crois que tu devrais rentrer au contraire. Viens je vais te raccompagner. »

Tu t'es rapproché d'elle pour lui prendre le bras. En réalité ce n'est pas une question, c'est plutôt une affirmation. Tu as besoin de la sortir de la ruelle et surtout de t'éloigner de l'homme qui agonise encore au sol. Ton emprise sur ton poignet a été ferme et sans équivoque. Tu ne lui laisses pas le choix et tu l'entraines hors de la ruelle, dans une rue plus large mais tout aussi isolé. Tu ne l'as pas regardé te contentant de marcher sur plusieurs mètres avant de la lâcher. Tu as fourré les mains dans poches, faisant rouler sa planche à terre devant toi.

« Alors tu t'es perdu c'est ça ? Tu habites par ou princesse ? »
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Kitana Tsukanji

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptySam 18 Mai - 0:40

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➟ feat Save an aggression ✦ Kim Flag-for-japan_1f1ef-1f1f5 Kitana Tsukanji & @Kim Hojin Save an aggression ✦ Kim Flag-for-united-kingdom_1f1ec-1f1e7


Il est vrai qu'en sa compagnie, tu peux te sentir en sécurité, tu imagines que personne ne va prendre le risque de venir te chercher des noises en voyant que tu es avec un homme dans son.. style on va dire. Il a certes l'air d'un voyou tout autant que les deux crapules, mais tu mentirais si tu disais qu'il n'est pas intimidant, voir même impressionnant. Enfin, ouais, il peut faire peur dans sa manière d'être, t'as l'impression du moins. Néanmoins la personne dont tu as le plus peur et qui t'impressionne le plus dans ce monde. C'est ton père. S'il te voit dans cet état, il va te tuer sur place, c'est certain ! Il ne va même pas s'inquiéter sur le fait que tu as été la cible de deux crapules et il va juste estimer que le karma t'a frappé parce que tu la juste chercher en sortant en douce comme ça. Rien qu'à cette pensée, tu commences à faire une petite crise d'angoisse à cause de tout ces détails. Tu serais prête à enfiler immédiatement un vêtement que tu as acheté plus tôt et foutre cette robe à la poubelle sans réfléchir pour éviter tout risque. Même si tu adores cette robe, que tu as achetée dans une boutique réputée de Londres. Il te surprend en attrapant ton sac, et cela, ne te plaît guère, t'es prête à le lui arracher des mains fermement d'autant plus que tu n'apprécies pas que des gens comme lui touche à tes affaires. Et même n'importe quel genre de personne, tu préfères qu'aucun touche à quoi que ce soit qui t'appartient. Tu estimes que ton pauvre petit sac à suffisamment souffert aujourd'hui, mais visiblement, il en rajoute une couche. Tu hallucines en voyant qu'il dessine avec son doigt un smiley ensanglanté sur le beau cuir de ton sac. Tu as juste l'impression qu'il se fout de toi ! Il en faut vraiment peu pour te mettre furax, mais là pour son geste, tu as juste envie de lui foutre la plus grosse gifle qu'il n'a jamais reçu. Tu ne le fais pas parce qu'il t'a quand même débarrassé de deux crapules. << Vous trouvez ça drôle ?!? Et je vous pris de me vouvoyer, pour qui vous vous prenez ? >> Tu hausses le ton en démontrant tout ton mécontentement. Tu es également sous le choc qu'il ose te tutoyer comme ça sans gêne. Ce n'est pas seulement par preuve de politesse, mais simplement que là où tu viens, tu vouvoies même dans la famille et inversement : c'est simplement banal. Le tutoiement est comme une sorte d'insulte. C'est certain que tes copines n'auront pas le même sac, mais hors de question qu tu fasses voir cette horreur à qui que ce soit. Tu imagines que désormais, tu ne peux plus essayer de récupérer au mieux l'état de ton sac dès maintenant, et tu espères vraiment que c'est récupérable, car là tu as juste envie de le foutre à la  poubelle. Sinon tu te jures de le retrouver même dans les quartiers les plus crades et dangereux pour qu'il répare sa bêtise que tu ne trouves pas du tout drôle.

Tu finis par lui arracher limite de sa main pour serrer ton sac contre ta poitrine, entre tes bras, pour donner comme une sécurité pour ne plus qu'il y touche. En faisant bien sûr attention aux taches de sang pour éviter de te tâcher bêtement. Tu tournes par la même occasion tes épaules légèrement pour lui tourner un peu du dos. << Savez vous combien coûte ce sac ? Non évidemment, vous ne savez rien. >> Tu insinue qu'il n'a pas les moyens pour s'offrir quelque chose de ce prix et qu'il n'a conscience de rien. Tu ne t'en caches pas, afin de montrer ta supériorité à lui. Tu sens bien les personnes qui nagent pas dans l'argent et le luxe. En même, tu es, et tu côtoies uniquement des personnes de cette gamme. Lorsqu'une personne n'est pas bourgeoise dans les plus grandes largeurs, tu le remarques immédiatement. Rapidement, tu baisses les yeux vers ton sac, et tu constates plus en détail le fameux smiley toujours furieuse. Néanmoins, tu te rends compte que tu trouves ça amusant finalement. Tu dessines même un léger sourire au coin de tes lèvres, mais en restante bien discrète. Tu ne veux pas qu'il le remarque. Fort heureusement, tu remarques du coin de l'œil qu'il va récupérer son skateboard. Toi, tu en profites pour récupérer tes deux sacs de vêtements. Tu ne les as pas oubliée, bien évidemment. Tu portes ton regard sur lui, et tu arques un sourcil moqueur en le voyant avec son engin à roulettes. Tu te demandes sincèrement s'il est sérieux dans ce qu'il entreprend là. Évidemment pour toi, c'est tellement ringard à son âge, encore s'il serait un gosse ça passerait : enfin, non, c'est totalement ringard cet engin ! Tu préfères ne pas faire de commentaire là-dessus même si tu as juste envie de te foutre de sa tronche. La pensée de le remercier tout de même de t'avoir sauvé d'un sale pétrin t'as quand même traversée l'esprit. Du moins un simple "merci, tu peux te tirer maintenant", d'une manière hautaine évidemment. 

Tu attends simplement qu'il s'en aille, mais tu es sur le point de le faire sans demander ton reste. Mais tu n'as pas le temps de faire quoi que ce soit puisqu'il t'adresse la parole. Tu le vois qu'il s'approche de toi et tu en profites pour lui signaler quelques détails. Même si tu es perdue, tu ne veux certainement pas qu'il t'accompagne, et même n'importe où ! Tu ne veux pas prendre le risque d'être vue avec ça, tout de même. T'en aurais honte franchement et tu ne veux pas attirer le regard à cause de lui. Tu attires les regards, car tu es jolie et belle, puis, car tu es charmante et puissante. Ah aussi car tu es intelligente et charismatique. En somme parfaite. << De un : on ne me dicte pas ce que je dois faire. De deux : Vous m'accompagnez ? Sur votre engin ringard à roulettes peut-êt.. >> Tu n'as pas le temps de terminer vu qu'il te prend le bras et décide de t'embarquer hors de cette ruelle. << Mais... lâchez moi voulez vous bien ? >> Tu grinces des dents nerveusement car sa poigne sur ton poignet est trop brusque à ton goût. Tu secoues un peu ton bras pour essayer de te débattre ou encore, tu traînes des pieds pour essayer de le ralentir, comme une gamine capricieuse. Néanmoins, tu laisses tomber rapidement, car tu es comme une mouche prise dans une toile d'araignée. C'est inutile. Avant de sortir de la ruelle, tu jettes un coup d'œil derrière toi pour voir la crapule encore dans les vapes au loin en train de manger le sol. Tu prends un sourire malicieux en voyant ce type se noyer dans son sang. D'un air vraiment peste, tu as un véritable plaisir diabolique de le voir dans cet état. D'une manière moqueur pleine d’assurance, tu lui envoies un fin signe de la main pour le saluer avant de quitter la ruelle, tirer par un plouc violent. Même s'il ne le remarque pas, tu le nargues avec plaisir et assurance.

Au vu de l'état de ta robe, tu as tellement honte de te trimbaler ainsi en pleine rue. Qu'au final, il n'a pas vraiment tord que tu ferais mieux de rentrer le plus vite possible en espérant de ne pas tomber nez à nez avec ton père du moins. En dehors de ça, tu as juste l'intention de partir. Tu ne souhaites pas qu'il t'accompagne pour des raisons dites, et tu ne vas pas changer d'avis. Néanmoins, il a vu juste, tu es bien perdue et c'est pour cette raison que tu t'es retrouver dans cette rue, sinon jamais tu te serais retrouver ici même. Veux-tu admettre que tu t'es bien perdue ? Ça, c'est une autre histoire, néanmoins, tu n'es pas contre pour qu'il t'indique la route à prendre pour rejoindre ton quartier. << Ne me reprenez plus le poignet ainsi je vous pris. >> prends-tu le temps de signaler en grimaçant légèrement avant de reprendre rapidement. << La princesse que vous vouvoyez habite dans un endroit que vous ne devez pas avoir l'habitude. >> Qu'il t'appelle "princesse", ça t'amuse finement. Même si tu ne le montre pas, tu adores au fond de toi quand quelqu'un t'appelle ainsi. Tu trouves que ça te va comme un gant. << Écoutez, indiquez moi seulement la route à prendre pour se diriger vers ParkHurot. >> Tu déposes tes sacs à tes pieds puis tu croises les bras sous ta poitrine en levant les yeux au ciel pour constater que le soleil à changer de cap. Tu as pris la décision de vite entrer au domaine pour éviter de rentrer le soleil couché. Tu attends sa réponse avec fermeté et tu n'attends rien d'autres en lui parlant sèchement
 

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptySam 18 Mai - 1:44

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Tu vois bien que tu l'agaces et tu adores ça. Tu vois aussi qu'elle a un peu peur de toi, d'ailleurs elle ne te gifle pas lorsque tu dessines allègrement sur son sac entre ses mains. Elle aurait pu vu comme elle avait l'air agressive avec ses deux assaillants. Visiblement quelque chose la retient, peut être ton air roublarde ou le faire que tu es laissé un homme sur le carreau dernière toi. Elle pense peut être que tu es un psychopathe. Au fond elle aurait raison, tu ne viens pas du même monde qu'elle, tu n'as pas eu les mêmes problèmes dans la vie. Forcement tu as été obligé d'apprendre à te défendre contrairement à elle. En plus d'être doué tu apprécies mettre la tête au carré aux gens. En général tu ne t'attaques pas aux filles, mais cela t'es déjà arrivé d'en gifler. Enfin pour l'instant tu pouffes de rire à ta bêtise alors qu'elle rage surement. Non tu es certain vu le regard haineux qu'elle te lance. A sa réflexion sur le prix de son sac, tu hausses les épaules en faisant une moue amusée. Elle a raison, tu n'as pas la moindre idée de combien peut couter ce bout de cuir qui lui sert de sac et tu t'en moques royalement. Tu n'as jamais été intéressé par la mode, la réalité dans laquelle tu vis est bien différente. Tu ne portes que ton jean noir, troué à un genou et par ci par là. Tu n'as qu'un t-shirt assez large pour laisser voir tes trapèzes sous sa veste en cuir. C'est vrai que tu as d'autres tenues dans ce qui te reste de squatte à Londres, sauf qu'ici tu n'as pas pris des tenues de boulot, principalement noirs pour éviter que les tâches de sang se voient dessus. La seule chose qui ne te quitte jamais c'est ton blouson orné du logo de ton gang dans ton dos et tes bottes, style ranger que tu as customisé de fers pour faire encore plus mal lorsque tu frappes. Pour ce qui est du vouvoiement tu lèves les yeux au ciel. Tu n'as pas l'intention de la traiter comme une princesse pourtant cela te fait rire, car elle te vouvoie et cela ne t'ait jamais arrivé.

Tu la trouves extrêmement drôle avec son air furieux puis paniqué à l'idée de rentrer chez elle dans cet état. Tu aurais pu la laisser là, à côté de l'homme qui est arrivé à se mettre sur le côté pour éviter de s'étouffer dans son sang. Tu l'as vu du coin de l'œil, car oui même si tu as ton attention sur elle, tu es du genre à faire attention à ton environnement. Tu n'as d'ailleurs pas tout à faire tourner dos à cet homme. Même s'il représente un danger minimum, tu n'as pas confiance et il pourrait très bien sortir une arme ou une lame. Tu n'en as rien à faire d'elle, mais tu n'as pas envie de rester dans les parages. Bizarrement tu te sens obligé de l'entrainer avec elle. Tu t'approches avec la ferme intention de l'entrainer à ta suite. Tu ris à ces revendications et à sa pique sur ton skateboard. Quand tu as son poignet en main, tu lui fais un large sourire, à moitié charmant, à moitié diabolique.

« Tu vas me suivre bien gentille, sinon tu vas voir que cette planche ne me sert pas qu'à me déplacer… »

Tu l'as tiré vers toi, ignorant son refus. Qu'importe qu'elle se débatte, tu ne vas pas la laisser là. Elle peut se trainer par terre tu es toujours plus fort et tu l'obliges sans mal à te suivre. Ton emprise est forte sur son poignet et quand elle essaye de se dégager tu l'attires brutalement vers toi. Tu l'empêches de tomber tout en marchant vers la rue principale sans prendre en compte son avis ou ses complaintes. Une fois à bonne distance tu t'arrêtes sans prévenir en la libérant froidement. Tu ne comptes pas la vouvoyer, mais lui donner du princesse. Ce n'est pas réellement un compliment venant de toi, mais ça à l'air de lui faire plaisir, c'est déjà ça. Elle va peut-être se calmer et te parler normalement, si seulement c'est possible qu'elle soit normale. Tu as bien l'impression qu'elle n'a jamais mis les pieds dans la rue, surtout lorsqu'elle te demande poliment de ne plus l'attraper comme ça. Tu fronces les sourcils, réellement choqué par son excès de gentillesse. C'est rare qu'on te parle comme ça, en général tu as le droit à des insultes, ou des regards meurtriers. Il faut dire que tu n'es pas tendre avec la gente féminine. Tu n'es pas du style galant. Au fond tu es un peu romantique, mais dans le milieu que tu fréquences ce n'est pas une qualité, plutôt une faiblesse. Enfin tu lui souris acquiesçant de la tête à sa demande de ne plus être attraper de la sorte. Tu imagines qu'elle doit grimacé en voyant ses yeux se pincer légèrement. Tu ne peux pas t'empêcher de la trouver amusante et même dans cette tenue elle a un certain charme.

Elle te répond que tu ne dois pas connaitre le quartier où elle habite. Décidément elle aime te rappeler que vous n'êtes pas de la même engeance. Certains peuvent le prendre mal, mais ce n'est pas ton cas. Elle a beau avoir de l'argent et une vie rose, à tes yeux cela ne représente rien. Un être humain reste à animal, même s'il est habillé par de beaux vêtements et habitent dans de belles maisons. Elle serait étonnée de savoir que tu connais plus de bourges que ton allure ne le laisse paraitre. Et oui dans cette vie de palace aussi tu as tes entrées, car ils ont besoin de drogues et de services d'homme de main, comme tout le monde en somme. Ton gang n'est peut-être pas le plus réputé de Londres, mais il a les bras longs et les dents crochus. Elle te demande simplement de lui indiquer le chemin des beaux quartiers et tu souris, plus naturellement cette fois ci. Tu ne comptes pas lui indiquer, mais bien la raccompagner, pas jusqu'à l'entrée de chez elle certes mais au moins à quelques rues de là. Ce n'est pas que tu sois galant, mais bien que c'est l'occasion de faire du repérage. Seulement ce n'est pas à côté et cela te fait soupirer.

« Putain mais comment t'as fait pour te paumer aussi loin de ta cage dorée ! Ma pauvre fille, y va falloir marcher t'en es consciente ?  »

Tu secoues la tête en voyant ses talons, ce détail ne t'arrange pas et ça vous faire perdre du temps. Tu ne sais pas si elle a un couvre-feu, mais vous n'y serez certainement pas avant le coucher du soleil, même avec toute la meilleure volonté du monde, et on va pas se mentir c'est pas un de tes points forts. Tu l'observes quelques secondes. Elle compte vraiment rentrer à pieds avec ses deux sacs et dans cette tenue.

« C'est par là-bas ! Commences-tu en lui indiquant une direction Quand tu arrives à la boulangerie Little Bread qui fait l'angle de l'avenu, tu prends droite. Tu continues ensuite jusqu'à sortir du centre-ville, ensuite faudra tourner à gauche , si tu arrives à l'école c'est que tu es trop loin.  »

Tu connais un peu la ville, si peu. En réalité tu sais juste que les beaux quartiers sont par là-bas, mais pas plus. Est-ce que tu lui mentes, oui. Est-ce que tu as honte, pas du tout. Tu affiches un sourire ironique en haussant un sourcil, comme si tu la mettais au défi de retrouver son chemin seule. Tu ne sais pas si elle va préférer tenter sa chance sans toi, mais si c'est le cas, cela te ferait bien rire. Peut-être que tu auras pitié d'elle et que tu la rattraperas pour éviter qu'elle se perdre…encore. Elle pense surement y arriver sans souci et c'est peut être le cas, ou elle décidera peut être autre chose. Tu frappes ta planche du pied pour t'attraper en main tout en l'observant. Tu aurais pu lui tourner le dos, mais si tu l'avais fait, tu ne pourrais pas l'admirer l'ensemble de la scène. Depuis le début tu la trouves amusante, d'abord à cause de son allure de princesse mais surtout pour ce caractère impétueux tempéré par un orgueil charmant et condescendant.
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Kitana Tsukanji

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptyLun 20 Mai - 15:52

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Est-ce une menace lorsque qu'il t'embarque hors de cette sombre ruelle ? Surement vu la tonalité qu'il a pris pour te lancer cette phrase. Néanmoins, tu ne prends pas cela comme une menace, loin de là. S'il a essayé de te faire peur, c'est raté. Ne voulant pas montrer la moindre peur dans tes yeux, tu ne vas certainement pas succomber à ses mots. Tu es trop fière pour montrer la moindre faiblesse aux yeux du monde. De toute façon, qu'est-ce qu'il va faire ? Tu penses sincèrement que s'il te voulait du mal, il aurait déjà montré des signes hostiles à ton égard, et n'aurait certainement pas pris la peine de tout faire pour te sortir de ce pétrin et de cette ruelle sans même prendre en considération de ton avis. Tu n'as qu'une seule envie, c'est de lui remettre les pendules à l'heure pour lui faire comprendre certains points. Qu'il est juste ridicule dans ses propos. D'ailleurs, tu ne t'en gênes pas pour lui en faire la remarque. << Oui, elle vous sert également à vous rendre totalement ridicule ! >> Tu grinces des dents de nervosité. Il a beau avoir massacré un voyou sous tes yeux, cela n'empêche pas que tu te laisserais impressionner par un simple type de ce genre. Car vu son look, tu es certaine qui pourrait lui même agresser des gens dans la rue comme ça. Tu peux t'offrir tout ce que tu veux dans la vie, alors certain que tu te sens bien supérieur à son espèce. Espèce ? Bien sûr que tu considères les gens sous ta classe sociale comme de simples bêtes sans importance.

En tout cas, tu as beau te débattre légèrement, tu as beau avoir fait par tout les moyens de le ralentir, mais il t'a quand même sortie de cette ruelle et tu espères que tu ne vas attirer aucun regard dérangeant sur toi à cause de ta robe particulièrement sale après avoir fait trempette dans une flaque d'eau à l’intérieur de la ruelle à cause des brutes qui ont tenter de te voler. Tu préfères ne plus penser de l'état de ta magnifique robe, car ça te met vraiment mal à l'aise et honteuse de te trimbaler comme ça désormais. Même si tu as les chocottes de rentrer chez toi comme ça, tu ne peux pas non plus rester trop longtemps dehors comme ça. D'autant plus que tu tombes facilement malade et qu'un simple courant d'air frais peut te faire rester au fond de ton lit pendant des jours. Une bonne douche chaude te fera énormément du bien, en espérant ne pas tomber sur ton père en rentrant, car il est certain qu'il va t'engueuler à cœur joie pour être sortie comme ça toute seule. Mais au fond, tu sais que ton père n'est pas méchant, il veut simplement s'assurer que rien ne t'arrive par malheur à cause de ta maladie. Tu es assez fragile, et malgré la relation que tu entretiens avec ton père depuis ta naissance, et même s'il le montre d'une manière assez désagréable, ton père tient à toi et à ta santé. Tu roules des yeux bien frustrée, tu en as bien conscience que marcher allait prendre du temps, et tu t'es un peu trop éloigner. Pour te retrouver ici, tu n'as clairement pas remarquer le nombre de rues que tu as passée pour en arriver là. Doubler à cela, que le fait qu'il te tutoie toujours et toujours, te met vraiment en colère, mais tu la contiens, car là, tu es juste fatiguer. Tu commences à ne plus avoir la moindre force même pour simplement l'engueuler et faire ta capricieuse. Tu te demandes vraiment comment tu as fait pour te retrouver dans un tel endroit, et il est certain que tu ne referas plus une telle erreur. << Ça va ça va, vos commentaires, on va s'en passer, je pense. >> Tu hausses les épaules d'une manière hautaine. Ses commentaires, tu t'en fiches royalement, car ils n'ont aucune importance à tes yeux. Ça rentre d'une oreille et ça ressort d'une autre.

Il indique une direction, et tu jettes simplement un coup d'œil vers celle-ci. Tu prends bien en note tout ce qu'il te dit pour retrouver ta route. Cela ne devrait pas être un souci, tu as une très bonne mémoire alors tu devrais retenir chaque direction qu'il te mentionne et ne pas prendre une fausse route par manque de mémoire. Étonnement, tu lui fais totalement confiance, tu ne vois pas l'utilité de t'indiquer un mauvais chemin à part d'avoir une immaturité ridicule. Tu l'observes une poignée de secondes avant de détourner ton regard rapidement, prête simplement à partir. << Très bien, je tacherai de me souvenir de vos indications. >> Dis-tu simplement en remontant tes deux sacs jusqu'à ton coude puis en relevant légèrement ton bras. Tu comptes simplement partir, car tu n'as certainement plus rien à lui dire à ce type. Tu ne veux pas rester plus longtemps à ses côtés également, alors tu commences à t'en aller tout naturellement mais soudainement tu t'arrêtes juste devant lui. Tu baisses des yeux en direction de ton sac à main, et tu glisses discrètement ta main à l'intérieur afin de récupérer un mouchoir vraiment soyeux et très doux. Tu relèves le regard vers lui en affichant un léger sourire au coin presque moqueur, puis tu déposes délicatement ce mouchoir sur son épaule en faisant bien attention avec tes doigts en retenue, comme-ci que c'était tout simplement répugnant. << Tenez, cela vous permettra de vous... "essuyez". Vous en avez besoin mon cher. >> Tu hausses des épaules en reniflant un peu avant de partir réellement sans te retourner. C'est un peu ta façon de le remercier pour t'avoir débarrassé des deux crapules qui t'ont agresser. Un mouchoir aussi doux que tes mouchoirs à toi, pour son espèce, tu estimes que cela est déjà un fabuleux cadeau pour lui. Voilà, tu l'as quitté, et il est déjà sortie de ton esprit, tu repenses immédiatement au déroulement lorsque tu vas rentrer à la villa. Tu espères vraiment ne pas croiser ton père, ni même ton frère. Tu évites également de croiser le plus de personnes dans la rue. Ça te dégoûte de savoir que ta robe est vraiment dans un sale état, on dirait simplement que tu t'es roulée par terre salement comme une gamine. T'en as vraiment honte, et tu n'en peux plus d'être à l'extérieur comme ça. Tu crois bien que cette journée a été catastrophique peu importe les beaux vêtements que tu t'es acheté dans les boutiques. Bon, tu arrives à la boulangerie que le voyou t'a indiqué et tu prends tout simplement la  route à droite du coin de la rue. Sans étonnement, tu te souviens parfaitement de ce qu'il t'a dit. Logiquement, tu estimes que tu n'as plus qu'à marcher tout droit et tu finiras par sortir du centre-ville comme il t'a mentionné. C'est bien ce que tu comptes faire sans plus attendre, et peu importe les boutiques qui te passent sous le nez. Tu ne comptes pas succomber à la tentation d'entrer dans l'une d'entre elle pour encore dépenser ton argent. Non non, pas comme ça ! Néanmoins, sur la longue rue qui sort du centre-ville, tu commences vraiment à être à bout de souffle. Pour ta fragilité, tu marches beaucoup trop pour une journée, que tu commences à avoir des nausées à t'en faire tourner la tête. Tu as besoin de te poser alors dès le premier banc que tu trouves sur ton chemin, tu t'assoies dessus. Tu croises les jambes, tu expires et inspires des narines un bon coup, être assise et au repos, ça te fait beaucoup de bien et te soulage. Tu sais bien que marcher beaucoup trop à la suite comme ça, est mauvais pour toi. C'est sans doute pour ça que tu ne sors presque jamais de ta cage dorée comme dirait une certaine personne, ou encore que ta famille ne souhaite pas te voir sortir seule comme aujourd'hui.

Assise à ce banc, tu déposes tes deux sacs à tes pieds, et tu retires délicatement ton masque sanitaire pour t'aérer le visage. Tu te souviens bien évidemment que tu as saigné du nez après reçu un certain coup de poing au visage. Tu as un peu de sang sur le coin de ta narine, mais tu as le sentiment que cela continue à saigner doucement, mais sûrement. Cela fait partie des soucis avec toi, il suffit d'un petit saignement pour que cela n'arrête pas de couler. Néanmoins, là, il n'y a pas de quoi paniquer, c'est pour cette raison que tu gardes ton calme. Tu vérifies bien autour de toi que personne ne te voit, car tu ne veux absolument pas qu'une personne t'emmerde, car elle aurait vu que tu saignais du nez. Tu ne veux pas te retrouver une fois de plus face à une répugnante personne ! Heureusement, personne à l'horizon, ou encore les personnes qui passent vers ton banc semblent plus occuper avec leur téléphone ou leur gosse. Tu fouilles dans ton sac, et tu sors un simple bout de coton, ainsi qu'un petit tube à produit. Tu mets deux gouttes sur le bout du morceau de coton afin d'assurer l'arrêt du saignement ou du moins le ralentir. Puis u l'enfonces par la suite dans ta narine. Tu remets ensuite, immédiatement ton masque sanitaire pour pas que cela se remarque. Tu te contentes de rester assise un court instant, en observant l'écran de ton téléphone. Tu constates l'heure, et malgré l'affichage de l'heure, tu ne comptes pas continuer à marcher, car tu es tout simplement fatiguer et lasser de marcher encore et encore. Pourquoi ne pas y avoir pensé plus tôt ? La meilleure solution et qu'on te ramène jusqu'à chez-toi, mais tu ne comptes pas appeler ton père comme tu l'avais penser auparavant. Tu veux vraiment éviter d'avoir affaire avec lui alors la meilleure solution est de tout simplement appeler un taxi. Ainsi, tu composes le numéro et approche ton téléphone de ton oreille pour appeler un taxi.    
 

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptyMar 21 Mai - 22:24

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Est-ce une menace lorsqu'il t'embarque hors de cette sombre ruelle ? Surement, vu la tonalité qu'il a pris pour te lancer cette soudaine phrase. Néanmoins, tu ne prends pas cela comme une menace te concernant, loin de là. S'il a essayé de te faire peur, c'est raté de sa part, tu ne veux d'autant plus pas montrer la moindre peur dans tes yeux ou dans tes gestes ou manière. Alors il est hors de question que tu succombes à ses mots absurdes ! Tu es bien trop fière pour montrer la moindre faiblesse aux yeux du monde. De toute façon, qu'est-ce qu'il va faire ? Tu penses vraiment que s'il te voulait du mal, il aurait déjà montré des signes hostiles à ton égard, et n'aurait certainement pas pris la peine de tout faire pour te sortir de ce pétrin et de ce cette ruelle sans même prendre en considération de ton avis. Tu n'as qu'une seule envie, c'est de lui remettre les pendules à l'heure pour lui faire comprendre certains points. Qu'il est juste ridicule dans ses propos, accompagné par ton skate ridicule pour gamin. D'ailleurs, tu ne t'en gênes pas pour lui en faire la réflexion. << Oui, elle vous sert également à vous rendre totalement ridicule ! >> Tu roules des yeux l'air insensible, à t'en fiche complètement de ce qu'il peut te dire. Il a beau avoir massacré un voyou sous tes yeux, cela n'empêche pas que tu ne te laisseras pas impressionner par un simple type de son genre. Vu son look, tu n'as pas l'ombre d'un doute qu'il est autant voyou que ces deux-là et qu'une personne comme toi n'a rien à faire avec une personne comme lui. Tu peux t'offrir tout ce que tu veux dans la vie, contrairement à lui, c'est certain. Alors il est bien évident que tu te sens bien supérieur à son espèce. Espèce ? Bien sur que tu considères les gens sous ta classe sociale comme une autre espèce, comme de simples bêtes sans importance.

En tout cas, tu as bien beau te débattre légèrement, tu as beau avoir essayé par tous les moyens de le ralentir, mais il t'a quand même sortie de cette ruelle et tu espères que tu ne vas attirer aucun regard dérangeant sur toi à cause de ta robe particulièrement sale après avoir fait trempette dans une flaque d'eau à l'intérieur de la ruelle à cause des brutes qui ont tenter de te voler. Tu préfères ne plus penser à l'état de ta magnifique robe, car ça te met vraiment mal à l'aise et honteuse de te trimbaler comme ça désormais. Même si tu as les chocottes de rentrer chez toi comme ça, tu ne peux pas non plus rester trop longtemps dehors avec une telle tenue non-présentable. D'autant plus que tu tombes facilement malade et qu'un simple courant d'air frais suffit pour te faire rester au fond de ton lit pendant des jours. Une bonne douche chaude te fera énormément du bien, en espérant ne pas tomber sur ton père en rentrant, car il est certain qu'il va t'engueuler à cœur joie pour être sortie comme ça toute seule. Mais au fond, tu sais que ton père n'est pas méchant, il veut simplement s'assurer que rien ne t'arrive de malheur à cause de ta maladie. Tu es assez fragile, et malgré la relation que tu entretiens avec ton père depuis ta naissance, et même s'il le montre d'une manière assez désagréable, ton père tient à toi et à ta santé. Tu roules des yeux frustrée en soufflant silencieusement, tu en as bien conscience que marcher allait prendre du temps. Même si pour te retrouver ici, tu n'as clairement pas remarquer le nombre de rues que tu as passée pour en arriver là. Doubler à cela, que le fait qu'il te tutoie toujours et encore, te met vraiment en colère intérieurement. Mais tu la contiens seulement, car là, tu es juste fatiguer. Tu commences à ne plus avoir la moindre force même pour simplement l'engueuler ou faire ta capricieuse. << Ça va ça va, je pense qu'on peut se passer de vos commentaires malpolis >> Tu te demandes vraiment comment tu as fait pour te retrouver dans un tel endroit, et t'en as marre de cette journée. Même si tu ne l'admets pas, tu es contente qu'il ait arrivé au bon moment pour te sortir de ce problème. Sinon, comment tu aurais fait seule avec ces deux crapules ? Seule, et ta faiblesse, tu aurais pu les insulter et les gueuler dessus de toutes tes forces, rien n'aurait certainement changer.

Tu places tes sacs de fringues devant toi pour cacher du mieux que tu peux l'état de ta robe, alors qu'il t'indique les directions à prendre pour rejoindre ton quartier. Tu l'écoutes simplement, en jetant un fin coup d'œil en direction de la direction qu'il t'indique. Tu as une bonne mémoire, alors tu devrais sans problème te souvenir de chaque indication qu'il te donne. Étonnement, tu lui fais entièrement confiance sur ce qu'il te raconte. Après tout, tu ne vois pas l'utilité qu'il t'indique une mauvaise direction après tout ce qu'il t'a dit. À part d'être quelqu'un de très immature sans cerveau. << Très bien, je tâcherai de me souvenir de vos indications. >> Tu remontes ton sac à main jusqu'à ton coude et baisse la tête pour constater que l'étendue de tes sacs à main si ils cachent bien le devant de ta robe sale. Prête à partir en territoire hostile ! Tu te contentes de commencer à t'en aller vers la bonne direction sans dire un mot de plus, n'ayant plus rien n'à faire avec lui. Mais soudainement, tu t'arrêtes devant lui en abordant un fin regard vers lui. Tu glisses ta main à l'intérieur de ton sac à main, pour récupérer un mouchoir soyeux et doux. Tu affiches alors un sourire au coin de tes lèvres presque moqueur, mais avec ton masque, cela ne se remarque pas vraiment. Tu déposes alors délicatement et avec prudence, ce mouchoir doux sur son épaule en faisant ainsi bien attention avec tes doigts dans une manière à ce qu'ils soient lever. Comme-ci que son épaule était répugnante, mais à tes yeux, c'est bien le cas. << Tenez, un beau mouchoir pour vous. Vous devriez vous essuyer, je crois que vous en avez besoin mon cher. >> Tu ne fais pas seulement référence à ce que pour toi ça doit quelqu'un de sale. Mais il a encore un peu de sang sur ses mains... tu crois, enfin tu penses, tu n'as pas vraiment fait attention. Du moins, c'est un peu ta manière de le remercier de t'avoir aidé. Ce n'est pas tout les jours qu'il doit voir un si beau mouchoir soyeux et doux que celui-là.

Voilà, tu pars désormais, sans te retourner ni quoi que ce soit. Tu la belle et bien quittée sans demander ton reste. Tu l'oublies très vite, et tu te contentes de marcher vers la boulangerie en question et une fois la boutique atteinte, tu tournes comme il a dit à droite au coin de la rue. Une fois cela prit, tu imagines désormais qu'il suffit d'aller tout droit pour sortir du centre-ville et te diriger vers tes beaux quartiers. Alors sans plus attendre, tu continues à marcher en gardant toujours bien correctement tes sacs devant toi. Néanmoins, tu commences à souffler de fatigue, tu es simplement à bout de souffle car trop marcher n'est pas bon pour toi. Tu te fatigues bien trop vite et tu commences vraiment à le ressentir dans chaque parcelle de ton corps, que rien d'y penser cela t'épuises et te donne de terribles nausées. Tu n'en peux plus, tu as besoin de te poser un instant pour respirer un beau coup. Alors dès le premier banc en vision, tu t'assois dessus en déposant tes sacs à tes pieds. Être assis et avoir la sensation d'être au repos, te fait un peu de bien et tu respires doucement du nez. Tu te souviens que suite au coup-de-poing que tu as reçu, tu as un peu saigné du nez. Alors tu en profites pour corriger cela en vérifiant d'abord à droite et de gauche que personne ne t'a à l’œil. Car tu ne veux pas qu'on te fasse chier, car une personne t'aurait vu le nez en sang et serait là à t'emmerder par inquiétude de ce qui t'arrive. Tu déposes ton sac à main entre tes cuisses, puis tu retires ton masque sanitaire le mettant à ton cou. Tu aérer un peu ton visage, en secouant un peu ton nez ne le bougeant seulement du bout de ton nez. Tu sors de ton sac à main ton miroir de poche pour constater à travers ton reflet que tu as effectivement du sang sur le coin de ta narine. Doucement, mais sûrement, ça continue à saigner, car cela est bien un problème pour toi ! Il suffit d'un petit saignement pour que cela ne cesse pas ! Heureusement que tu as ce qu'il faut dans ton sac. Tu remets ton miroir de poche dans ton sac pour ensuite y sortir un morceau de coton ainsi qu'un petit tube à produit contre le saignement. Tu enfiles ensuite le coton dans ta narine et remets immédiatement ton masque sanitaire. Heureusement que ce masque est noir, les taches de sang ne se voient pas.

Hélas, tu n'as simplement pas la foi de te lever et de reprendre une marche dont tu ne sais pas le temps que cela va prendre. La meilleure solution est que quelqu'un t'emmène jusqu'à chez-toi en toute sécurité, que ça soit par des voyous, des déchets qui peuvent abriter les rues, ou alors rattraper par ta maladie et ta santé. Néanmoins, pas question que tu appelles ton père pour qu'il vienne te chercher. Tu ne veux pas avoir affaire avec lui. Mais pourquoi tu n'y as pas pensé plus tôt ? Il suffit que tu appelles un taxi tout simplement. C'est ce que tu comptes faire désormais, tu ne cherches plus à comprendre bien longtemps. Le soleil commence d'autant plus à se coucher que les rayons de celui-ci en deviennent oranger. Alors tu sors ton téléphone portable et tu composes le numéro correspondant pour appeler un taxi. Tu approches le téléphone à ton oreille pour qu'un taxi vienne te chercher rapidement et te ramène à ton adresse.  
 

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptySam 25 Mai - 4:42

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Tu la trouves drôle lorsqu'elle te provoque ouvertement sur ta planche. Elle n'a pas sa langue dans sa poche. D'ordinaire ça t'inciterait à la bousculer un peu, peut être à la détrousser et la laisser dans cette ruelle à côté de l'homme qui se noie presque dans son sang. Oui tu aurais très bien pu faire ça, c'était tout toi. Pourtant quelque chose t'a poussé à rire à sa remarque et à la faire sortir de là. Au fond tu sais ce qui t'a poussé à l'éloigner de la scène de crime. Tu ne veux pas qu'elle puisse être retrouver face à la police et donner ta description. Tu ne sais pas si elle ne va pas porter plainte contre ses agresseurs. Si c'est le cas elle sera obligée d'expliquer qui est son sauveur, à moins qu'elle mente…Tu en doutes. Elle pourrait faire un exposé détaillé de ton intervention, du massacre que tu as fait. Tu pourrais avoir de gros ennuis si elle parle et tu ne le souhaites pas. C'est pour ça que tu veux l'éloigner et t'assurer qu'elle rentre chez elle. Tu as déjà assez de souci avec les forces de l'ordre sans qu'elle ajoute une inculpation pour coups et blessures aggravées. Tu sais comment sont les autorités, malgré ta bonne action, tu pourrais écoper d'une amande et d'une peine de prison. Tu as déjà du sursis au-dessus de la tête, tu as évité la prison grâce à l'avocate du gang. Elle est douée mais n'a pas pu te blanchir totalement. Tu n'as pas une lourde peine, mais si tu te refais prendre, tu risques fort de finir en cellule et ça tu ne le supporterais pas. Ta liberté avant tout et si jamais elle décide de parler…tu ne sais pas ce que tu saurais capable de faire. En réalité tu le sais, mais tu préfères penser qu'elle est pas assez idiote pour parler de ça et qu'elle aura trop honte d'avouer son agression.

Lorsqu'elle roule des yeux tu n'en as pas tenu compte, l'entrainant qu'elle le veuille ou non. Tu ne la ménages pas et tu ne comptes pas non plus la vouvoyer, comme elle le fait. C'est assez étrange d'ailleurs, personne n'a jamais pris la peine de s'encombrer de politesse avec toi, sauf peut-être les juges. En réalité son excès de politesse te fait rire intérieurement. C'est comme si elle te considérait comme un égal et ça te plait bien. Elle aurait pu te traiter comme un chien, t'insulter et te repousser pourtant elle est toujours là, dénué de peur même après la violence dont tu as fait preuve quelques minutes avant. Dans un sens tu la trouves courageuse, tu la taquines encore, d'abord parce que tu ne peux t'en empêcher? tu es comme ça. Et puis parce que tu aimes bien la voir répliquer. Si tu aurais eu des envies de meurtres sur d'autres, elle est différente, c'est peut être son air supérieur et sa fierté mal placé qui te charment, ça et la fouge dont elle a fait preuve alors qu'elle était dans une mauvaise situation. A sa réflexion tu ris de bon cœur.

« Tout à l'heure aussi tu aurais pu te passer de moi. J'aurais dû te laisser aux mains de ces abrutis, après tout je suis sûr que tu puS te racheter ce qu'ils t'auraient volés princesse. »

Le ton de ta voix a été sifflant sur la fin, laissant paraitre ton dégout pour sa classe sociale. En effet tu n'aimes pas les gens pleins aux as. Tu ne supportes pas la condescendance qu'ils ont face aux plus démunis. Les gens ne font pas égaux face à la vie, certains ont de l'argent, d'autres se battent pour survivre. Si elle a eu droit à des études, à de beaux vêtements et à une éducation, toi tu t'es fait seul. La rue t'a pris sous ail et t'a tout appris. Tu n'as clairement pas les mêmes priorités, ni le même langage et cela t'importe peu si tes propres la dérangent. Tu ne risques pas de changer ou de jouer un jeu pour paraitre plus distingué. Tu la trouves pâle d'un coup et tu espères réellement que tes indications vont la perdre. Tu t'attends à ce qu'elle appelle un taxis, ou qu'elle te demande de l'accompagner, mais non, elle t'a écouté attentivement et visiblement compte bien se débrouiller seule. Elle se prépare pour la route et tu esquisses un sourire ironique. Tu es un peu déçu qu'elle soit si courageuse. Tu l'aurais volontiers raccompagner, la faisant montrer sur ta planche pour aller plus vite. Enfin elle a l'air déterminée et tu ne veux pas la retenir. Tu ne veux pas qu'elle hurle à l'agression, encore une fois.

Alors qu'elle se préparait à partir, tu l'as fixé du regard. Décidément elle a du chien cette fille et tu te demandes bien d'où elle sort. Vu son accent elle n'est pas né ici, tu en mettrais ta main à couper. Toi tu as toujours vécu en Angleterre, tu ne parles d'ailleurs pas d'autres langues que l'anglais. Tu sais donc reconnaitre les étrangers entre mille. Quand tu étais à Londres, tu avais l'habitude de jouer de mauvais tours aux touristes, les voler quoi. Ils étaient facilement repérables aux terrasses des cafés et trop insouciants, laissant leur sac à main en vue. Lorsque tu étais enfant c'est ce qui t'a permis de survivre, ça et d'autres bêtises. Tu te doutes qu'elle n'a pas eu à voler pour vivre. Tu t'attends à ce qu'elle te remercie avant de s'éloigner, mais elle ne l'a pas fait. A la place, elle a surement sourit, c'est ce que tu devines en voyant ses yeux rieurs, car son masque cache son nez et sa bouche. Elle a sorti un mouchoir de son sac et t'a regardé avec les yeux espiègles, comme si elle se moquait de toi. Tu as haussé un sourcil alors qu'elle a déposé le tissu sur ton épaule. Elle est maniérée et a soigneusement évité de te toucher, comme si tu pouvais lui donner des maladies. Juste pour l'embêter, tu as attrapé le mouchoir en lui prenant la main.

« Oh c'est trop d'honneur princesse. Je vais le chérir…»

Tu l'as lâché pour porter le mouchoir à ton nez et renifler son odeur, avec un sourire tout aussi moqueur. En réalité tu la trouves drôle et elle te plait bien malgré son air suffisant. Après cet échange, tu l'as regardé partir un sourire aux lèvres. Elle a l'air déterminée et ne se retourne pas. Tu t'es mis à la suivre lorsqu'elle a été à bonne distance. Tu es plutôt doué pour être discret, d'autant plus qu'elle ne surveille pas ses arrières. Tu as déjà eu à prendre en filature des gens plus méfiant. Elle est bien une proie facile car elle ne fait pas attention à son environnement. Toi par contre tu vérifies régulièrement derrière toi à l'aide des vitrines de magasins, des vitres des voitures qui passent. Les gens peuvent penser que tu regardes le paysage, mais en réalité tu surveilles tes arrières et tu détailles toutes les voitures que tu vois. Tu sais bien qu'ici ce n'est pas la peine. A Londres par contre tu as plutôt intérêt à vite repérer si c'est le véhicule d'un gang rivale ou une voiture de police banalisé. Pourtant cette attitude est devenue une habitude et tu n'as même plus conscience d'être autant aux aguets, c'est naturel, c'est même vital. Même si tu es a Manfield, tu ne peux pas t'empêcher d'être observateur et prévenant. Malgré tout, sur la route tu t'es allumé un join pré roulé. Tu fumes ça librement, sans te soucier de te faire prendre. Ce n'est pas comme si les gens allaient te dénoncer et ce n'est pas la police qui va t'arrêter pour si peu, d'ailleurs ils ne sont pas très présents dans les rues pour ton plus grand plaisir.

Tu vois qu'elle s'en sort pas si mal, même si elle ne fait pas attention à ses arrières, elle a remarqué la boulangerie et a suivi tes indications. Tu lui as laissé de l'avance, préférant éviter d'être dans son champ de vision. Tu n'as pas besoin de la suivre de près. Vu sa tenue et son rythme, tu ne risques pas de la perdre. Surtout que tu connais plutôt bien la ville. Tu ne sais pas si elle va continuer longtemps parce que tu as vu qu'elle a ralenti, surement la fatigue du à ses talons ou à l'épisode, précédent, éprouvant. Tu t'es rangé dans l'encablure d'un immeuble, de là tu peux la voir en observant la vitrine du bar en face. Tu souris en la voyant vérifier que personne de louche n'est présent.

Tu as préféré attendre de voir ce qu'elle allait faire. Tu n'as pas une vision claire de ce qu'elle trafique dans son sac. Tu comprends qu'elle s'observe le nez, tu es trop loin pour savoir si elle est blessée. Tu te doutes que c'est surement le cas vu le coup qu'elle a pris. Tu serres un peu les dents mais le souvenir de l'homme a terre calme ta colère. Tu te félicite d'être intervenu, elle aurait pu plus amocher, voir pire. Tu pouffes de rire en te demandant si tu ne devrais pas te montrer, juste pour lui faire peur. Tu as d'ailleurs décider d'opter pour cette solution. Toujours avec ton join à la main et sur ta planche, tu l'as rejoint alors qu'elle raccroche son téléphone.

« Alors princesse, t'as demandé un carrosse ? Faut dire avec ses chaussures t'risquais pas d'aller bien loin. »

Tu t'es assis à côté d'elle sans gêne. Tu lui as souri en lui tendant le join. Tu n'es pas certain qu'elle va accepter. Tu es même sûr qu'elle va refuser. Cela ne doit être son genre de fumer, surtout pas déposer ses lèvres après quelqu'un qu'elle ne connait pas. Pourtant tu veux la provoquer un peu en lui faisant cette proposition. Tu as reprit une taff pour finalement lui souffler la fumée dessus.

« T'veux pas une taff ? »
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Kitana Tsukanji

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptySam 25 Mai - 19:07

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Il est certain que tu allais pu te repayer les choses qui auraient pu être volées par ces abrutis de voyous. Mais vu la connerie qu'il a faite sur ton sac, c'est-à-dire ce smiley débile sur le beau cuir de ton sac. Aussi amusant soit-il, tu devras dans tous les cas changer ton sac à main, car tu te vois mal garder celui-là même après avoir été au lavage. Mais cela n'est pas un problème en réalité, et tu n'auras pas besoin de dépenser le moindre centime pour te payer un sac à main. T'en as déjà quelques-uns chez toi et tous aussi beau que les uns avec les autres. Au moins, cela va te permettre de changer de sac un temps. En tout cas, sa remarque qui semble piquante, t'a discrètement fait sourire au coin de tes lèvres, amusée par la façon dont il le dit. Tu t'en fiches complètement de ce qu'il pense là-dessus. Si cela lui plaît ou pas, cela n'est pas ton problème et ce n'est pas une personne de son standing qui va faire changer ta vision de la vie. Tu dois bien d'en douter, que les gens remarquent que tu as de l'argent, et visiblement, il la bien remarquer. Alors avec ce détail, tu estimes qu'il n'a vraiment pas l'intention de te voler ou de te faire du mal. Car en savant que tu es pleins au as, il doit sûrement penser que tu possèdes à l'heure actuelle des objets de valeur ou même de l'argent liquide dans ton sac ou dans tes poches. S'il te vole tout ce que tu possèdes en ce moment, il est certain qu'il se fera un petit montant sympathique. Rien qu'avec ton téléphone portable, il pourrait revendre cela cher. Avec en plus tes deux sacs de vêtements ultras chics, il y a de quoi. << Certainement. Mais j'aurais éclaté leur sale tronche de rats avant qu'ils me volent quoi que ce soit !! >> Tu donnes l'impression d'être sûre de toi dans tes propos. Même s'il est évident que tu n'avais rien pu faire, et t'en as un peu consciente malgré tout. Mais devant lui, tu ne veux pas faire la pauvre victime fragile et démontrer tout ton sale caractère non-défaitiste. Tu n'aimes pas admettre que tu sois faible et ça dans n'importe quelle situation.

Tu ne veux absolument rien savoir de lui, ni rien faire de plus en sa compagnie. Il t'a en sois aidé à te sortir d'une situation délicate, mais pour ta part, tu en restes simplement là. Qu'il continue sa vie de misérable, et toi que tu retournes dans ta bourgeoisie luxueuse. Vous avez certainement un train de vie différent, et un environnement opposé, cela te saute aux yeux déjà dans sa manière vulgaire de parler et dans son look et ses attitudes. Tu veux le plus rapidement possible que chacun d'entre vous retourne dans son wagon, et que lui reste à sa place à côtoyer de la canaille puant ou des prostituées pour son plaisir répugnant. C'est pour cela que dès qu'il t'a indiqué la route à prendre pour retourner dans ton quartier, tu lui fais confiance et tu ne lui adresses plus la parole et ne fait plus attention à sa personne une fois que tu as commencé à partir vers la première indication de sa part. En lui offrant par la même occasion un présent même si ce n'est pas vraiment un cadeau de ta part, mais plus pour lui rappeler que tu es différent de lui. Tu ne calcules même pas son commentaire du fait qu'il va chérir ton mouchoir déposé sur son épaule avec retenue. Désormais, il peut en faire ce qu'il veut cela ne te regarde pas et tu t'en fiches royalement.

Après une petite marche qui te fatigue déjà, tu t'es assise sur un banc non loin de la route principale de la rue. Essoufflée par le simple fait de marcher, tu réalises bien que tu marches beaucoup trop pour une seule journée et que tu ne te reposes pas assez, où du moins tu ne fais pas assez attention à ton souffle. Cela t'entraîne de la faiblesse dans chaque partie de ton corps et tu ressens des nausées qui peuvent entraîner des vomissements ou alors des malaises. Il est certain que tu ne veux pas te péter la honte en vomissant dans la rue ou bien en tombant dans les pommes en pleine rue pour finir une nouvelle fois à l'hôpital. Ta maladie t'agace dans certain point, comme te balader une journée complète sans que ta maladie te rattrape et te donne des signal. En voyant l'heure justement, et le fait que le soleil se couche, tu dois absolument prendre ton traitement habituel du soir, avant de normalement dîner. Raison de plus pour te presser et rentrer immédiatement à la maison ! Pour être à l'heure pour le dîner, car tu as ton traitement dans ton sac, mais tu veux éviter de prendre ça en pleine rue. Tu aimes te cacher pour prendre tes médicaments, et être au calme. Néanmoins, tu veux éviter de prendre le moindre risque et user de tes petites forces de rien du tout en continuant à marcher encore et encore. D'autant plus que tu ne sais pas le nombre de mètres qu'il reste à faire pour atteindre ta villa. Tu appelles donc un taxi, pour qu'il te ramène sans difficulté et en sécurité jusqu'à chez-toi. Tu as bien remarqué le nom de la rue où tu étais et tu n'as plus qu'à attendre l'arrivée du taxi dans les prochaines minutes. Tu espères vraiment qu'il ne va pas mettre trop de temps à arriver pour être chez toi le plus vite possible.

Tu raccroches ton appel après avoir eu la confirmation qu'un taxi va arriver le plus rapidement possible pour te cueillir. Tu ranges ton téléphone dans ton sac à main, remarquant une nouvelle fois le smiley ensanglanté sur ton sac qui prends bien forme, vu que le sang sèche à la vitesse de la lumière. Tu arques d'un sourcil frustrée, mais à la fois, tu trouves cela drôle. Cela te fait également penser à celui qui a fait ça, mais tu le chasses rapidement de tes pensées ! Pourquoi tu commences à penser à lui là ? Pourquoi tu regardes ce dessin répugnant ? Ça te dégoûte alors tu te contentes de lever les yeux et surveiller la route pour voir lorsque le taxi arrivera, et ainsi signaler ta présence. Ton attente n'est pas comme tu imaginais, car tu as la surprise de voir que ce même plouc que tout à l'heure, et que dont tu viens de penser à l'instant, vient de nouveau t'adresser la parole d'une façon inattendue. Tu es surprise de le voir débarqué comme ça, mais également l'effet de surprise a tellement marcher sur toi que tu as eu un petit sursaut discret. Tu ne t'attendais clairement pas à le voir apparaître soudainement, à ton banc, comme ça, alors que tu t'es quand même bien éloigné de l'endroit exacte où tu l'as quittée. En tout cas, tu le regardes d'une manière désagréable, tu n'es pas vraiment contente de le voir, d'autant plus que tu as l'impression qu'il t'a suivis et tu n'apprécies vraiment pas ça. Ça te fait limite peur, toi qui pensais qu'il était au fond charitable. Qu'est-ce qu'il te veut bon sang ? Il croit peut-être que vous êtes amis ou quoi ? Il veut ton numéro de téléphone ou bien ? En tout cas, si c'est le cas, il peut rêver et c'est bien dommage que tu n'as pas de produits pour chasser et se débarrasser de ce genre de personne. Comme un insecticide ! << Vous m'avez suivis ? >> Tu hausses un peu le ton, enfin du moins, ton teint de voix démontre qu'il te dérange vraiment là et que sa présence n'est pas la bienvenue. << J'ai appelée un taxi, il ne devrait plus tarder. Avec ces chaussures ? Déjà, ce sont des talons Stuart Platinum et non des vulgaires chaussures. Et de deux mêlez vous de vos affaires ! >> T'es comme hystérique de constater qu'il mentionne tes beaux talons soyeux et chic comme de simples chaussures. Immédiatement, tu détournes le regard, observant à l'opposé de lui. Tu cherches par tous les moyens de ne pas faire attention à lui et remarquant qu'il s'assit sur ton banc. Tu ne peux pas t'empêcher de te décaler un peu de lui tout naturellement, mais en ne faisant pas ça discrètement. Puisque tu ramènes également tes sacs de fringues vers toi et surtout, les mettant de ton côté et pas de son côté. Tu te pinces les lèvres embêtée qu'il soit venu jusqu'à là, tu viens de lui dire ces choses pour la simple intention ferme qu'il comprenne que tu ne souhaites pas être avec lui, ni lui adresser la parole dorénavant. Tu ne remarques pas du tout qu'il te tend ce qu'il fume, et n'a pas remarquer également qu'il était en train de fumer. Néanmoins, tu le remarques bien vite, lorsque qu'il laisse échapper sa fumée vers toi, et te propose une taffe. Tu es littéralement choquée qu'il te propose une telle chose, remarquant du coin de l’œil ce qu'il tient entre ses doigts. Cela n'a clairement pas l'air d'être une cigarette normale vu la tronche qu'à son truc. Néanmoins, tu tournes une nouvelle fois ton visage à son opposée à cause de la fumée qui arrive jusqu'à toi. Ce geste te met vraiment furax, tu ne comprends pas ce qui lui prends de faire ça et tu trouves cela idiot et immature. Cette fumée t'a bien piqueté un peu les yeux, d'où la raison pour laquelle tu les fermes en les clignotant plusieurs fois. Tu secoues un peu ta main pour disperser la fumée dans l'air. Heureusement que tu as ton masque en place, cela t'évite de respirer cette mauvaise fumée qui t'aurait simplement donner un goût amer et répugnant.

<< Vous avez un problème ou quoi ? Foutez-moi le camp avec votre fumée et votre truc dégueulasse. >> Tu continues un peu à secouer ta main devant ta tête pour bien disperser cela dans l'air. Tu continues à garder ta tête tournée vers son opposé tant qu'il continue à te tendre ce join. << Je ne fume pas, dégagez moi ça. Et je ne veux pas attraper une saleté. >> Tu fais évidemment référence au fait qu'à tes yeux, c'est juste un crasseux pour toi, ou bien qu'il possède la peste. Il est certain que tu allais refuser une telle chose. Déjà de base, tu ne fumes pas de cigarette classique, alors évidemment que tu ne comptes jamais toucher au cours de ta vie ce qu'il a entre ses doigts. Tu ne sais pas vraiment c'est quoi exactement, mais si c'est de la drogue, c'est mauvais pour ta santé, tout comme l'alcool. Ça va juste foutre en l'air ton foie, et ça va juste empirer ta maladie au point même de pouvoir en mourir si ton foie se détruit et qu'une intervention chirurgicale sur ton foie n'arrive pas à temps. D'autant plus, que cela te dégoûte juste à l'idée de poser tes lèvres sur ça alors que lui-même l'a fait. Beurk, et puis quoi encore ? Tu espères qu'il n'est pas vraiment sérieux dans sa proposition. Il espérait vraiment que tu puisses accepter ? En tout cas, ton téléphone se met à sonner soudainement, coupant court à cet échange désagréable. Une douce mélodie de violon se fait entendre, et encore plus lorsque tu sors ton téléphone de ton sac à main. En remarquant le contact, ton visage se décompose, et tu sens comme ton cœur s'envoler comme-ci qu'une pression énorme vient te submerger à l'instant. Il s'agit de ton père, et tu as beau laissée sonner ton téléphone quelques secondes de plus, en restant fixée sur ton écran de téléphone. Tu ne comptes pas laisser cet appel dans le vent. Tu vas juste t'attirer des problèmes en ne répondant pas à ton père. Alors tu finis par décrocher, et avec une voix douce et hésitante, tu réponds. << Oui père.. >> C'est comme-ci que tu venais de changer de visage à l'instant. Tu es bien différente avec ton père qu'avec d'autres personnes, comme lui, assis à côté de toi. Tu as l'air totalement soumis à ton père, et ton fougueux caractère s'envole à l'instant où tu t'adresses à ton père. En tout cas, il a fini par remarquer ton absence à la maison, et pourquoi à cette heure, tu n'es pas à la maison alors qu'en temps normal, c'est la cas. Il a l'air calme au bout du fil, mais tu sais bien qu'il doit avoir envie de t'engueuler. << Je... et bien mon rendez-vous avec mon médecin fut aujourd'hui. J'en sors tout juste à l'instant. Je ne voulais pas vous déranger comme toujours pour m'accompagner père. Vous avez du travail vous aussi. Je vous expliquerai les détails en rentrant. >> Tu mens totalement à ton père, car il est évident que tu n'allais pas lui dire la vérité, et que maintenant tu devras ainsi inventer un bobard sur le comment du pourquoi tu sors du médecin aussi tard. Tu espères tout de fois que ton bobard va passer crème, mais il faudra alors que ton rendez-vous de la semaine se passe dans le plus grand des secrets et que tu y ailles seule. Où bien avec ton frère, ou ta majordome. En tout cas, même si ton père a l'air dans un premier temps méfiant, il finit par te croire et te faire confiance. Cela te soulage, et cela se voit bien des masses que tes épaules ont l'air de se soulager d'une pression. << Pas la peine père, un taxi vient me chercher. Je suis à la maison bientôt. Ne vous en faites pas. >> Ton père t'a proposer de venir te chercher. Cela est inutile, car un taxi vient te chercher. Néanmoins, tu es désormais certaine qu'il t'attend maintenant de pied ferme à la maison, et qu'il va surveiller ton taxi par l'une des fenêtres, ou même carrément à la grille. S'il te voit arriver avec deux sacs remplis de vêtements, il est évident qu'il va comprendre que tu lui as menti ! Tu dois éviter ça et en lui mentant comme ça, tu te mets quand même un peu plus dans le pétrin. Tu as vraiment été incapable de lui dire la vérité, peur des conséquences à cela. << Au revoir père, à tout de suite. >> Tu raccroches, en étant bien anxieuse, même si clairement, tu attendais ce coup de téléphone vu l'heure. Il était certain qu'il allait t'appeler, cela n'est pas une surprise pour toi, mais tu avais l'espoir que cela n'arrive jamais et que tu entres dans l'ombre chez toi sans qu'il soit au courant de ta sortie d'aujourd'hui. Tu baisses ton téléphone, et tu soupires doucement avec beaucoup d'appréhension.      .  
 

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Kim Hojin

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptyDim 26 Mai - 3:58

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Lorsqu'elle a sursauté en te voyant arriver, tu as esquissé un sourire, ravi de ta blague. Tu es un vrai gamin et ce n'est pas occasionnel, c'est tous les jours. En réalité tu n'as pas vraiment grandi, ou alors trop vite. Tu es peut être devenu un homme-enfant beaucoup trop tôt, exposé à la violence très jeune, contraint de te subvenir à tes besoins, livré à toi-même. Tu as dû grandir trop vite et peut être que tu es resté bloqué entre deux âges, entre la fougue de l'enfant et la violence d'un adulte, face à un monde beaucoup trop sectaire. Tu n'as jamais eu l'occasion d'aller à l'école, tu as de vagues souvenirs de ton enfant, mais la plupart tu les as occulté, inconsciemment surement. Aujourd'hui tu n'as que des flash concernant ta vie avant la rue. Les médecins diront que c'est une manière pour ton cerveau de te protéger, pour toi ce sont simplement des souvenirs inutiles. Alors c'est vrai que tu fais un peu idiot parfois, que tu peux paraitre gamin avec ta planche de skateboard mais c'est toi, avec tes nombreux défauts et quelques qualités. Tu l'as quand même secouru alors que tu aurais pu lui voler son argent. En réalité tu gagnes ta vie, il n'a pas autant d'argent qu'elle c'est certain mais tu en as suffisant pour acheter ta consommation de drogue hebdomadaire et c'est la seule chose qui compte. Tu n'as pas facture à payer, ni d'assurance à payer, ni de compte en banque. Tu as bien un dépôt à Londres sous un faux nom et une boite postale. C'est ton côté prévoyante. Tu sais que cette vie ne te mènera à rien, si ce n'est à la mort. C'est peut-être le mieux qui puisse t'arriver. Cependant si jamais un jour cela tourne au vinaigre tu as un plan de secours, une porte de sortie que tu as préparé. Tu n'es pas si gamin que ça lorsqu'il s'agit d'affaire. Seulement lorsqu'elle te demande si tu l'as suivie, ton sourire s'est élargi et tu as acquiescé comme un enfant fier de sa bêtise.

« Imagine tu te serrais encore fait agressé, enfin vu la gueule que tu as, plus personne ne voudrait s'approcher de toi…»

Tu as pouffé de rire, mais dans un sens c'est vrai, elle ressemble plus à une comédienne de bas étage qu'à une bourgeoise, enfin peut être que pour les connaisseurs la marque sur ses sacs veut dire quelque chose. Enfin tu es certain qu'aucun voyou n'ira lui chercher des noises avec le smiley dessiné sur son sac. Tu as explosé de rire lorsqu'elle a mentionné la marque de ses chaussures. C'est clair que tu ne fais pas la différence et cela ne t'intéresse pas. Sur ce point, comme sur d'autres, elle vit sur une autre planète que toi. C'est assez ironique quand tu y penses qu'elle puisse encore te parler et t'explique que ce sont pas de simples chaussures. Comme si elle pouvait te faire comprendre la différence entre cette paire et celle vendu dans la boutique du coin. Toi tu n'as qu'une paire botte, enfin c'est faux, tu en as d'autres à Londres mais pas ici, dans cette ville pourrie tu n'as besoin que de tes rangers, coqués et ferrés. Enfin tu hausses les épaules à sa réflexion, répondant sans animosité.

« Tu ferais mieux de mettre des chaussures plates quand tu sors pour marcher princesse, ça se voit que tu sors pas souvent de ton château toi. Les gens comme vous n'ont pas des chauffeurs pour les trimballer normalement ? »

Tu n'attends pas vraiment de réponse, tu sais qu'elle va surement répliquer, mais cela ne te perturbe pas. Tu aimes la taquiner et la voir s'énerver te faire sourire. C'est stupide, tu vois bien que tu la déranges et pourtant ça t'amuse de l'embêter, ce n'est pas réellement méchant, c'est juste toi. Tu as trouvé quelque chose d'intéressant dans cette ville, un jouet fragile et qui a du mordant à la fois alors il ne t'en faut pas plus pour jouer avec le feu. Tu sais ce que ça fait de se bruler et tu n'as pas peur du risque, de toute façon, elle n'a pas l'air bien méchante et à part une gifle, elle ne risque pas de te faire bien mal. Quoi qu'un talon bien placé pourrait t'arracher une grimace, mais tu es agile, rapide et prêt à esquiver une attaque. En réalité tu es toujours tes gardes, jamais réellement serein, surtout pas dans la rue aussi à découvert. Tu es un peu plus calme lorsque tu es dans un lieu que tu connais, dans ton squat à Londres par exemple. Cet endroit te manque tellement, tu aimerais pouvoir y passer la soirée au lieu d'être dehors dans cette maudite ville entrain de taquiner une gentille fille pour passer le temps. Tu es pathétique mais peut important, tu trouves cela amusant. Tu as tiré sur ton join, une première fois en lui proposant mais tu vois bien qu'elle s'est détournée de toi. Tu lui alors soufflé la fumée dessus en espérant attirer son attention, ce qui a fonctionné facilement

Elle s'énerve encore plus et tu ris, tu t'en doutais qu'elle n'allait pas accepté. L'inverse t'aurait étonné, tu ne lui aurais peut-être même pas laisser tirer une latte. Elle est remplie de manière et ça te fait sourire, décidément tu n'es pas au bout de tes surprises. Tu as bien l'impression qu'elle ne vas pas te prendre la parole et tu t'en fout, tu comptes bien rester là pour attendre de la voir monter dans son taxis. Pourquoi ? Simplement parce que tu n'as rien de mieux à faire. Que demander de plus, un join, une jolie à tes côtés qui te fait rire et personne en vue pour t'embêter, tu n'as pas toujours autant de chance. Tu t'es adossé au banc en continuant à fumer, l'observant du coin de l'œil. Tu as gardé le silence et elle aussi, jusqu'à ce qu'une sonnerie se fasse entendre. Tu as haussé un sourcil surprit à la mélodie de violon qui lui sert de sonnerie. En réalité cela ne t'étonne pas venant d'elle, mais étant un amateur de musique classique, tu esquisses un sourcil. Bon tu es loin d'être un expert, mais tu reconnais facilement l'instrument, ton meilleur ami t'a fait découvrir le piano et depuis tu écoutes parfois quelques morceaux de piano et de temps à autre ils sont accompagnés par d'autres instruments.

Tu l'as regardé sortir son téléphone, se crisper et hésiter à répondre. Tu n'as rien dit préférant observer la scène. Tu ne t'es pas gêné pour écouter sa conversation, détailler ses expressions et il ne t'a pas fallu longtemps pour comprendre la situation. Elle est sortie sans autorisation et elle vient de mentir à son père. Il ne faut pas être stupide pour comprendre qu'elle ne revenait pas de l'hôpital avec ces deux sacs de courses, enfin elle y est peut être aller avant, mais visiblement si c'était réellement le cas elle se saurait fait amener. Tu te demandes alors pourquoi elle a des rendez-vous à l'hôpital. Elle n'a pas l'air en mauvaise santé, c'est peut être une simple visite de contrôle, mais apparemment c'était régulier vu comme elle en parlait avec son paternel. Tu ne sais rien sur elle. Cependant en l'écoutant, tu te doutes de l'ambiance qu'il peut y avoir chez elle. Tu as compris en l'entendant parler pourquoi elle te vouvoie et tu as même sourit face à son langage soutenu.

A voir son air elle n'est pas ravie d'avoir reçu cet appel et encore moins de la tournure des choses. Elle a eu l'air soulagé que son excuse fonctionne, pourtant tu es persuadé que ça ne tiendra pas la route si elle rentre dans cet état et avec ses sacs de course. Tu es loin d'être stupide et même si tu n'as pas appris de longs théorèmes de mathématiques, le genre humain ça te connait. Tu n'as pas connu ton père et tu n'as aucun souvenir de ta mère mais l'espèce humaine tu la cernes facilement et tu t'en joues sans souci. Les escroqueries, l'extorsion et le chantage ça te connait bien. Tu t'es tourné vers elle, tirant une bonne bouffé en soufflant au-dessus d'elle pour éviter de l'enfumer à nouveau.

« T'as l'air d'avoir des soucis avec ton vieux toi ? I'te laisse rien faire c'est ça. Princesse n'a pas le droit de sortir. »

Ce n'est pas une question, mais bien une affirmation. Tu lèves les yeux au ciel en comprend un peu la situation, enfin tu penses comprendre en même temps sa vie n'a pas l'air d'être si compliqué. Un père aimant qui la surprotège, tu es heureux d'avoir zappé cette étape de ton côté. Tu n'aurais surement pas supporté d'avoir un adulte sur le dos toute la journée. Dans un sens tu en as eu lorsque tu es entré dans le gang. Malgré tout, tu as toujours trouvé le moyen de faire ce que tu voulais sans être pris et tu vas essayer de la conseiller, s'il y a bien un domaine où tu es expert c'est transgresser les règles.

« C'est donc de lui dont tu avais peur en rentrant dans cet état. Tu ferais mieux d'enfiler une de tes tenues neuves. J'sais pas si tu peux justifier un passage aux boutiques après l'hosto, si c'est pas le cas, tu peux me laisser tes sacs, je te promets de ne pas y toucher. »

Tu as esquissé un sourire franc en ajoutant

« Promis, juré, craché. »

Tu as craché par terre un peu plus loin. Normalement la coutume c'est de se cracher dans la main et de la serrer à l'autre personne, sauf que tu es certain qu'elle va te hurler dessus si tu fais ça. Tu as indiqué un hall d'immeuble que tu connais si jamais elle voulait suivre ton idée. Tu n'es pas certain qu'elle te fasse assez confiance pour ça. En réalité tu t'en moques un peu de ce qu'il peut lui arriver, t'as dit ça juste pour être sympa. Tu n'as réellement pas besoin de revendre ses fringues pour te payer ta dose. Tu as peut être l'air d'un drogué sans un sous et c'est souvent ce que tu fais croire, malgré tous les contacts que tu effectues sont bien payés et tu reçois ta part dans les revenus hebdomadaires du gang. Alors c'est clairement pas te faire de l'argent que tu lui proposes ça et tu ne risques pas d'enfiler un de ces trucs. Bizarrement tu ne l'as pas précisé enfin ce qui est sûr que tu fouineras pour savoir ce qu'elle a pu acheter.
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Kitana Tsukanji

@ Kitana Tsukanji

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Violoniste (Soliste) & ancienne danseuse classique (Ballerine) / étudiante privée au prestigieux conservatoire Royal Academy de Londres (Musique classique, danse classique & art dramatique)

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptyLun 27 Mai - 21:01

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an aggression




Lorsque soudainement, il arrive bien trop d'une façon inattendue, à t'en faire mincement sursauter, il est évidemment que tu n'es pas satisfaite qu'il te rejoigne à ton banc. D'autant plus que tu imagines bien fortement qu'il t'a suivi à petit pas et c'est d'une sensation vraiment désagréable de constater cela. Personne ne doit aimer se faire suivre de la sorte, mais toi, tu peux t'imaginer des tonnes de films rien qu'à cette idée. Et cela ne manque pas de te traverser l'esprit sur le pourquoi, il en est arrivé à s'asseoir sur ton banc alors que tu pensais vraiment en avoir terminé une bonne fois pour toute avec lui. Visiblement, il te donne une certaine explication, mais cette fois-ci, tu as vraiment du mal à le croire et tu te demandes vraiment s'il ne se fout pas de toi vu l'interprétation qu'il mentionne cela. Tu te sens presque humilier dans la façon qu'il le dit et t'as bien envie de l'envoyer balader. En tout cas, à travers ses mots, tu te confirmes qu'il t'a bien suivi et tu doutes qu'il ait simplement voulu faire son chevalier servant en te surveillant pour éviter une potentielle nouvelle agression. Ce n'est pas comme-ci que tu te faisais agresser toutes les deux minutes non plus, alors cela te semble plus d'une excuse. Puis tu n'admets pas du tout qu'il te considère comme une petite femme sans défense. Tu maintiens vraiment que tu es capable de te défendre, ou du moins de te débrouiller toute seule. Tu n'as pas besoin d'un vulgaire garde du corps. Néanmoins, tu crois vraiment qu'il dit ça simplement pour se foutre de toi, et cela te plait guère d'être prise de haut comme ça. C'est comme ça que tu vois les choses, et tu lui lances un tel regard sombre qui veut tout dire, avant d'éloigner ce regard à son opposé. Il est clair que tu montres bien que tu ne plaisantes pas. << Si vous êtes là pour vous moquer de moi, vous feriez mieux de dégager le plus rapidement possible. Regardez-vous, vous êtes loin d'avoir les droits pour juger. >> Tu déposes rapidement tes doigts sur ton masque sanitaire pour vérifier qu'il soit correctement mis par précaution. Il est certain que tu es loin de prendre cela avec humour, et t'es même limite à deux doigts de lui donner un terrible coup de sac à main dans la tronche. Mais avec ce que tu as l'intérieur de ton cuir, tu te retiens de manœuvrer ce geste pour éviter de casser quelque chose ou de foutre tout en bataille à l'intérieur. Tu grinces des dents pour canaliser ta colère, car venant d'une personne comme lui, il en faut bien peu pour te faire partie au quart de tour, surtout de te faire limite juger de la sorte. C'est bien la première fois que cela t'arrive qu'une personne comme lui se permette de te parler ainsi. T'en crois pas tes yeux que tu sois dans cette situation, tu regrettes vraiment d'être sortie en douce aujourd'hui. Si c'est pour vivre une journée aussi minable que celle-ci, tu préfères éviter cela.

Décidément, à chaque fois qu'il ouvre la bouche, c'est simplement pour te mettre en rogne, ou te faire bouillir de rage, aussi discrète soit-il. Même pour les moindres petits détails, comme le fait qu'il indique tes magnifiques souliers comme de simples chaussures. Ça te dérange qu'il considère ce que tu as aux pieds comme ce qu'il vient de mentionner. Tu ne sais pas s'il est capable de faire la différence, mais peu importe, tes talons ne sont pas à la porter des plus démunies et ne se trouvent pas dans les boutiques moyennes qu'il doit sûrement côtoyer pour s'habiller ainsi. Tu ne cherches pas à lui faire comprendre, cela est venue tout naturellement, afin de bien distinguer que vous n'avez pas les mêmes valeurs. Il continue à te donner des commentaires que tu ne prends pas avec joie, tu te demandes vraiment pour qui il se prend pour te dicter de la sorte même dans le simple but de mettre des souliers différents à tes pieds lorsque tu sors. Il est vrai que lui, c'est un homme, alors il ne doit pas savoir ce que ça fait d'avoir des talons aux pieds, et marcher beaucoup avec des talons ça peut faire mal aux pieds en fin de journée. Surtout, quand tu les enlèves après cela, tu as l'impression que tes pieds sortent tout juste d'une petite boite en carton inconfortable. Au final, tu serais presque d'accord avec lui, que les talons sont seulement fait pour aller en soirée, et pas pour faire du shopping par exemple. Mais évidemment, tu ne vas pas l'admettre qu'il a un fond de raisonnable. Non jamais ! Tu préfères être désagréable et l'envoyer balader. << Vos conseils je peux m'en passer. Je pense que c'est plutôt moi qui devrais vous donnez des conseil niveau look et mode. >> Tu jettes un coup d'œil sur lui, en le regardant bien de haut en bas pour distinguer avec précision ses vêtements. Comme son pantalon noir à trous, que tu trouves affreusement moche, te posant sérieusement la question si c'est acceptable dans la vie de se balader avec des fringues trouées. Tu serais presque à demander s'il ne s'agit pas d'un sans-abri en réalité. Sa veste a vraiment mauvais goût par dessus tout, et son t-shirt a l'air bien trop grand pour lui. Tu finis même par penser qu'il s'habille sans vraiment avoir le choix sur ses vêtements. Comme-ci qu'il s'habillait avec ce qu'il peut, et tu imagines que sa garde robe n'est pas spécialement bien garnis et admirable. En tout cas, en ce qui concerne le chauffeur, ta famille en a bien un, mais tu ne vas clairement pas préciser à lui, que tu es sortie en douce et que tu as simplement voulu sortir seule, et bien seule. Puis tu te voyais vraiment mal avoir ce chauffeur rien que pour toi dans le simple but de faire du shopping. Tu n'aurais pas osée franchement. En tout cas, tu ne portes pas de commentaires là-dessus. Et même s'il te met en colère depuis un moment, cela ne t'a pas empêcher de trouver ça ironique de sa part qu'il indique "les personnes comme vous". Ça t'en ferait presque rire d'arrogance, tu estimes que c'est plutôt toi qui devrais dire ce genre de commentaire pour décrire des types comme lui. << Des personnes comme moi ? Vous voulez dire des personnes qui sont capables de s'offrir tout ce qu'elles souhaitent, et qui ont une vie saine et réussite ? >> Tu hausses légèrement des épaules sans lui jeter un seul regard en sa direction, mais tu démontres bien que cela ne doit certainement pas être son cas.

De toute façon, lorsque le taxi arrivera et que tu monteras dedans, il ne pourra plus te suivre, c'est certain et ce n'est pas avec son skate qu'il le pourra. Tu seras même capable de vérifier à travers les fenêtres du véhicule pour vérifier que ce n'est pas le cas. Maintenant que tu sais qu'il t'a suivis une fois, tu as juste peur qu'il recommence et sa soit disant excuse, pour ne pas que tu te fasses agresser de nouveau, tu n'y crois pas. Il attend quelque chose ? Ce sentiment d'ignorance te fout encore plus la trouille, car tu as beau lui répondre d'une manière désagréable, il te fout la trouille au fond. Vu les gens comme lui, tu serais presque à parier qu'il vient surement mendier dans l'espoir que tu lui offres de l'argent pour récompense de t'avoir sauver de deux voyous. Si ça se trouve, c'est juste pour cette raison qu'il est intervenu dans cette ruelle. Tu n'oses pas imaginer que ça soit le cas, mais de toute manière, tu es tellement égoïste et radine, que tu ne lui donnerais même pas un centime ! Tu refuses ainsi nettement sa proposition de fumer, trouvant cela mal de fumer une telle chose, et rien que de l'avoir dans ton champ de vision avec ça entre les doigts, ça te donne des envies de vomir. Enfin, tu ne jettes pas un seul regard en sa direction, tu préfères simplement attendre avec l'espoir que ton taxi arrive le plus tôt possible. Tu préfères ne plus rien penser, maintenant, c'est au tour d'un taxi de venir te sauver de son emprise avant que tu finisses par lui foutre une gifle sans retenue. Néanmoins, ton téléphone émet la mélodie de ta sonnerie signalant un appel entrant. Tu décroches hésitante sur le moment, en réalisant qu'il s'agit de ton père, mais au final, tu n'es pas surprise qu'il finisse par t'appeler car le temps défile, et le soleil s’éclipse petit à petit dans le ciel. Une fois la conversation avec ton paternel terminée, tu es soulagée que ton mensonge soit passé, mais à la fois inquiète de ton arrivée à la maison, car tu as perdu l'espoir que ta balade d'aujourd'hui reste secrète. Tu es certaine que ton père t'attends désormais, et s'il te voit arriver avec deux sacs de fringues, et en plus, avec cette robe salit. Il va vite comprendre que tu as menti et que ta consultation au médecin n'était pas aujourd'hui. Il va te punir sévèrement si c'est le cas, c'est certain, et tu ne souhaites pas être sous la foudre de ton père, car c'est clairement désagréable de subir une colère de sa part.

Suite à la conversation avec ton père, tu es vite revenu à la réalité des choses, et que sortir en douce a vraiment été une terrible bêtise. Tu regrettes tellement d'avoir pris cette initiative, que tu ne le referas pas deux fois, c'est certain. Tu aimerais recommencer cette journée, ouvrir de nouveau tes yeux dans ton lit douillé et a passé ta journée à te pouponner ou alors à jouer du violon dans ta chambre. Ton regard se perd totalement dans le vide, et tu te tortures dans tes pensées. Tu en oublies même la présence de la personne à côté de toi, tellement tu es perdu au fin fond de tes pensées. Si ton taxi venait à arriver, tu ne le remarquerais même pas. Tes yeux sont baissés vers le béton du trottoir, et tes oreilles ne captent plus aucun son extérieur. Néanmoins, c'est bien sa voix qui te fait un peu sortir de ces abysses, la voix de l'étranger qui te dérange depuis qu'il a posé ses fesses sur ce banc. Il se permet encore de donner des commentaires, mais étrangement, cette fois-ci ça ne te fait rien du tout. Enfin, cela ne te met pas furax, et tu n'as pas envie de lui ravaler ses paroles par une réponse désagréable. Tant pis, s'il ne comprend pas ton fonctionnement, tu peux toujours te passer de ses commentaires, et même si tu ne connais absolument rien de lui. Qu'est-ce qu'il peut comprendre dans ce qui vient de se passer ? Tu imagines que lui, il doit penser que vu tu vis avec beaucoup d'argent, dans le luxe et que tu ne manques de rien, tu dois être automatiquement heureuse dans ta vie. Tu es la première à penser que sans argent, on est rien dans la vie, mais en contre partie, tu as appris qu'avoir de l'argent ne fait pas forcément le bonheur. Ta maladie est une factrice, devoir vivre avec ça te rends malheureuse, surtout dans les circonstances que tu as attrapée ce virus, une situation que tu aurais pu éviter. Et tu as beau avoir beaucoup d'argent, ton père a beau avoir beaucoup d'argent, cela ne guérit pas pour autant ta maladie. L'argent ne permet pas non plus d'avoir une famille unie en toute circonstance, rien qu'à voir la relation avec ton père, cela a toujours été difficile avec lui et il a fallu que tu sois frappé par une maladie pour que ton père porte enfin un regard sur toi, et ne porte pas que son attention sur ton frère. C'est certain que l'argent ne peut pas acheter tout dans ce monde, malgré que tu essayes de faire croire aux personnes comme lui le contraire. Tu ne vas pas dire que tu es malheureuse, car tu sais profiter des choses qui te passionnent, comme ton violon, mais il est évidemment que parfois, tu as des coups de dépression lorsque notamment ta maladie te rattrape. Comme à cet instant, ou tu as dû t'asseoir à bout de souffle, ou en te rappelant qu'il est bientôt temps de prendre ton traitement. Tes consultations aux médecins, tu les vis avec tristesse et peur. Ce sont des rencontres que tu aimerais éviter, mais que la vie t'a donner comme obligeance.

Malgré que tu sois dans tes pensées, tu entends bien ce qu'il te dit, et peu importe au final, puisque tu ne daignes pas à lui répondre. Tu restes là sans bouger d'un cil à observer le sol. Avant de finir par mettre ton téléphone dans ton sac à main délicatement, puis en observant l'horizon de la route pour voir si ton taxi arrive par la suite. Tu ne lui réponds pas, car tu n'as pas d'explication à lui donner, tu ne le connais pas et il n'a rien à savoir sur toi et sur tes relations avec ton père. Il peut penser ce qu'il veut, ça t'es égale, tu ne le reverras jamais, et lorsque qu'il retournera dans son trou à rat, tu espères qu'il t'oubliera également. En tout cas, depuis ce coup de téléphone, tu es devenu bien calme et silencieuse, tu réfléchis un peu, dans comment tu pourras faire une fois arriver à ta villa. Tu cherches des solutions en passant par les plus ridicules aux plus dangereuses. Il est évident, tu ne trouves rien qui te permettra de filer entre les mains de ton père sans que celui-ci réalise que tu as menti. L'étranger, t'adresse de nouveau la parole, et tu ne peux pas t'empêcher de tendre tout de même une oreille pour écouter ce qu'il dit. Il dit ça d'une façon comme-ci il savait que tu avais une certaine peur de rentrer à la maison. Tu as du mal à croire qu'il ait eu cette clairvoyance, et tu ne sais pas s'il essaye simplement d'être sympathique avec toi, ou s'il essaye de tout simplement de te manipuler. Tu secoues légèrement la tête d'incompréhension, tu n'en reviens pas qu'il te propose de récupérer tes sacs sans gêne. À t-il conscience de qui il est pour toi ? Tu ne feras certainement pas confiance à une personne comme lui, tu ne sais rien de lui et sa sincérité, tu la mets vraiment en doute. Tu es très prudente, et il est difficile de gagner ta confiance, surtout aussi rapidement. Néanmoins, tu as la sensation d'être piégé, comme-ci qu'au final tu n'avais pas le choix. Dans un sens, même s'il te vole tes sacs, il t'aura rendu service indirectement, car il n'y aurait plus aucun risque que ton père te voit arriver avec des sacs en main. Et cela te permettra sans doute d'avoir un poids en moins sur les épaules.

En remarquant qu'il vient de lâcher un mollard au sol, tu redresses ta tête surprise par cette scène. Il vient de te prendre une nouvelle fois de court là. C'est totalement dégueulasse et vulgaire ce qu'il vient de faire. Cracher comme ça par terre, c'est vraiment malpoli. Décidément, il ne finira pas de te surprendre d'une façon choquante celui-ci. Tu serais presque à te demander s'il ne vient pas d'une autre planète tellement ses manies et son attitude sont a des années-lumières de ce que tu connais au quotidien. Malgré son juré étrange et malpoli, tu as du mal à lui donner la moindre petite confiance, tu le trouves vraiment culotté de te proposer une telle chose. Pourquoi il t'aide comme ça à ce point ? Tu trouves ça vraiment louche. << Que je vous confie mes sacs ? Votre drogue vous monte à la tête ou quoi ? Est-ce une méthode pour me voler ? N'essayez pas de m'avoir aussi facilement, mais de toute façon, qu'environ deux-cents livres de vêtements me passe sous le nez ne va pas changer le cours de ma vie. >> L'hésitation te submerge quand même au fil des secondes. Tu finis par vouloir de te débarrasser de ces sacs par n'importe quel moyen. Peu importe comment cela se déroule, tu serais même prête à les planquer dans une ruelle derrière une poubelle pour les récupérer le lendemain. Si cela t'évite d'avoir des ennuis avec ton père, tu es finalement prête à courir le risque. Néanmoins le souci qui s'impose, c'est s'il est réellement sérieux lorsqu'il te propose de te changer dans un immeuble. Il est cinglé ou quoi ? Tu ne vas certainement pas te dénuder un peu dans un simple hall d'immeuble, ou dans une cage d'escalier, ou encore même dans un sous-sol. Il t'a pris pour qui ? N'importe qui peu passer à ce moment-là et il est certain que tu n'irais pas te changer en sa compagnie. << Et.. vous voulez que je me change.. dans un hall d'immeuble ? Connaissez-vous cet immeuble au moins ? Cela n'est plus une astuce de voleur, mais bien une astuce de pervers mon grand ! Allez vous faire voir ! >> Tu hausses la tête encore une fois à son opposé. D'une manière à l'ignorer, tu ne veux plus l'entendre, mais tu es vite rattrapé par ton hésitation. Ça pourrait être si simple, tu pourrais au moins tenter le coup et diminuer le risque à ce que ton père comprenne ton mensonge. Tu soupires désespérée puis tu tournes ta tête en sa direction en étant pas sure de toi. << Rapidement.... Je dois me changer rapidement ! Avant que mon taxi arrive, je ne dois pas non plus le rater. Alors, on fait ça, vous allez surveillez, mais si je vous remarque en train de jeter un simple regard vers moi, je vous étripe compris ? Pour mes sacs, je ne vous fais pas confiance ! On verra. >> Tu es presque littéralement honteuse de devoir accepter ça. Et tu essayes avec autorité de mettre les choses aux claires avec lui ! C'est bien la première fois que tu comptes te changer rapidement dans un hall, peut-être sous les escaliers ? Répugnant, comme-ci que tu étais qu'une pauvre clocharde !! Ça te dégoûte, mais tu as la sensation que tu n'as pas le choix, car vu l'état de ta robe, ton père remarquera cela dès au premier coup d'œil. Et s'il le remarque, qu'est-ce que tu pourrais lui dire ? Tu ne sais pas, et tu préfères éviter ça, que de révéler que tu as été agresser car il est certain que cela finira à la justice. Oh, tu as bien pensée à aller porter plainte contre les deux voyous, mais tu n'es pas vraiment sure de devoir le faire. Tu as déjà été dans une affaire et cela a juste fini par dégrader ta santé, même si tu en es sortie gagnante de ta précédente affaire judiciaire, et que tu es certaine que tu t'en sortirais à merveille si tu décides de porter plainte. En tout cas, tu as bien l'impression que tu devras lui faire confiance aveuglement, sans le vouloir. Tu glisses ton sac jusqu'à ton coude, et tu te dresses pour récupérer tes deux sacs de fringues à tes pieds. Tu te lèves ensuite et te tourne vers lui en jetant un regard sur sa personne signalant que tu es pressée.  .   
 

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Kim Hojin

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptyMar 28 Mai - 22:42

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Tu vois bien que tu l'énerves et ça te fait sourire. Tu adores voir son regard furibond sur toi. Tu espères même qu'elle va en venir aux mains. Non tu n'aimes pas te faire frapper, oui tu sais encaisser les coups et ceux depuis très jeune. Oui tu es un bizarre, légèrement psychopathe. Les médecins trouveraient surement un nom compliqué à ton comportement, traumatisme sévère provocant des troubles de la personnalité. Peu importe, tu souris lors qu'elle te que tu n'as aucun droit de la juger. Elle s'emporte, te parlant comme à un chien et tu adores ça, tu as vraiment un pète un casque. En réalité personne ne te parle comme ça et les seules personnes qui le font ne disent plus grand-chose ensuite et certains ne sont plus là pour en parler. Seulement avec elle c'est différent, déjà c'est une fille, tu ne pourrais pas lever la main sur elle, sauf pour la remettre à sa place si elle dépasse les bornes mais ce n'est clairement pas le cas ici. Tu es capable de frapper des femmes, tu n'en es pas fier mais certaines ont pris de belles gifles. Sous le coup de la colère tu es capable du pire. Etrangement elle peut te dire ce qu'elle veut, tu ne le prendras pas mal, enfin pas au point de l'amocher gratuitement. Tu n'as rien répliqué à sa remarque, continuant simplement de la taquiner sur ses chaussures, lui donnant ouvertement des conseils.

Encore une fois sa réaction te fait rire, surtout lorsqu'elle te détaille de la tête aux pieds, remettant clairement en question ton look. Tu te moques bien de ce qu'elle pense de tes affaires, tu sais qu'elle doit te trouver poisseux, repoussant et laid. Il faut dire qu'elle élève les critères de la beauté avec son minois. Elle porte toujours son masque mais tu la trouves charmante, c'est son regard enflammé qui te plait le plus et ses manières de princesse. Comme lorsqu'elle tourne la tête avec désinvolture pour éviter de te regarder, comme si elle pouvait attraper une maladie rien qu'en pensant les yeux sur toi. Cette attitude t'aurait mise hors de toi si cela venait d'autres personnes, comme des fils à papa arrogant ou des pimbèches prétentieuse. Elle fait aussi partie de ces gens-là, mais tu n'as pas d'animosité envers elle, simplement car elle est la distraction de ta soirée. C'est toi qui l'a suivie pour t'amuser, tu n'as aucune mauvaise intention et il serait mal venu de te vexer alors que c'est toi qui la cherche. Pour toute réponse, tu as esquissé un large sourire en tirant sur ton join.

« Ok va y donne-moi tes conseils !! Ah non attends j'en ai rien à faire ! J'ai pas envie de ressembler à un pingouin en costume trois pièces. »

Tu ris à ta propre réplique, les costumes tu n'en portes pas, ou alors très rarement. Cela arrive quand tu dois te rendre dans une réunion tirée à quatre épingles ou alors que tu dois investir un bâtiment chic. Enfin généralement tu ne gardes pas longtemps un costume, c'est un one-shot, tu le mets, tu le tâches et tu le jettes. Le reste du temps il préfère les vêtements sans marque de distinction, sauf ton blouson en cuir qui affiche fièrement l'emblème de ton gang. Il t'arrive parfois de sortir à Londres, c'est uniquement pour ces occasions que tu peux passer autre chose qu'un jean noir troué et un t-shirt large. Bien entendu ton style reste à des années lumières de son monde, des pantalons en toile, des chemises et des mocassins hideux.

Tu vois que tu as fait mouche en mentionnant sa classe sociale. Cette réflexion n'est pas la goutte qui fait déborder le vase, mais elle réplique, malgré tout, avec une désinvolture non cachée. Elle se mentionne elle-même comme ayant réussi sa vie, capable de s'offrir ce qu'elle veut. Tu n'as pas ris à gorge déployé. Tu as pouffé de rire en tirant sur ton join. Tu n'as pas envie d'entrer en conflit avec elle sur le sujet. Tu sais bien qu'elle doit être persuadée qu'elle est heureuse, qu'elle ne manque de rien et que ta vie doit être triste et insipide. Toi tu sais que les gens riches ne sont pas forcément heureux et les pauvres pas les plus à plaindre. Toi-même tu ne te sens pas inférieur à elle. Tu n'as pas les mêmes principes de vie que la plupart des gens. Pour toi la réussite ne passe pas par un boulot stable, un compte en banque bien approvisionné, une belle demeure et une famille aimante. Tu es loin d'être malheureux dans ta situation, tu te trouves même très chanceux, libre de toutes contraintes que la société impose. Tu ne supporterais pas mener une vie tranquille, ce n'est pas fait pour toi et tu le sais.

« Comme si l'argent pouvait acheter le bonheur, pfff, tant mieux pour toi, continue de te bercer l'illusion...mais...tu veux un scoop, la vérité est souvent cachée sous le feu des projecteurs, alors que dans l'obscurité tout parait très clair. »

Tu esquisses un fin sourire, sachant bien qu'elle doit s'en foutre de ce que tu lui racontes. Elle doit se sentir supérieure avec son argent et tu ne lui en veux pas. Tu n'as surement pas les mêmes moyens qu'elle et cela ne t'empêche pas d'être heureux. Tu n'es pas du genre dépressif et ta vie tu l'aimes et tu ne la changerais pour rien au monde. Tu t'en foutes si parfois tu galères à acheter ta drogue. Tu t'en foutes si tu passes des jours sans manger et si tu dois te doucher à l'eau froide. Tout cela t'es bien égale car tu as des amis, ils sont rares, mais tu peux compter sur eux. Tu n'es pas certain qu'elle soit aussi entourée. Quand les problèmes arrivent, il n'y a que les vrais amis qui restent et toi tu sais sur qui tu peux compter. Tu as une famille, celle-ci n'est pas faite par des liens de sang, mais de quelque chose de beaucoup plus forte, que rien ne pourra jamais rompre. Cependant tu es honnête, il ne faut jamais dire jamais, surtout vu le milieu dans lequel tu évolues. C'est vrai que tu comptes les personnes qui te sont chères sur les doigts d'une main et cela te suffit à te rendre heureux les soirs ou tu n'as pas le moral, eux et la drogue que tu t'enfiles sans restriction. Alors oui tu es heureux comme ça et tu ne ressens pas le besoin de te justifier devant elle. Tu l'as même taquiné encore une fois, une énième fois. Elle va vraiment finir par t'en vouloir. C'est peut-être le but recherché, qu'elle se souvienne de toi, car toi tu vas te souvenir de sa répartie. Elle n'est pas comme les autres bourgeois qui prennent peur. Non elle te répond sans détour, capable de te lancer des piques et sa dernière a fait mouche, plus que tu ne l'as laissé paraitre.

Cependant un appel interrompe votre gueguerre et tu remarques bien qu'elle est totalement différent avec son père au téléphone. C'est bien ce que tu pensais, elle est sauvage et fougueuse face à toi, mais elle est bien incapable de tenir tête à son père. Tu t'en doutais, c'est souvent pareil avec les gens comme elle. Ils sont remplis de faux semblant quand ils se trouvent entre eux et totalement arrogant face au reste du monde. Tu vois qu'elle cherche un moyen de s'en sortir. Elle ne doit pas souvent mentir à son père et cela t'amuse de voir qu'elle en est capable; Finalement elle n'est peut-être pas si docile. C'est surement pour ça que tu lui émets une idée, voyant qu'elle en cherche une. Toi tu as l'habitude d'échafauder des plans d'urgences, des stratégies de bataille et d'improviser face à l'adversité. Il n'y a très peu de situation qui te font peur, en réalité aucune. Même être tenu en joue par une arme à feu ne t'arrête pas. Tu es inconscient du danger, tu l'appelles même souvent. Après tout il faut bien mourir un jour et si ça doit être demain et bien tant pis. Rien ne te retient ici, pas même ton meilleur ami, ton frère de cœur. Tu sais que tu lui manquera mais il continuera à vivre, avec ou sans toi, parce que vous êtes fait comme ça, il faut toujours avance, il n'y a que ça à faire dans la vie, jusqu'à la mort.

Tu vois bien que tu la dégoutes un peu plus en crachant au sol, ce qui te fait rire intérieurement. Dans un sens tu adores mettre à l'épreuve sa pudeur, la découvrant chaque fois un peu plus. A sa remarque tu exploses de rire.

« Tu crois vraiment que j'en ai quelque chose à foutre de tes fringues. Tu crois que je m'habille en fille le soir pour les trottoirs ou quoi. »

Tu prends quelques secondes pour calmer ton rire à cette idée.

« Tu te mets le doigt dans l'œil jusqu'aux coudes si tu crois que je vais les vendre. J'ai pas autant besoin d'argent que ça, crois-moi si tu veux…»

Tu as haussé les épaules en terminant ton join avant de le jeter dans une bouche d'égouts sur la route. Tu sais qu'elle va encore trouver cela impoli et tu n'en as rien à faire. Tu as juste dit ça pour lui donner une solution à son problème. Après tout c'est bien ça ton travail, résoudre les soucis. Tu es d'ailleurs plutôt doué. C'est vrai que tu n'utilises pas souvent la méthode douce, cela t'arrive en de rare occasion, seulement si c'est nécessaire et spécifiquement demandé. Sinon tu as la méthode brutale et violente, c'est un peu ta spécialité. Enfin tu n'as plus rien dit laissant le temps à la princesse de peser le pour et le contre. Elle n'a aucune raison de te faire confiance, toi-même tu ne te ferais pas confiance. Tu es presque certain qu'elle va refuser pourtant c'est bien la seule option qu'elle a, si elle veut éviter de rentrer dans cet état et avec ces sacs de shooping. Enfin toi ce n'est pas ton problème, tu as des soucis d'un autre genre, plus épineux et moins facile à résoudre.

Lorsqu'elle reprend la parole, tu poses ton regard sur elle en soupirant alors qu'elle mentionne ton idée comme un prétexte pour la détrousser ou pire. Tu lèves les yeux au ciel en soupirant.

« Tu penses vraiment que j'ai que ça a faire, j'ai pas besoin d'astuce pour baiser tu sais…surtout pas avec quelqu'un comme toi. »

Tu pouffeS de rire alors qu'elle se détourne comme perduE dans ses réflexions. Vraiment celle-là n'est pas comme les autres. Elle a vraiment cru que tu t'intéresses à son cul. En réalité les filles tu les collectionnes. Enfin non, tu trouves des partenaires régulières, de simples sex-friends que tu vas voir quand tu as besoin. Tu n'as pas besoin de payer pour du sexe, tu l'as fait quelques fois, juste pour voir ce que cela faisait. Enfin tu n'es pas près de recommencer et tu as déjà visité le Firemeat, seul endroit qui propose ce genre de service en ville. Tu ne t'attendais pas à trouver un lieu comme ça à Manfield et en même temps ça ne t'étonne pas. Enfin ce n'est pas le lieu que tu fréquenteras beaucoup, pour les coups d'un soir tu as tes habitudes, même à Manfield et en cas de besoin tu peux aller à Londres d'un coup de moto. Alors tu n'es clairement pas en manque. Elle a repris la parole, acceptant. Elle ne l'a pas dit, se refusant surement d'avouer que tu as raison et que ton idée n'est pas si stupide.

Tu as esquissé un léger sourire alors qu'elle s'est agitée, récupérant ses affaires en se levant. Tu secoues la tête en souriant, à la fois amusé de son attitude et satisfait qu'elle accepte ton conseil. Tu as attrapé ta planche et tu as emboîté le pas vers l'immeuble. Tu ne connais pas le bâtiment mais cela importe peu, tous les immeubles sont un peu faits pareil. Tu lui as tenu la porte pour qu'elle entre en premier. Tu l'as suivie et tu as rapidement détaillé le hall. Tu es le genre à repérer les accès et analyser la configuration des lieux, imaginant le reste des étages en jetant un œil à la cage d'escalier. Comme souvent, il y a un petit espace inutilisé sous les escaliers. Tu lui as indiqué sans un mot. Il n'y pas trente-six endroits où elle peut se changer et tu ne comptes pas d'amener plus loin. Tu t'es posté dos à elle, cachant un peu la vue que pourrait avoir quelqu'un qui entre. Tu as enlevé ton blouson pour le tenir tendu derrière toi.

« Dépêche-toi princesse, je peux voir la rue d'ici et je t'avertis si ton carrosse se pointe. »

Tu as gardé le regard sur la porte d'entrée, surveillant attentivement la rue. Tu n'as même pas tenté un regard vers lui. Cela ne t'intéresse pas. Tu aurais pu te retourner rapidement en la taquinant mais tu respectes son intimité. Comme tu l'as mentionné précédemment tu n'es pas un pervers et tu ne veux pas qu'elle te mette à crier dans le hall de cet immeuble. Alors cette fois ci tu ne joues pas, te contentant de surveiller du regard la rue tout en écoutant si quelqu'un descend par les escaliers, l'ascenseur ou montre par le sous-sol. Tu fais ça instinctivement, plus pour toi que pour réellement la prévenir. Tu sais que tu risques d'attirer les regards, toi plus qu'elle et tu n'as pas envie que les gens te répètent.
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Kitana Tsukanji

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptySam 1 Juin - 2:28

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Il est clair qu'à ton sens, il est inutile d'aller donner des conseils de look et de mode à une personne dans le style de cet étranger. Il est évident pour toi que cela ne changera rien, car un plouc reste un plouc à tes yeux, peu importe les circonstances. Tu auras beau lui donner des beaux vêtements très chics, ça ne lui irait pas du tout car c'est tout simplement pas fait pour lui. Quand tu vois sa manière vulgaire de parler, et son comportement répugnant, comme fumer dans un join horrible. Tu t'imagines qu'il est un cas perdu et rien ne pourrait le rendre élégant et chic. Qu'il ne croit pas non plus que tu souhaites le mettre comme un pingouin comme il dit. Tu n'espérais pas du tout qu'il vienne te supplier pour que tu le relook, tu n'es pas idiote et cela ne fait pas l'ombre d'un doute qu'il soit très satisfait de ses affaires actuelles, et tu es la première ravie de le laisser dans son style vestimentaire de pouilleux. Et par la même occasion, le laisser rapidement dans sa vie de bas étage, et à l'avenir, tu feras tout pour ne plus être face à ce genre de situation. À son commentaire absurde et ridicule, tu lèves un sourcil, presque exaspérée où d'une manière, il était bien évident qu'il se laisse emporter par le typique cliché du pingouin pour être bien habillé et chic. Il ne suffit pas simplement de porter un costume sur-mesure pour exprimer l'élégance. Il faut également les bonnes manières, et une attitude exemplaire et propre, ce qui n'est pas du tout son cas. << Croyez-vous réellement qu'il suffit de porter un costume ? Je n'étais pas sérieuse évidemment, personne ne peut rien faire pour vous. Vous pouvez enfiler les plus beaux vêtements, vous resterez affreux et repoussant. Puis vu que vous avez l'air de ne rien connaître... Étonnant... Être bien habiller ne se résume pas qu'aux costumes. Vous avez l'air d'un adolescent ravagé dans la délinquance, et loin d'un vrai homme charmant et classe. Le style vestimentaire résume bien la personnalité d'une personne... et pour vous. C'est repoussant. >> Qu'il se croit drôle, ce n'est pas ton problème, à tes yeux il est juste ridicule. Mais qu'il reste enfermer dans son monde médiocre, ce n'est pas ton problème non plus. Tu t'en fous complètement, car des personnes qui puent la délinquance et les mal-faits comme lui, tu estimes qu'ils doivent rester à leur place pour le bien de tous. Ils finiront par subir les conséquences, ça, tu n'as pas de doute alors tu imagines que celui-là va simplement finir derrière les barreaux ou à l'hôpital, et par préférence, à la morgue. Ça ne fera pas une perte pour ce monde qui est destiné aux riches et aux personnes importantes.

Tu as apparemment loin d'avoir tout vu, puisque tu crois rêver lorsqu'il se permet de te donner des leçons de vie. Du moins, tu le prends comme ça, et c'est très mal que tu reçois cela. Tu restes dans l'optique que tant qu'il y a de l'argent dans le compte en banque, le bonheur et la sérénité y sont au rendez-vous. Tu restes aveuglement focaliser que l'argent est la clé de la réussite et du bonheur, et que sans argent, on est rien. Ton cerveau te dicte que l'argent est la solution à tout les problèmes, mais au fond, ton cœur cherche à te faire comprendre que ce n'est pas tout le temps le cas. Tu as déjà été dans des situations où l'argent n'a pas suffit, du moins, une fois, en l’occurrence ta maladie qui te rends parfois malheureuse, et même avec tout l'or du monde, tu ne peux pas l'effacer par ce moyen. Néanmoins, jamais tu te permettras qu'une personne de te donne de telles paroles. Il est évident que tu continueras à te faire croire et à crier sur tout les toits que l'argent fait évidemment le bonheur. Sinon, quoi d'autres ? Même si tu te voiles un peu la face, tu ne penses pas que la misère et galérer dans la vie est synonyme de bonheur. Malgré tout ce que tu peux ressentir au fond de toi par des moments, tu ne voudrais pas une autre vie que le confort et la sécurité qu'offrent ton argent et ta cage dorée de ta vie actuelle. Pour rien au monde tu accepteras de changer le cours de ta vie, que tu baignes là dedans depuis que tu es née et il est vrai que tu n'es pas habituée à d'autres contextes de vie. Cela te convient. Tu as appris que l'argent était la seule chose utile et importante, même bien plus que les relations humains, que ça soit familiale ou amitié. Tu serais prête à vendre tes amis, et même ta famille pour avoir encore plus de fortune dans tes poches. << Vous voulez un scoop aussi ? Sous le feu des projecteurs s'illumine la vie où l'obligation de survivre est le confort d'avoir un avenir sain et d'avoir un compte en banque fortuné pour la sécurité. Dans l'obscurité, se cache ce que la vie et ce monde a rejeter avec mépris, et dont la mort rode comme une délivrance pour ces échecs... tel que vous. Alors évitez de me propager des paroles ridicules telle que l'argent ne fait pas le bonheur. C'est justement des misérables comme vous qui se donnent l'espoir qu'une vie réussite et qu'un bel avenir ne se résume pas à l'argent. Bien sûr que si ! Sans argent, vous ne pouvez rien faire et rien avoir dans ce monde. >> Tu étais pourtant sur le point de ne pas faire attention à ce qu'il vient de dire, mais finalement, cela a toujours été plus fort que toi de répondre lorsque tu te sens attaquer de la sorte. Du moins, tu te sens obliger de réagir lorsque tu es à des années-lumières d'être d'accord avec ce que tu entends. Lorsque des circonstances ne te plaisant pas, tu es dans l'obligeance de rectifier le tir pour ton bien-être sinon tu te sentirais avec un goût amer d'inachevé. Tu démontres bien que tu ne plaisantes pas avec l'argent et que surtout, tu es obnubilée par ça et que tu te fais une fixation sur une vie heureuse et saine, seulement grâce à l'argent. Ça a également toujours été le cas pour ton père et ça l'est encore aujourd'hui. Ton père n'est jamais satisfait de la somme d'argent qu'il gagne et veut toujours plus. C'est également ton cas, ton but dans la vie est bien d'avoir une tonne de richesse sans fin, et rien d'autre. Tu veux en sois rendre fière de ton père.

Suite à ton coup de fil avec ton père, même si tu attendais à l'appel de ton père avec crainte, tu es un peu pris par la précipitation et la peur de la situation. C'est la première fois que tu as désobéi à ton père. Du moins, la première fois que tu as fait quelque chose sans son autorisation. C'est également la première fois que tu lui mens de la sorte. Évidemment, tu lui as déjà menti, tu as déjà fait quelque chose sans son autorisation, à savoir ton histoire avec ton ex-petit ami. Tu as malicieusement caché ta relation avec cet homme à l'époque, et également le fait que tu as menti en ajoutant des éléments pour mettre ce garçon dans le pétrin sombre, lorsque tu as été agresser sauvagement par ce même garçon. Ton père croit par exemple que tu as attrapé ta maladie par le système d'une agression sexuelle et des attouchements ont conduit à cela. Même si tu as réellement été tabasser par ce garçon, dont aujourd'hui il ne te traverse même plus l'esprit tellement il a été littéralement éliminé de tes pensées et de tes souvenirs. Tu as monté cruellement de toute pièce ces détails dans le simple but de vengeance pour faire souffrir ce garçon, qui t'a servis un temps de petit ami. Alors qu'en réalité, jamais tu l'as aimée. Tu as simplement été faible dans une période où tu souffrais certainement de ta vie écrite d'avance comme dans un conte de fées, mais sans être réellement maîtresse de ton destin. Tu avais simplement besoin d'un réconfort différent de ta famille, du moins de ton frère. Tu voulais dans un sens écouter ton cœur, et sortir de ton train de vie si parfaite et agréable à première vue. Mais tu t'es bien foutu le doigt dans l'œil, car de ta nature, tu as très bien réalisé que tu n'avais rien à faire dans ce manège ridicule, et que tu devais vivre à pleins temps ta vie dont tu es destinée, sans te perdre en chemin par faiblesse. Tu as en sois, jamais été mis face à une situation où tu dois prendre des décisions rapidement, et dans la précipitation, tu es certainement vite perdue. Pour cette raison, tu ne sais absolument pas quoi faire pour que ta séance shopping, qui s'est mal terminée en étant la cible de deux voyous, reste cacher, et que ton père continue à croire que tu as eu ta consultation au médecin aujourd'hui. Tu as bien été réticent à l'idée que celui qui t'a sauver, te confie des solutions. Tu comprendras jamais pourquoi il fait tout ça pour toi, tu n'espères vraiment pas qu'il a des mauvaises idées derrière la tête, car cela t'étonnerait beaucoup qu'il fasse tant par bonne volonté. Tu hallucines lorsqu'il éclate de rire, tellement, que tu ne peux t'empêcher de te décaler un peu, encore plus de lui. Heureusement que tu portes un masque et que vous êtes à l'extérieur, cela t'évite de sentir son air toxique lorsqu'il se met à rire de la sorte. Tu imagines que son dioxygène doit contenir pleins de saletés. Il pourrait te mettre encore plus malade que tu l'es déjà rien que par le fait qu'il respire. Ça te dégoûte, et tu pries encore plus pour que ton taxi arrive le plus rapidement possible. D'ailleurs, cette fois-ci, tu ne prends pas la peine de lui répondre. Visage à son opposé, tu te contentes de rouler des yeux discrètement, car tout ce qui sort de sa bouche, tu trouves cela ridicule à un point. En sois, cela ne t'étonnerais même pas de le voir habillé en fille pour faire les trottoirs, les gens de son genre font bien des choses répugnantes et étranges pour toi, alors bon.

Il réplique de nouveau en signalant qu'il n'est pas autant dans le besoin. Tu ne réponds pas non plus, tu restes de marbre, à observer la route, ne remarquant pas du tout qu'il jette son join dans une bouche d'égout. Tu ne crois pas un mot de ses paroles, tu penses dur comme fer qu'au contraire, il a bien besoin d'argent. Tu le sens dès que tu poses ton regard sur lui. En même temps, tu as tellement d'argent et que tu peux t'offrir tout ce que tu souhaites. Qu'il suffit que tu voies une personne qui galère juste un peu, même en fin de mois. Pour constater que le manque d'argent est réel, et qu'au contraire, une belle somme fera sans doute beaucoup de bien à ces personnes. Mais ce n'est évidemment pas toi qui bougeras le petit doigt pour ces personnes. Pour quelle raison ferais-tu ça ? Par bonne volonté ? Visiblement, contrairement à lui, les bonnes actions ce n'est clairement pas pour toi. Tu n'es pas fait de ce bois, et ça le restera telle l'égoïste que tu es. Il est certain que si les rôles auraient été inverser avec lui, tu n'aurais même pas bougé le petit doigt pour lui venir en aide ou pour lui porter secours. Du moins, il a l'air de n'avoir pas besoin d'aide si il se fait agresser, mais si jamais tu l'aurais retrouver mal au point, ou si tu l'aurais croiser dans la rue comme ça dans une galère comme toi tu es actuellement avec ton père, tu n'aurais pas fait attention à ça. Dans ses propositions, tu t'imagines pleins de scénarios dans ta tête, comme une tactique pour te voler, ou même une tactique pour te relooker comme un pervers lorsqu'il te propose de te changer dans un hall d'immeuble, comme-ci que c'était naturel et normal pour lui. Il est clair que tu n'en reviens pas lorsqu'il te propose une solution aussi.... à vrai dire, tu n'as pas vraiment de mot pour décrire ça. Tu serais presque à penser qu'il te prendrait pour une fille facile, capable de te dénudée, même un simple bout de peau de ton épaule avec le premier venu ! Tu es tellement pudique, que même dévoiler une épaule face à un étranger peut te mettre littéralement mal à l'aise. Et il est clair que tu es persuadée qu'il profitera de la situation pour poser son regard sur toi. Sans langue de bois, tu mets bien tout les hommes de son espèce dans le même sac, et tu es certaine que son espèce profiterait de la situation avec une beauté comme toi. Sa réplique te laisse presque bouche bée, littéralement sous le choc, d'une manière, qu'il emploie de telle propos aussi vulgaire et déplacer. Tu prends même le temps de jeter un regard très repoussant et dégoûter vers lui, laissant un silence pendant plusieurs secondes. Il semble qu'il ait pris tes propos d'une manière différente, et tu tiens à rétablir les briques. << Je... Je disais simplement ça par crainte que vous me regardiez simplement trop en profondeur. Pas autre chose, arrêtez de rêver. >> Tu grimaces frustrée, qu'est-ce qu'il est malpoli, il a été élever de quelle manière ? Tu te demandes vraiment, même si tu te doutes qu'il s'agit d'une personne mal élevé avec aucun manière. << Évidemment surtout pas avec quelqu'un comme moi. Les seules femmes que vous pouvez sauter sont des cruches prostituées justement. Quelle gente dame voudrait se salir avec quelqu'un comme vous ? Franchement. >> Tu hausses des épaules, préférant rapidement éviter de partir sur un tel sujet car c'est une telle génance. Vraiment, les femmes qu'il pourrait avoir dans son lit ne te regarde pas et tu t'en fous royalement. Mais tu imagines bien que cela peut être que des filles qui ne sont pas du tout respectables. Néanmoins, tu montres dans le ton de ta voix que tu es un peu gênée de parler de ça naturellement, et tu trouves ça répugnant qu'il ait pris le sens de ta phrase dans le sens qu'il a dévoilé. Cela confirme que c'est un pervers obsédé à tes yeux.

Tu hésites vraiment à accepter ses solutions, après ce qu'il te dit, tu doutes vraiment d'être en sécurité en partant en sa compagnie dans un hall d'immeuble. Tu es certaine qu'il va profiter et que c'est simplement pour se jouer de toi. De ce fait, tu ne veux pas t'exposer à ce risque, mais malgré tout, tu as la sensation que la tyrannie de ton père te fout bien plus les chocottes qu'un regard d'un pervers sur toi. Ou même qu'il en profite pour te voler ou peu importe. Ce sont des onces d'hésitation, où sous le coup de la pression et de la précipitation, tu finis malgré tout par te fiée à lui, ou du moins de lui faire confiance totalement aveuglement. Tu ne sais pas dans quoi tu t'embarques, et tu as juste la sensation que tu vas le regretter. Tant pis, s'il cela se passe mal, ou si il porte le moindre regard sur toi, un coup de talon en fourbe, bien placé dans son entre-jambes, devrait calmer rapidement ses ardeurs. Dans le pire des cas, si jamais une personne passait par là, il sera facile pour toi d'effectuer ton cinéma. Entre un mec qui a l'air d'un voyou, et une jeune fille qui a l'air inoffensif et innocente, qui l'inconnu aurait tendance à croire et à protéger ? Tu refuses d'admettre que ses solutions peuvent te sortir d'un sale pétrin, d'autant plus que même si tu as fini par accepter, tu restes sur tes gardes en sa compagnie. Tu n'as pas de temps à perdre, alors tu espères faire ça rapidement. Tu t'es levée du banc, en récupérant tes sacs à tes pieds. Mais quelques secondes après t'être levée de ce banc, tu as comme la sensation d'avoir le tournis soudainement. Sans doute parce que tu t'es levée bien trop rapidement et d'une manière brusque. Encore une fois, trop pressée par la situation, que cela en fait même accélérée ta tension et ton stress. Tu clignotes simplement plusieurs fois des yeux, et tu respires un bout coup des narines silencieusement pour reprendre tes esprits. Tu fais comme-ci de rien n'était néanmoins, et tu ne dis pas un seul mot alors que sans vraiment l'attendre, tu pars à rapide pas vers l'immeuble qu'il t'a indiqué. Qu'il ne rêve pas non plus, tu évites le plus possible d'être en sa compagnie, tu ne veux pas que les passants t'imaginent avec lui. Hors de question d'être trop près de lui. Néanmoins devant la porte du hall en question, tu dois l'attendre correctement, car tu n'as pas les clés de ce hall et tu te vois très mal sonner à l'interphone et dire qu'une princesse doit entrer dans ce hall à tout prix. Même si au fond, tu ne te gênerais pas. Finalement, c'est lui qu'il ouvre la porte, et tu n'as pas remarquer de quelle manière il a pu ouvrir le porte du hall de cet immeuble. T'as juste l'impression qu'il a fait ça par magie, mais peu importe, tu n'as pas que ça à faire et avant d'entrer à l'intérieur du hall. Tu jettes un coup d'œil soutenu en direction de la rue et de la route pour essayer d'être rassurée que ton taxi n'est pas arrivé. Il n'est pas encore arrivé à première vue, et tu entres à l'intérieur du hall sans attendre une seconde de plus.

À l'intérieur du bâtiment, tu fronces légèrement les sourcils en observant rapidement le hall d'entrée. Tu te demandes réellement comment tu peux te changer dans un tel lieu qui n'a rien d'intime. N'importe qui peut descendre les escaliers, n'importe qui peut sortir de l'ascenseur ou alors n'importe qui peut arriver par la porte d'entrée. Tu finis même par croire que tu as vraiment été stupide de croire que ses propositions étaient des bonnes solutions, mais tu réalises que c'est totalement stupide ! Tu ne sais pas combien d'étages contient cet immeuble, mais tu as d'abord comme idée de te changer à l'intérieur de l'ascenseur pendant que lui s'amuserait à appuyer sur tout les boutons pour faire tout les étages le temps que tu te changes correctement. Évidemment, qu'il ait aussi son regard collé aux boutons de l'ascenseur. Finalement, il t'indique le sous escaliers de la cage d'escalier, et tu le remarques. Peu importe, tu es vraiment prise par le temps et tu veux rapidement passer ce moment désagréable. C'est vrai que c'est un coin plutôt bien caché, alors tu te positionnes dans l'espace sous les escaliers, avec beaucoup de retenue, en grimaçant. Tu imagines que c'est particulièrement sale comme espace, et même si cela ne se voit pas en particulier, excepté quelque brin de poussières, tu te forges cette idée. De toute manière, tant dont il ne s'agit pas de ta chambre, ou de ta villa, tu ne te sens pas confortablement et tu repousses chaque endroit. Immédiatement, tout de fois, tu déposes tes sacs au sol, ainsi que ton sac à main même si tu aurais préférer éviter de poser ton beau sac en cuir, malgré son sourire, sur ce sol pas propre à ton sens. Tu ne voulais pas le lui confier non plus, évidemment que non ! Ton sac à main, c'est ton petit jardin intime en somme, et personne ne s'en rapproche sinon tu sors les griffes et les crocs. Une fois tes sacs posés, tu jettes immédiatement ton regard sur lui pour constater ses agissements. Il tend son blouson et sans le remarquer, cela te fait un peu sourire d'amusement. Tu retires ainsi ta veste soyeuse en laine lorsqu'il t'annonce de te dépêcher. Il n'a pas tord, tu dois te dépêcher rapidement ! Tu viens ranger ta veste dans l'un de tes sacs et tu profites pour choisir des vêtements. Tu n'as pas non plus achetée des tonnes de vêtements, mais lorsqu'il s'agit de s'habiller, tu as tendance à prendre ton temps et à mettre des heures à choisir tes vêtements du jour. Fort heureusement, là, tu restes dans l'optique que le temps est compté, alors tu prends un peu les premiers tissus qui te passent sous la main. Enfin, pas vraiment, tu es d'abord tombée sur une nouvelle robe, mais tu n'avais pas envie de mettre une nouvelle robe alors tu es partie mettre ton nez à l'intérieur de ton second sac. C'est un beau jean chic blanc comme neige que tu sors en premier de ton sac. Tu soulèves un peu ta robe, afin de retirer tes talons et tu ne peux pas t'empêcher de le surveiller avec précision. Mais visiblement, tu t'es tromper sur toute la ligne. Il n'a pas l'air de profiter de la situation, et laisse son regard bien porté vers la porte d'entrée, et reste bien dos à toi. Tout de fois, tu continues à le surveiller de coup d'œil constamment. Une fois tes talons retirés, tu te met limite sur la pointe des pieds pour éviter de toucher bien trop la surface de ce sol ignorant. Tu pourrais tellement perdre l'équilibre à tout moment, tellement tu es sur la pointe des pieds mais heureusement que tu as été une excellente danseuse de ballerine et qu'ainsi, tu sais garder l'équilibre.

Surveillant du coin de l'œil chacun de ses faits et gestes, tu enfiles le plus rapidement possible ton jean sous ta robe, en faisant extrêmement attention à ne pas déjà le salir par exemple. Tu es tellement millimétré que tu y arrives avec brio, mais tu ne fermes pas encore les boutons du jean. D'ailleurs, lorsque tu as enjambée pour enfiler ton jean, tu as dû tout de même vaciller à plusieurs reprises, mais tout en gardant ton équilibre. Tout de fois, tu as bien été à deux doigts de prendre ton sac à main à tes pieds et te vautré lamentablement au sol. << C'est pas vrai... >> Murmures-tu à toi-même alors que tu as bien remarqué que tu as failli te casser la tronche. Fort heureusement, cela ne s'est pas produit et tu as pu enfilée ton jean blanc sans accident. Tu continues à le surveiller du coin de l'œil, alors que cette fois-ci tu continues à défiler rapidement en retirant ta robe, où tu l'as laisse tomber à tes pieds. Pas grave si elle tombe au sol, elle est déjà salie de toute manière. Tu es assez rapide, alors tu ne le fais pas trop attendre pour te changer et visiblement, aucune personne semble se pointer et c'est tant mieux. Tu remarques évidemment qu'il te respecte dans le sens où il tente aucun regard en ta direction. Tu es très surprise de ça, à moins que tu as laissé échapper un moment d'inattention, mais cela est peu probable vu comment tu le surveilles. En tout cas, tu apprécies, alors que tu te couvres rapidement d'un chemisier tout aussi blanc neige que ton jean. Des vêtements certainement plus classiques que ta robe typique bourgeoise, dans un sens, mais bien de grandes marques, de grandes qualités, et ainsi de grands prix. Tu boutonnes bien tout correctement, en entrant ton chemisier à l'intérieur de ton jean où cette fois-ci, contrairement à ta robe, cela dessine bien tes chaleureuses formes.

Le plus mal est passé, tu t'es bien changer et ça seulement en une bonne poignée de dizaines de secondes, sans compter les secondes de plus que tu as mis pour choisir ta nouvelle tenue, sans vraiment choisir. Tu enfiles rapidement tes Stuart Platinum à tes pieds, en refermant avec soin la boucle. << J'ai terminée. >> Tu lui signales que tu as terminée de te changer, et sous ton étonnement, ça s'est déroulement sans encombre. Tu apprécies qu'il en quelque sorte honoré ses paroles, en jouant le rôle de guet à la perfection. Tu ne sais pas si réellement ça ne lui a pas traversé l'esprit de détourner son regard vers toi pour se rincer l'œil rapidement. Mais vu qu'à ton sens les hommes sont tous pareil, tu te forces à penser que ça lui a bien traversé l'esprit, et qu'il s'est juste retenu. En tout cas, après avoir enfilé tes talons, tu récupères ta douce veste en laine pour la remettre sur ton dos, ou par la même occasion, tu mets ta robe dans le second sac qui est vide. Tu replaces avec soin tes cheveux, en retirant notamment tes mèches contre ta nuque à l'intérieur de ton col du chemiser. Puis tu poses ton regard rapidement sur lui. Tu fermes bien ta veste en laine jusqu'à ton cou, puis tu te baisses délicatement pour récupérer ton sac à main. << Le taxi n'est pas arrivé ? >> Tu lui demandes cela même si tu penses qu'il t'aurait prévenu s'il était arrivé. Mais tu tiens à te rassurer, alors que tu récupères tes deux sacs de courses, un avec ta robe sale, et l'autre avec le reste de tes nouveaux vêtements achetés. Tu t'approches de lui, sans porter ton regard sur lui et une fois proche de lui, tu lui tends délicatement tes deux sacs de courses. << Vous voulez que je vous confie mes sacs ? Très bien. Dans ce cas, vous pouvez déjà me les porter..... "Serviteur" ! >> Tu hausses le menton d'un air hautain accompagné d'une belle attitude de princesse arrogante. Néanmoins, le terme "serviteur" n'est pas vraiment sérieux dans ses largeurs. Mais plus là pour apporter un peu d'humour dans cette conversation. Oui, c'est bien la première fois que tu as décidé d'utiliser de l'humour afin de le charrier en plaisanterie même si cela ne se voit pas des masses sur tes expressions car tu as toujours l'air arrogante et moqueuse. Mais dans un sens, c'est certainement ta façon de le remercier de ne pas être un pervers obsédé, même si tu as du mal à y croire. Après tout, il reste un plouc vulgaire et insolant dans toute sa splendeur !   
 

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Kim Hojin

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptyDim 2 Juin - 13:02

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an aggression




Tu ris franchement lorsqu'elle mentionne que l'habit ne fait pas le moine. Elle ne peut pas savoir comme elle a tort. Enfin c'est ce que tu penses, il suffit d'habiller quelqu'un d'un costume, de lui donner deux trois astuces pour paraitre et le tour est joué. N'importe qui peut jouer un rôle, enfin peut être pas n'importe qui c'est vrai, mais tu l'as fait et tu sais que ce n'est pas si dur d'entrer dans le milieu de la bourgeoisie. Il suffit d'avoir un accès, une connaissance et un passé fictif impossible à vérifier, un peu comme un flic qui serait en couverture. En réalité la vie est remplie de faux semblant et même le plus beau des costumes peuvent cacher les plus beaux enfoirés de la terre. Inversement tu as déjà vu des clochards plus généreux que certains secouristes. Enfin elle a l'air persuadé du contraire en mentionne qu'un gentil homme doit être bien habillé et classe, ce qui n'est clairement pas ton cas. Tu hausses un sourcil surprit par les mots qu'elle te balance : affreux, repoussant, un adolescent en somme. Tu en viens à rire aux fils de ses paroles. Elle a l'air tellement en colère et prête à t'insulter gratuitement simplement pour te faire comprendre que tu es inférieur. Malheureusement pour elle, tu ne te sent pas inférieur, ni supérieur. Tu sais ce que tu vaux, tu connais tes limites, elles sont inexistantes. La seule barrière qui peut t'arrêter c'est les menottes d'un flic et encore la dernière fois que c'est arrivé, tu t'en es bien sorti. Tu sais que tu n'es pas intouchable, tu connais tes faiblesses et tu sais surveiller tes arrières. En somme ton style vestimentaire t'importe peu, il est pratique, le sang se voit moins sur le noir. Tes bottes font mal et c'est ce qui compte. Elles te tiennent bien la cheville et te permettent de courir et de faire de la moto. Il n'y a que ta veste que tu portes plus par obligation, bien que tu en tires une certaine satisfaction. Tu apprécies que les gens sachent que tu fais partie d'un gang, cela t'évite de te faire aborder par des andouilles. Bon c'est vrai que cela attire la police, mais tu t'en accommodes sans mal. Tu n'as aucune fierté d'être dans le gang. En réalité tu as suivi ce chemin car c'est le seul qui te permettait de manger. La rue t'a pris sous son aile et elle t'a dirigé vers les bas fond du monde illégale. Alors c'est vrai que ton style, tu t'en moques et tu te fous de ce qu'elle peut penser de toi. Sa répartie de fait rire plus qu'elle ne te blesse. Enfin d'autres se seraient pris une baffe pour moins que ça, mais tu la cherches, pas étonnant que tu la trouves.

Lorsqu'elle réplique sur la vie, l'argent et le sens qu'elle donne à tout ça, tu soupires sans gêne. Elle a tellement l'air de croire en ses paroles que c'est pathétique. Tu as cru qu'elle était intelligente mais il faut croire que l'argent, qui lui a permis d'étudier, ne lui a pas donné les fondements de la vie réelle. Elle est coincée dans sa bulle d'illusions. Cependant elle n'a pas totalement tort sur toute la ligne, dans les bas fond de la nuit règne la misère. C'est elle qui fait la loi, qui dicte les règles et la seule qui compte c'est survivre et pour survivre il faut de l'argent. Pourtant dans ton cas l'argent n'a jamais été synonyme de bonheur, ou très peu. Tu as vécu tes plus moments de bonheur alors que tu n'avais pas un sous, même pas pour manger. Cette période est loin. C'était lorsque tu étais enfant, quand tu as rencontré ton meilleur ami. A cette époque tu n'avais rien pourtant tu n'as jamais été aussi heureux. Ensuite sont venues les obligations de la vie, lorsque vous avez rejoint le gang et commencer à essayer de gagner de l'argent avec ton frère de cœur. C'est surement la pire erreur de ta vie, tu aurais mieux fait de rester pauvre, quitte à mourir de faim. A tes yeux l'argent est bien le mal de ce monde, c'est aussi ce qui permet au monde de tourner. Tu hausses les épaules à sa dernière réplique, elle pense que sans argent rien n'est possible. Tu ne sais pas qui est le pire entre elle et les pauvres qui pensent comme elle, cherchant à tout prix à avoir une situation stable, un compte en banque en pensant que c'est synonyme de réussite et de bonheur. Tu n'as pas envie de débattre avec elle, tu es persuadé qu'elle n'est pas prête à entendre ce que tu penses sur le sujet. Tu es même certain qu'elle ne sera jamais capable de comprendre ta façon de penser. Tu pourrais lui parler de tes petits bonheurs, des fois ou tu as réellement l'impression d'être libre, le sourire aux lèvres, affranchit de toutes contraintes. Tu es certaine qu'elle n'a jamais ressenti ça et tant pis pour elle, qu'elle reste dans sa cage dorée en pensant que c'est ça la vie.

Pendant la conversation avec son père, tu comprends qu'elle a plusieurs visages, comme tous les bourgeois hypocrites. Tu l'as imaginé fougueuse jusqu'à bout des ongles mais tu vois bien qu'elle est conditionnée par le monde dans lequel elle évolue, bridée par des principes et des faux semblants mal placés. Tu vois qu'elle est bien différente avec son père au téléphone et cela te fait lever les yeux au ciel. Depuis le début elle t'intrigue, son air sauvage ne colle pas avec son statut de princesse. C'est ce qui t'attire chez elle, seulement tu comprends avec ses répliques précédents et sa réaction perdue après sa conversation téléphonique qu'elle est tout simple une bonne actrice. Elle a beau avoir l'air fougueuse, elle reste une fille hors de la réalité, jouant avec le monde, les gens et surement avec elle-même. Tu es presque triste pour elle. C'est peut-être ce qui t'a poussé à lui proposer une solution, voyant qu'elle est incapable de réfléchir face à un problème simple. Tu as bien l'impression qu'elle est capable de te citer de la littérature, ou de lire une partition, mais elle est désarmé face à la vie réelle. Enfin tu ne veux pas la porter à bout de bras dans le hall, surtout pas pour qu'elle crie au viol et rameute tout le quartier. En vrai elle pourrait essayer de te faire passer pour le méchant. Tu es généralement le méchant, tu n'as pas le gentil mec courtois et poli. Tu es loin du standard et même si elle te pousse face à une bande de loup tu es sûr de ressortir chef de la meute. Tu as plus d'un tour dans ton sac et visiblement tu es plus réactif qu'elle face à l'imprévu.

Tu as éclaté de rire et tant pis si elle se décale encore de toi. Sa réplique, surtout sa mention de regard profond te fait mourire de rire. Elle n'est réellement pas comme les autres, dans ses expressions, dans son attitude et toutes ses mimiques. Elle grimace, enfin tu crois vu que tu ne vois que ses yeux. Lorsqu'elle traite les femmes qui ont pu t'accompagner, tu secoues la tête en soupirant. Elle se croit réellement supérieur et tu n'en reviens pas. Si elle savait que tu ne touches pas aux prostituées, tes partenaires sont consentes et bien heureuses d'ailleurs. Si tu es quelqu'un de violent au quotidien ce n'est pas toujours le cas au lit. Tu es tout de même surprit par le langage qu'elle utilise lors de cette tirade, comme si elle s'emportait sans le vouloir. Peut-être que le sujet la dérange, peut-être qu'elle se fait des idées sur ta personne. Non ça tu en es sûr, elle te prend pour un voleur, pervers qui peut lui transmettre la rage. Et ça te fait rire, tu n'as pas besoin de l'impressionner, ni de te justifier. Tu ne sais rien de sa vie et tu la juges, c'est normal qu'elle fasse pareil. Tu as haussé les épaules et pour seulement réponse tu as pouffé de rire en ajoutant.

« Si tu savais princesse le nombre de gente dame que je me lève. »

Tu n'exagères rien, il te suffit d'aller dans un bar pour trouver une gentille femme et contenter tes plaisirs. Tu n'as jamais eu besoin de trop forcer et tu ne t'es jamais attaché, préférant largement les coups d'un soir. De toute façon vu ta vie tu n'as pas envie d'impliquer quelqu'un dans tes problèmes. Tu sais que les personnes qui se sont proches sont en danger à cause de toi. D'abord car tu peux être violent, mais aussi parce que ton style de vie implique le danger. C'est peut-être pour ça que tu préfères avoir peu d'amis, pour éviter qu'ils soient tués par ta faute. Tu te fais déjà assez de souci pour ton meilleur ami, pas besoin d'ajouter une fille à l'équation. Lorsqu'elle a repris la parole c'est pour accepter ta proposition et tu as souri. Tu t'es levé pour l'accompagner devant l'immeuble, tu as remarqué qu'elle a eu un temps d'arrêt, peut être un temps de réflexion, peut être autre chose. Tu t'en moques tant qu'elle ne te fait pas un malaise ou un scandale. Tant pis pour elle si elle décide de se rétracter, tu as bien cru que c'est ce qu'elle allait faire.

La porte de l'immeuble ne t'a pas posé trop de souci, tu as des doigts de magicien et l'immeuble que tu as choisi n'est pas verrouillé par un système de badge magnétique, c'est bien pour ça que tu lui as mentionné celui-ci et pas un autre. Tu as avec toi un kit de crochetage, c'est le matériel de base de tout bon voleur. Cela fait des années que tu as appris à t'en servir, même les menottes des flics ne te résiste pas. A cet effet, tu as toujours une épingle dans une poche. Tu sais que ton kit ne passe pas à la fouille, et cette petite épingle t'a sauvé plusieurs fois la mise lorsque tu étais à Londres. Pour l'instant ça ne t'es pas arrivé à Manfield et c'est tant mieux, tu n'as pas envie d'être repéré par la police et traquer comme un criminel. Tu apprécies de pouvoir circuler librement dans les rues et pour l'instant tu en profites. Tu sais que cela ne durera pas, à la première erreur tu vas finir dans les fichiers de la police et ils vont ensuite toujours te contrôler, te fouiller et essaye de te piéger. Tu as l'habitude, mais tant que tu peux faire sans, c'est bien. Ensuite tu sais que cela ne durera qu'un temp, dès que le gang aura assez d'influence ici, des pots de vin seront versés et tu pourras retrouver le gout de la liberté. Si tu peux éviter d'être repéré et sauter l'étape compliquée ça t'arrange.

Pour l'instant tu t'en sors bien car Manfield n'a rien à voir avec Londres. Tu as bon espoir que l'installation du gang se passe bien, d'ailleurs à l'heure actuelle c'est le cas. Les dealer locaux n'ont pas posé de souci, le gang a déjà racheté certains commerces et mis dans sa poche quelques personnes influentes. Le trafic dans la rue commence à s'organiser et même la revente dans le milieu bourges. Elle ne doit même pas se douter que la drogue circule aussi dans son monde et tu n'es pas étranger à cela. Tu n'es pas dealer c'est clair mais c'est bien toi qui a imposé la loi à certains. Pour cela il a fallu que tu tabasses quelques fils à papa pour faire céder des résistants, maintenant que c'est fait, l'affaire commence à rouler.

Tu n'as donc pas mis longtemps à pénétrer dans l'immeuble, tu n'as pas la prétention d'être expert mais tu sais ouvrir à peu près toutes les portes, comme les voitures. Certains modèles sont encore inaccessibles à cause des nouvelles sécurités et encore que le gang peutte fournir ce qu'il faut si nécessaire. C'est bien ça le problème parfois, le gang a beaucoup de moyens, beaucoup plus que toi seul. Tu sais que si un jour tu lui tournes le dos cette influence deviendra négative pour toi. Tu n'as rien signé et pourtant tu es lié à la vie à la mort à l'organisation. Tu es maintenant trop impliqué pour pouvoir la quitter sans complication. En réalité tu ne pourras jamais en sortir, du moins pas vivant tu le sais. C'est pour ça que tu as un plan B, un plan de secours si jamais les choses tournent au vinaigre. Tu ne veux pas te retrouver le bec dans l'eau si le gang vient à couler. Tu as de l'argent de côté, un passeport sous un faux nom et les moyens de refaire ta vie ailleurs. Tu as vite compris qu'il te fallait un parachute en de chute justement. Ton meilleur ami a le même, c'était votre idée et vous l'avez mise en place aux fils des années. Pour l'instant tu ne ressens pas le besoin de disparaitre et l'organisation se porte bien, seulement le jour où ça sent le roussi tu seras prêt.

A l'intérieur et une fois ton inspection rapide terminé, tu lui as indiqué le dessous de la cage d'escalier. C'est l'endroit le plus discret qu'elle puisse trouver. Certes l'ascenseur était une option mais tu n'as pas envie de prendre le risque qu'elle se retrouve au troisième, face à un petit vieux qui ne comprendrait pas ce qu'elle fait là. Tu t'es posté devant elle en lui demandant de se dépêcher. Tu n'as pas envie qu'elle rate son taxis, enfin ça ne serait pas ton problème mais tu sais qu'elle va surement faire une crise et avoir un peu plus de soucis avec son paternel. Tu pourrais la ramener sur ton skateboard seulement tu es certain qu'elle refusera de monter et de se coller à toi. Alors autant qu'elle monte dans ce foutu taxis. Tu n'as pas essayé de te tourner pour l'observer. D'abord car cela ne t'intéresse pas, réellement tu n'es pas un voyeur, des femmes tu en as quand tu veux et tu ne vas clairement pas t'embêter avec cette princesse qui te trouve repoussant, affreux et gamin. Si tu t'occupes d'elle c'est ce que n'a rien de mieux à faire ce soir. Tu n'as aucun contrat de prévu, pas même une petite extorsion. De toute façon, tu travailles principalement une fois la nuit tombée, en journée soit tu dors, soit tu participes à des surveillances ou des plans d'intimidation. Bref tu n'as pas toujours un emploi du temps rempli. Lorsque tu étais à Londres, tu avais des occupations et quand tu n'avais pas envie de sortir, tu restais dans ton squat, jouant du piano en attendant ton meilleur ami. A Manfield c'est différent, tu n'as aucune envie de rester à la planque du gang, il y a trop de monde et trop de regards déplaisants. Si tu t'écoutais tu distribuerais quelques claques. Il vaut mieux que tu ne te mêles pas trop aux autres mecs, sauf pour affaires. Du coup tu te retrouves souvent à parcourir la ville à la recherche d'une occupation et aujourd'hui c'est elle.

Tu ne connais pas son nom et ça ne t'intéresse pas, dans tous les cas tu continueras à l'appeler princesse, ce surnom va lui coller à la peau un bon moment. Tu l'entends qui peste, mais tu ne te retournes pas, il n'y a pas eu de bruit de chute, ni de sons signifiant qu'elle s'est cognée quelque part. Tu soupçonnes qu'elle galère juste à passer ses fringues et ça te fait sourire. Tu t'es permis de la taquiner. Tu as beau respecter son intimité, c'est bien la seule chose pour laquelle tu te trouves un peu de gêne.

« Ben alors princesse, tu galères….Y a personne pour te serrer le corset ici. »

Tu ris un peu sans bouger pour autant. Tu n'as pas envie qu'elle se mette à hurler et cela ne t'intéresse pas de la détailler. Tu n'as aucun doute sur le fait qu'elle soit agréable à regarder mais tu es loin d'être attiré. Elle a beau avoir des formes sympathiques, un regard flamboyant et une répartie qui te plait bien, elle ne veut pas le coup que tu te décarcasses. Il est évident qu'elle n'est pas faite pour toi, trop propre sur elle, trop maniérée, trop compliquée comme fille. Tu préfères partager ton lit avec des femmes moins distinguées et plus chaleureuses. Cependant elle t'intrigue et c'est bien la seule chose intéressante que tu as trouvé depuis que tu as mis les pieds à Manfield.

Lorsqu'elle te dit qu'elle a terminé, tu lâches un long soupire pour lui signaler qu'elle a été longue. Tu repasses ta veste en te tournant vers elle, découvrant sa nouvelle tenue. Cela n'a rien à voir avec la robe de princesse qu'elle avait précédemment, elle parait plus normal avec un jean et une chemise. Tu es convaincu que l'ensemble doit valoir autant, sinon plus, que la robe. En tout cas l'ensemble révèle un peu ses formes et tu retiens un sourire, préférant mentionner le temps qu'elle a mis pour si peu.

« C'est pas trop tôt princesse. J'ai cru que tu n'allais jamais y arriver. »

A sa question, tu as regardé la rue, aucun signe du taxis, mais une blague te vient. Avant que tu ne puisses prendre la parole, elle s'approche de toi sans un regard en te tendant ses sacs de course, comme on agite un os devant un chien. Tu pouffes de rire en voyant qu'elle joue à la princesse. Est-ce que c'est sa façon de se moquer de toi parce que tu n'arrêtes pas lui donner ce surnom ? Tu l'imagines clairement pas te confier sérieuse ses sacs, vu la confiance qu'elle t'accorde. Tu la vois aussi mal te prendre pour un serviteur qui l'accompagne en sachant les regards dégoutés qu'elle lance. Elle est surement juste en train d'essayer d'être drôle. Si c'est le cas c'est réussi car tu ris, sans pour autant attraper ses sacs. Elle peut jouer avec toi et te traiter de larbin, tu n'es pas prêt à lui faire le plaisir de t'exécuter. Tu aurais pu attraper le tout et partir en courant. C'est une occasion en or qu'un voyeur de bas étage ne pourrait pas refuser, sauf que ce n'est pas ton cas. Tu étais honnête quand tu lui as dit ne pas avoir besoin d'argent.

Tu as quand même approché ta main de la sienne, mais au lieu de saisir les anses, tu as repoussa sa main. Oui tu l'as touché et tu es certain qu'elle va penser qu'elle vient d'attraper la lèpre. Pour toute réponse tu accompagnes ton geste d'un sourire narquois, dévoilant ta dentition plutôt correcte en sachant les coups qu'elle a subi et ton hygiène de vie.

« Sans façon princesse, le serviteur va plutôt t'informer que ton carrosse est arrivé. »

Tu indiques la rue d'un signe de tête. Ce n'est pas vrai, mais tu sais qu'elle risque de paniquer. Pour appuyer tes paroles tu t'es dirigé vers l'entrée pour lui ouvrir la porte, comme un bon larbin en lui faisant signe de la main de passer, comme les portiers qu'elle doit côtoyer dans son monde de paillettes. En arrivant dehors, elle doit bien voir qu'il n'y a aucun taxis, ce que tu justifies rapidement avec un rire moqueur.

« Ahah il a dû partir, je t'ai dit que tu as été trop longue princesse. t'as manqué ton carrosse on dirait. »

Tu t'adosses au mur en observant sa réaction, nul doute qu'elle va te régalager. Ensuite et seulement ensuite tu pourras lui mentionner que tu plaisantes. C'est vrai que tu es joueur. Même si tu as refusé poliment de porter ses sacs, tu as joué le serveur parfait pour l'accompagner dehors. Tu te moques de ce qu'elle pense de toi, car elle a des principes bien loin de la réalité. Elle vit bercé d'illusions et il est clair que tu n'entres pas le tableau parfait qu'elle se fait du monde. Elle doit facilement te cataloguer avec l'étiquette délinquant dangereux. Enfin en attendant qu'elle t'a quand même adresser la parole plus d'une fois, t'a fait confiance pour la surveiller le temps qu'elle se change et s'amuse à te prendre pour son serviteur. Le tout te faire simplement sourire, la situation est drôle pour toi. C'est peut-être pour ça que tu la plaisantes en lui laissant croire que son taxis ne l'a pas attendu. C'est gamin de ta part et tu l'assumes totalement. Elle n'avait pas tort en parlant de toi comme d'un adolescent. Tu es surement resté bloque entre deux âges, adolescent rebelle et adulte mafieux. Tu as toujours un côté enfant, sauf qu'il est loin d'être insouciant et crédule. Non ton enfance t'a fait grandir très vite alors oui tu as encore un enfant turbulent en toi, mais il est blessé et rompu à la douleur. Alors oui c'est vrai que tu es quelqu'un de spontané, d'imprévisible avec un humour de gamin.

« Je plaisante princesse, t'emballe pas, ton taxis va arriver. T'vas pas devoir rentrer à pied après le coucher de soleil. D'ailleurs qu'est qui se passe quand la nuit tombe, tu te transformes en monstre hideux ? Tu peux faire pire que ça ? »

Tu hausses un sourcil en la provoquant. Tu as compris depuis le début qu'elle doit rentrer, avec sa mention lorsque vous étiez dans la ruelle, avec l'appel de son père et son inquiétude grandissant en observant le soleil descendre entre les toits. Tu te doutes qu'elle n'a pas le droit de se balader la nuit, surement car le danger rode, un danger qui pourrait avoir ton allure. Tu ris rien qu'en y pensant.
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Kitana Tsukanji

@ Kitana Tsukanji

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Violoniste (Soliste) & ancienne danseuse classique (Ballerine) / étudiante privée au prestigieux conservatoire Royal Academy de Londres (Musique classique, danse classique & art dramatique)

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Hétérosexuelle

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptyLun 10 Juin - 2:14

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C'est inévitable, tu te sens tellement supérieur à lui que tu le considère comme un vulgaire chien que tu tiens en laisse, comme un animal que tu es capable de dresser pour qu'il t'obéisse au doigt et à l'œil. Mais cela n'en revient pas seulement aux personnes à son image, et dans son style. Même dans ton milieu de civilisation, tu te sens au dessus de tout le monde tellement ton arrogance et ton égocentrique te portent comme sur un nuage pour te surélever comme une divinité. C'est tellement naturel chez toi, que tu trouves seulement cela normal que tu sois au-dessus de n'importe qui parce que tu te considère bien plus que seulement le terme parfait, dans n'importe quel domaine. Que soit ça sur le talent, l'intelligence, et la beauté, tu estimes qu'il n'y a pas mieux que ta personne, et que tu es un don du ciel. Tu aimerais beaucoup que ton père l'admette par exemple, il est certain que tu fais tout en sorte pour qu'il te remarque. Que ça soit par tes études, ou par tes compositions musicales et tes représentations. Tu veux exporter ton talents aux yeux du monde, et que tu estimes que les gens doivent te considérer à la grande hauteur que tu mérites. Mais principalement à la personne la plus importante à tes yeux, ton père. Même s'il a déjà bien remarqué que tu étais une jeune femme pleine de ressources, mais il continue par exemple à te considérer sous l'étendu de ton frère, un homme. Peu importe s'il est macho dans l'âme, tu crois dur comme fer qu'il finira par admettre que les femmes ne sont pas que bonne à faire les tâches ménagères, en tout cas toi, car les autres femmes tu t'en fiches royalement. Pour revenir à lui, à ce voyou vulgaire, ce qui est drôle, c'est qu'il te parait vraiment arrogant lorsqu'il te réponds brièvement sur le nombre de femmes qu'il a pu avoir dans son lit. Tu estimes qu'il se donne tellement un genre pathétique, que tu n'en crois pas un mot, car à tes yeux, ce sont de pures conneries que pourrait dire n'importe quel homme pour se satisfaire de son honneur. Honnêtement, tu as réellement du mal à imaginer qu'il s'agit d'un tombeur de ces dames, et tu restes dans l'optique que seules des femmes faciles et non-respectables sont capables de finir dans ses filets. Évidemment, il ne fait pas clairement partie du style d'homme qui pourrait toi, te faire tomber sous son charme. En même temps, peu importe, même s'il est élégant, classe et poli, aucun ne mérite une telle personne comme la tienne, et aucun n'est digne de toi. Un dieu ça n'existe pas sur Terre, contrairement à toi, déesse.

À vrai dire, tu ne sais réellement pas pourquoi tu as commencer à lancer des piques sur la qualité, certes médiocre pour toi, de sa vie. Sans doute pour unique raison que cela est bien plus fort que toi de répondre à ce genre d'individu avec comme seule envie de le blesser, et de le rabaisser à son bas étage. Et il est certain que ton caractère ne se laisse pas faire lorsqu'une personne commence à te titiller. C'est dans ta nature, simplement. Tu ne sais pas si tu as réussi au fait qu'il se sente minable, et petit dans ce monde fait d'or et d'argent dans ton système de ta Vision du Monde. Mais franchement, tu t'en fiches royalement de sa vie, du nombre de femmes qu'il s'est fait, et de la réussite de ta mécréante attitude avec lui. Il peut entrer dans une sombre bulle, ou au contraire, que cela ne l'affecte pas, cela ne va pas changer le cours de ta vie et tu es la mieux placé pour savoir dès que tu seras de nouveau dans ton confort, tu l'auras oubliée comme un clin d’œil. Tu as accepté ses conditions, du moins sa proposition de te changer le plus rapidement possible et le plus discrètement possible afin de te débarrasser de cette robe sale, pas pour lui faire plaisir, mais seulement parce que tu ne voyais pas d'autres solutions à ton problème. Tu ne vas certainement pas aller le remercier, car même s'il a beau t'aider, il fait que d'être désagréable et malpoli, mais cela ne t'étonnes pas venant d'une personne comme lui. En plus, tu te fixes à l'idée que tu te serais bien passer de son aide. Le clou du spectacle de ta journée catastrophique, est bien que tu te fasses aider par un type comme lui. Véritablement, tu te détestes même pour ça, car jamais tu as accepté de te faire aider par une brute de son genre, et cela te déshonore et fout un coup à ton égo. Son commentaire lorsque tu te bats à enfiler ton pantalon à tes jambes, tu ne le remarques pratiquement pas, mais tu entends tout de même comme un souffle à son oreille. Où tu trouves une nouvelle fois cela tellement ridicule. << Fermez-là >> Tu répliques simplement ce terme d'un ton désagréable mais pour qu'il cesse de déployer constamment des conneries sur conneries. Mais également d'un volume assez bas pour lui faire comprendre que tu ne souhaites pas que vous vous fassiez remarquer par quiconque dans ce maudit hall. Alors pour cela, qu'il ferme son clapé ! Tu en as vraiment par-dessus la tête de ses conneries, et tu as la sensation qu'en sa compagnie tout peut dégénérer d'un moment à l'autre, et tu n'aimes pas cette sensation qui n'est vraiment pas tranquille et calme. D'autant plus que tu n'es pas le genre de femme à mettre des corsets, cela est simplement dans le but d'affiner la silhouette des femmes et dans ton cas, tu n'as pas besoin de cela, tu as déjà une silhouette parfaite. Tu as déjà essayé d'en mettre, simplement pour constater la différence face au miroir, et clairement, il n'y en a aucune, d'autant plus que les corsets te gênent plus qu'autre chose. Alors tu évites t'en porter, même si tu en as quelques uns dans ta garde-robe.

Tu considères que c'est par chance que tu as réussi à te changer sans encombre et sans problème à la clé. Tu n'as pas perdu une fraction de seconde pour le surveiller, et tu en es même étonnée que cela se soit déroulé sans détail dérangeant, comme un simple regard irrespectueux et impoli de sa part en ta direction lorsque tu te changeais. Mais surprenant soit-il, il a été un bon rideau de cabine d'essayage, et c'est sans doute la seule chose dont il peut être utile. Tu as les mains chargées de tes sacs, alors que tu t'approches de lui avec comme seul but désormais, c'est de sortir le plus rapidement de ce hall, en espérant apercevoir ton taxi à l'horizon. C'est comme un poids qui a été chassé de tes épaules après de t'avoir débarrasser de cette robe sale. Tu te sens bien plus à l'aise avec des vêtements propres et tu n'as plus à te sentir honteuse lorsque tu seras dans la rue, comme tu pouvais le ressentir lorsque tu étais toujours habillée de cette robe habimée par mégarde. Tu lèves un sourcil à son soufflement, mais également dû à son commentaire. Tu n'as pas la sensation d'avoir été longue, et même, c'est bien la première fois que tu te changes aussi rapidement. Alors il devrait s'estimer heureux, même si néanmoins tu t'es précipitée seulement à cause du lieu et de la situation, et non pour lui. De toute manière, son impatience tu t'en fiches complètement, il attends le temps qu'il faut, c'est toi qui décide. Évidemment, lui doit s'habiller comme un mal propre, alors ainsi tellement rapidement que tu es certaine qu'il ne doit pas savoir si ses vêtements sont propres lorsqu'il s'habille le matin. Persuadée de cela, que cela te répugne encore et encore. << C'était trop long pour vous ? Cela résume bien votre manière de vous habiller. Puis je m'en fiche, vous avez attendu le temps que j'ai décidée. Point. >> Tu n'es certainement pas claire dans tes propres, mais dans ton état d'esprit, tu le juges et l'estimes comme un véritable clodo, et une personne qui doit subir ton autorité comme la classe qu'il représente, une nouvelle fois.

Vu qu'il avait une belle vue sur la rue, tu lui as demandé naturellement si ton taxi était arrivé, car tu as qu'une envie c'est de monter dans ce foutu taxi et de rentrer chez toi une bonne fois pour toute. En dehors de ça, alors que tu n'étais pas vraiment prête à lui confier tes sacs, tu te t'y sens finalement à lui confier pour éviter que ton père te voit avec. Mais tu te forges à penser que même si ton père te voit avec ces sacs, tu penses simplement lui dire que tu as juste profiter de faire un magasin sur ton chemin pourrait être suffisant. Certes il te ferait tout de même une remarque, mais à la fin, tout serait arrangé. Tu as tout de même le droit de te faire plaisir quand même, ton père sait bien que cela te fait souffrir lorsque tu te rends pour tes visites médicales, et que t'as énormément besoin de te changer les idées. Mais pour éviter tout risque, tu préfères prendre un autre risque, comme perdre pour toujours tes vêtements, du moins le reste de tes nouveaux vêtements, et ta robe sale, au fond en boule dans l'un de tes sacs. Puisque désormais, au moins tu portes sur toi déjà quelques nouveaux fringues dont tu as acheté plus tôt dans la journée. Tu ne sais pas si tu fais le bon choix, mais cela n'a plus d'importance pour toi, tu fais tout pour que cette journée disparaisse en prenant en compte seulement ton père, et que tout reste sans obstacle avec lui. Tu as simplement comme intention de lui confier tes sacs pour qu'il te les rende plus tard, même si tu abordes le sujet de ta propre, le traitant comme un être inférieur. Même si pour la première fois en sa compagnie, c'est plus sous le ton de l'humour, sans être réellement sérieuse que tu as pris cette initiation. Néanmoins, il refuse, et tu ne comprends pas son refus car c'était son idée, jusqu'au moment où tu as eu comme une illumination. Ce n'est pas parce qu'il ne sait pas ce qu'il veut, mais simplement parce qu'il est trop stupide pour comprendre le sens de ta phrase. En tout cas, il t'a repoussé en te touchant la main, et immédiatement, tu as eu un geste brusque en éloignant ta main de la sienne, et même de toi-même. Tu recules même de quelques pas de lui, et tu secoues ta main hystérique dans tout les sens, comme pour chasser à tout prix quelque chose de dégoûtant sur ta main. Tu grimaces presque malade de ce contact, mais tu sembles rapidement soulagée lorsqu'il semble t'annonçait que ton taxi est finalement arrivé. Ce sont presque des yeux qui s'exclament "Enfin !" lorsque tu apprends la nouvelle, et évidemment, tu le crois sur le parole. Alors que tu secoues encore ta main doucement désormais, et moins énergétique qu'il y a quelques secondes, tu passes le pas de la porte du hall lorsqu'il t'ouvre comme un bon larbin. << Évitez de me toucher. >> Tu lui signales ton impression d'un regard sombre et agressif. Tu n'apprécies pas du tout qu'il te touche, et encore moins sans ton autorisation, et cela n'en revient pas qu'à sa petite personne. Tu es loin d'être une fille tactile, et tu n'aimes pas les contacts humains dans toutes ses largeurs, même par le plus simple des contacts comme une poignée de main. En tout cas, tu sors de l'immeuble alors que tu te sens frisquet sur place dès que tu es au contact du vent extérieur. Mais la première chose que tu fais, tu regardes sur chaque parcelle de l'horizon de la route pour voir un bout de métal du véhicule. Tu remontes le col de ta veste jusqu'au bout de ton menton, et tu couvres ton cou car ce n'est pas ton chemisier qui fera l'affaire, même si il est boutonner jusqu'en haut. Mais tu sembles bien chagriner quand tu comprends qu'il n'y a aucun taxi dans les parages.

Tu entends son rire, et sa réplique comme quoi tu as été trop longue et que ton taxi est tout simplement parti. En plus de ton chagrin, il te met simplement furieuse lorsqu'il s'exprime, mais tu es avant tout ravagée par l'inquiétude. Tu ne sais pas si c'est la vérité, mais d'un côté, tu peines à croire que ton taxi est vraiment parti, car tu as été trop longue. << C'est pas possible.. C'est une farce !?! >> Tu serres les dents à l'idée de cette nouvelle qui te donne plusieurs états d'âme. Tu continues à longer l'horizon dans l'espoir de voir ton taxi, mais tu commences vraiment à être paniquée. La simple peur de louper ton taxi et de ne pas rentrer rapidement chez toi te fout dans une situation délicate que tu sens ton cœur comme jongler à l'intérieur de ta poitrine. Tu approches ta main contre ta poitrine, et tu serres ton poing fort en ayant les sourcils tristes. Tu es simplement prête à te défouler sur lui, comme la simple possibilité que tu as pour évacuer cette inquiétude doublé d'une fureur qui t'envahit. Cela est évité, car il te dit qu'il plaisante, mais en ce qui te concerne, tu ne trouves pas ça drôle, pas du tout. << Abruti. >> Tu laisses échapper une petite insulte à l'encontre de sa plaisanterie qui n'est pas à ton goût. Néanmoins, tu es soulagée intérieurement de cette nouvelle, mais tu lui en veux, car cette plaisanterie t'a tout simplement rendue mal. Il ne doit certainement pas se rendre compte de l'importance de la situation, mais il est évidemment que tu ne vas pas lui expliquer en détail ce que tu ressens si jamais tu rentrais alors qu'il fait nuit. D'autant plus que tu as un traitement à prendre, et tu ne dois pas le prendre trop tard non plus, puis tu tiens à le prendre à l'abris de certains regard qui deviendront vite oppressant pour toi. Évidemment, tu gardes pour toi tout ça, et sa seconde plaisanterie n'arrange pas les choses. Même si tu avais l'air d'entrer pour une fois dans l'humour avant de quitter le hall de cet immeuble, mais suite à sa mauvaise blague, tu n'es plus d'humeur à plaisanter. << Fermez votre bouche un peu. Vous polluez l'air et vous me gonflez .. Sous-merde. >> Tu deviens agressive, et tu montres bien que tu en deviens de mauvaise humeur, n'étant plus apte à plaisanter. Tu sors d'un coup sec ton venin sur lui. Tu commences à faire un caprice de prétentieuse, et tu en as ras le bol de lui et de ses remarques. En plus, il continue à te tutoyer !! Ça commence à te mettre hors de toi. Tu t'approches de lui et tu le défies presque du regard en le tuant à mille reprises rien qu'avec le regard que tu portes sur lui. << vous vous trouvez drôle peut-être ? Je vous signal que ce n'est pas le cas ! >> Tu lui donnes alors un coup de poing sur son épaule pour le bousculer de son mur, sans aucune crainte. Mais il est évidemment qu'avec ta force médiocre, il n'a pas dû bouger d'un cil, et même si tu as essayé d'y mettre toute ta force, il a dû rien sentir. D'ailleurs, la seule conséquence est que tu t'es fait mal à la main en le frappant de la sorte. Et cela se remarque dans ta manière d'essayer d'évacuer la douleur en secouant le plus discrètement ta main car tu te sens un peu ridicule sur ce moment. Ton regard est limite abattu sur le coup, et t'as l'air vraiment blessée sur la manière qu'il a sans cesse à te parler. C'est bien la première fois que tu réagis d'une manière aussi fébrile, montrant une certaine sensibilité face à une personne. Mais après cette journée, et ton père qui se rajoute à cela, puis pour finir ta maladie qui te hante l'esprit. tu finis par avoir le moral à plat et cela empathie sur ta motivation, et ton humeur général. Tu veux simplement rentrer comme une princesse gâtée à son château et son confort. << Évidemment, il faut vite que je sois enfermée dans ma sublime cage, sinon je me transforme en terrible louve-garou avec de longues dents pointues, et des griffes aussi tranchantes que des rasoirs. Ma soif de sang et de chair humaine est aussi dupliquer et incontrôlable. Alors si je reste avec vous, je vais vous dévorer tout cru ! Mince, vous avez percé mon secret petit rigolo à deux balles. >> Tu lui jettes un nouveau regard sombre qui le dévisage, puis tu lèves rapidement ton menton d'une manière hautaine. Tu te rends compte qu'en étant emporter par ta fureur, tu l'as toucher avec ce coup à son épaule. Même si c'est simplement son épaule, ça te dégoûte, et tu espères ne plus le revoir celui là. Tu gardes tes sacs en main, et sans dire un mot de plus, tu lui tournes le dos pour retrouver ton banc. Tu ne vérifies même pas qu'il ne t'a pas suivi, tu ne veux même plus le calculer et tu vas simplement faire comme-ci qu'il n'existe pas. Comme toutes les personnes de son espèces, tu fais en sortes qu'ils n'existent pas, et tu les zappes d'une façon sans intérêt et supérieur. Tu as rejoint ton banc, mais tu ne t'es pas assise dessus. Tu restes debout à surveiller la route en déposant une main sur ta hanche. Rapidement, tu aperçois un taxi un peu plus loin, encore trop loin à un feu rouge. Tu te demandes si c'est le tien, mais en tout cas, tu espères fortement, car les minutes commencent à être longues. Tu verras bien s'il s'arrête à ta rue.   
 

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Kim Hojin

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MessageSujet: Re: Save an aggression ✦ Kim   Save an aggression ✦ Kim EmptyMer 12 Juin - 23:11

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Tu ne peux t'empêcher de pouffer de rire quand elle te réplique de te taire. Le ton qu'elle a employé d'indiquer qu'elle perd patience et cela te fait encore plus sourire. Oui tu es doué pour taper sur les nerfs des gens, entres autres choses. C'est vrai que tu es du style taquin et tu n'as pas la langue dans ta poche. Peu importe qui se trouve en face de toi, tu n'es pas du genre à retenir tes mots ou à être poli par nécessité. Même lorsque tu devrais te tenir et t'abstenir tu n'arrives pas à fermer ta bouche, alors face à cette bourgeoise, tu n'es pas prêt d'arrêter. Elle en viendra peut-être à t'en mettre une bien placée. Au fond tu espères la rendre folle, comme ça elle se souviendra de toi. En tout cas toi tu te souviendras d'elle, une princesse farouche. Quand elle a fini tu ne te prives pas de commentaires, ceux à quoi elle te répond. Sa répartie te fait sourire alors qu'elle sous-entend que tu ne dois pas passer trop de temps à prendre soin toi. Elle a totalement raison, tu n'es pas du genre à passer trois heures à te préparer. Sauf lorsque tu pars en mission, dans ces cas ce n'est pas ta tenue que tu peaufines mais plutôt ton armement.

Elle termine sa réplique par un commentaire de princesse, soit que c'est elle qui décide. Tu ris à cette blague, en te demandant ce qu'elle peut bien avoir à décider, à part quoi porter le matin. Tu imagines facilement qu'elle a besoin d'autorité sur les gens pour avoir un semblant de pouvoir. Elle doit traiter pareil tous ceux qu'elle considère comme inférieur, comme toi. Ça l'aide surement à se sentir supérieur. De ton côté, tu n'as pas besoin de ça. Tu sais exactement quel pouvoir tu peux avoir, à quel moment et envers qui. Tu as une place privilégiée dans le gang. Tu as bien un supérieur directe, le responsable du détachement à Manfield. Sauf qu'il a vite compris qu'il n'aurait aucune autorité sur toi. Tu fais ton travail, cela va de soi, mais tu le fais à ta façon. Pour ceux qui est des supérieurs importants, tu les vois rarement, mais tu entretiens de bonnes relations. Il faut dire que tu leur as rendu quelques services. Pour ceux qui est du reste du monde, tu n'as aucun compte à rendre. Tu as quelques amis, des gens sur qui tu peux compter, le reste tu t'en balances. Ce monde d'hypocrite peut bien bruler. Tu serais bien celui qui allumerait le brasier.

C'est pour cela que tu n'as pas ressenti la nécessité de répondre à sa contre-attaque. Elle préférait te prendre pour un serviteur. Tu as bien vu le ton ironique et joueur. Tu es entré dans son jeu, mais pas comme elle l'aurait souhaité. Cela t'amuse au plus haut point de voir l'attitude hautaine qu'elle a retrouvé en passant d'autres vêtements. Tu es même un peu surpris de découvrir la princesse dans toutes sa splendeur. C'est vrai qu'elle est charmante, élégante et gracieuse. Tu ne peux pas le nier. Tu ne vois pas son visage puisqu'il est caché par son masque mais dans ses yeux tu devienne une lueur maligne et cela te fait sourire. Tu la taquines donc en la touchant, sachant bien la réaction que tu vas provoquer. Elle ne manque pas de mimique de dégoûts à ton égard depuis le début. Le tout te fait bien rire, tu sais que certains sans abris sont plus propres de certains pincés culs.

Enfin sa réaction te désespère. Tu lèves les yeux au ciel alors qu'elle te demande d'éviter de la toucher. Tu esquisses un sourire presque malsain, te demandant si elle a bien choisi ses mots. Tu t'es même approché d'elle d'un pas, tendant la main comme si tu allais la toucher. Tu as haussé un sourcil pour la provoquer avant de te reculer en riant. Décidément elle te fait rire. Tu vas surement rire à nouveau quand tu parleras d'elle à ton meilleur ami. Tu as décidé de continuer tes bêtises en lui mentant sur l'arrivée de son taxis.

Tu arrives à garder ton sérieux alors qu'elle se met à paniquer. Intérieurement tu jubiles de voir aussi stressé. Finalement elle ne gère pas grand-chose, ni les situations d'urgences, ni le stress et encore moins l'humour. Tu finis par avoir pitié d'elle et tu te mets à rire mais visiblement elle n'a pas compris la blague. Tu es presque obligé de lui dire pour qu'elle se calme, enfin qu'elle craque littéralement. Au départ, elle t'insulte en lâchant sans détour que tu pollues l'air. Tu hausses un sourcil face à cette réaction plus violente que les précédentes. Tu esquisses un sourire, en signe de défi, lorsqu'elle vient vers toi . Elle reprend la parole se pensant surement pertinente. Et ce que tu attends arriver, elle te flanque un coup de poing à l'épaule. Tu l'as vu arriver et tu n'as même pas cherché à l'éviter. Comme prévu elle ne te fait pas bien mal et tu éclates de rire alors qu'elle se secoue la main, comme précédemment lorsqu'elle t'a touché. Sauf que cette fois tu ne crois pas que c'est parce qu'elle a peur de tomber malade, non tu penses qu'elle s'est peut-être un peu fait mal. Enfin peu importe car tu ris trop pour lui faire le moindre commentaire. Elle finit par s'éloigner de toi, alors que tu reprends ton souffle. Décidément elle est unique, elle a eu le courage de lever sa main sur toi. Ce n'est pas rare que les gens veulent te refaire le portail, hommes ou femmes. Pour les femmes ce n'est pas toujours dans l'intention de se faire mal…Enfin tu l'observes attendre son taxis debout devant le banc.

Tu souris à nouveau avant de faire les quelques mètre qui te sépare du banc sur ta planche. Avant d'arriver au banc, tu l'as remise dans tes mains et dans l'élan tu as sauté sur le banc, pour poser ton cul sur le dossier. Tu écoutes sa tirade sur son retour au château. Visiblement elle se plait dans cette cage dorée car tu sens qu'elle a réellement envie d'y être, malgré la pointe d'ironie dans sa phrase. Tu essayes de l'imaginer en loup-garou mais cela ne peut pas être pire que le regard noir qu'elle te lance. Tu as esquissé un léger sourire, tu ne veux pas te moquer d'elle à cet instant. Non à cet instant tu la trouves plutôt charmante. Sa tenue doit faire son effet mais c'est surtout ses yeux, remplis de haine mais aussi d'autre chose. Elle détourne le regard et tu hausses les épaules, détournant aussi les yeux. Tu as bien remarqué qu'elle avait froid mais tu ne t'es pas proposé pour échanger sa veste. D'abord parce que tu sais qu'elle refuserait et en plus car tu n'as pas envie de te cailler les miches. Tu es en débardeur en dessous et même si la drogue dans ton sang te permet de ne pas avoir froid, tu sais que c'est qu'une illusion. Tu suis son regard et tu vois son taxis. Pour une fois tu es presque sûr de penser comme elle, enfin….

En effet tu te serais bien encore amusé avec elle mais tu viens de découvrir ses limites et tu es un peu déçu. Au fond tu aurais espéré pouvoir continuer à te chamailler avec elle encore des heures. Enfin le taxis qu'elle observe se diriger vers vous. Lorsqu'il s'arrête à sa hauteur, tu es certain que c'est pour elle. Malgré tout le chauffeur prononce son nom, demandant une confirmation. Cette révélation ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd mais tu ne fais aucun commentaire.

Avant qu'elle n'entre dans le taxis, elle t'a jeté un regard froid en te fourrant ses sacs dans les bras. Elle mentionne que tu as intérêt à ce qu'elle retrouve tout et elle te donne même un rendez-vous, lieu, date, heures pour les récupérer. Visiblement elle n'en a rien à faire de ton emploi du temps, ni de ton air surprit. Elle ne te dit même pas aurevoir, se contentant de monter dans son foutu taxis sans un regard pour toi. Toi tu ne l'as pas quitté des yeux, observant chacun de ses gestes. Elle te rend dingue, d'abord elle te prend pour un lépreux pouilleux et maintenant elle te confit ses sacs et sans gêne elle te fixe un rendez-vous. Tu n'en reviens pas, décidément tu n'as jamais rencontré une fille comme ça. Tu observes le taxis disparaitre puis tu poses les yeux sur les sacs. Tu ouvres l'un d'eux pour regarder le style de vêtements que madame a acheté. Tu soupires en levant les yeux au ciel.

« Putain cette fille c'est quelque chose. »

Tu vas devoir garder ça. Oui tu n'as pas l'intention de revendre le tout. De toute façon, tu n'as pas la notion du prix que cela veut. Autant tu sais combien revendre un gramme de drogue, tu sais chiffrer un meurtre mais niveau fringue ça te dépasse. Tu soupires le regard dans le vague, vers là ou son taxis est parti. Tu te surprends à sourire en repensant à son coup de poing. Elle n'a pas froid aux yeux, ça c'est sur et contre toute attente, elle t'a fait assez confiance pour se changer en ta présence et te confier ses sacs. Finalement qui aurait cru que tu fasses une telle rencontre dans cette ville pourrie
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